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un livre dont on ne sort pas indemne : « la loi des pères », de Patric Jean , avec un accent particulier sur l’inceste et comment il échappe trop souvent à la justice
@Asterix (8) et au delà, à ceux qui nous lisent:
Penser à tes petits-enfants et à leur avenir c’est bien, mais ce qu’il faut aussi leur dire à tes petits-enfants et aux nouvelles générations, c’est du bien de la construction européenne.
Car dénigrer l’Europe et a fortiori en sortir ou vouloir en sortir est du pessimisme à l’état brut.
Je crois même que c’est de l’égoïsme de gagne-petit, c’est de l’individualisme petit-bourgeois sans horizon autre que le bout de son paillasson.
Tu n’es pas égoïste et gagne-petit?
Tu n’es pas individualiste petit-bourgeois?
Tu as des perspectives qui t’amènent un peu plus loin que le bout de ton paillasson?
Alors, tout va bien. Donne des perspectives à tes petits-enfants.
Donne leur une espérance, un but, un horizon.
Depuis 1945, soit depuis 75 ans, la France et la plupart des actuels états membres (pas tous hélas, je pense à la guerre du Kosovo, par exemple) n’ont pas connus de guerre sur leur propre sol.
75 ans, soit 3 x 25 = 3 générations; peut-être ton âge à toi, ou pas trop loin.
Jamais, et je dis bien JAMAIS, dans l’histoire de France métropolitaine nous n’avons connu une période de paix aussi longue, aussi durable, aussi prospère.
Jamais 75 ans de suite.
C’est un capital sans équivalent. C’est un capital à entretenir, pas à démolir.
Et la construction européenne est pour beaucoup dans cet accomplissement de prospérité commune et solidaire.
Tu cites l’enthousiasme de Jacques Delors, tu cites l’Euro et une B.C.E. qui a bien pris sa place.
Et tu as raison, c’est ensemble que nous sommes plus forts, pas séparés.
Chine, Russie et Etats-Unis n’attendent que ça, nos déchirements, nos éclatements, l’explosion de nos individualismes.
Tu pourrais également citer l’Europe de Schengen en matière de sécurité européenne commune.
Ou Frontex. Assez-mal connus des européens eux-même, mais ce sont des outils qui existent et qui ont leur importance.
Oh pas médiatiquement certainement pas, mais l’usage de ces outils, pour être efficace, peut aussi préférer l’ombre à la lumière…
Tu pourrais également citer Erasmus, hautement symbolique d’une Europe des esprits et de la culture.
Je dirais même un pari sur la jeunesse (pense à tes petits-enfants, et s’ils n’en bénéficient pas eux-mêmes, mes enfants n’en ont pas bénéficié, ni moi non plus d’ailleurs, passé un peu trop tôt, mais l’essentiel c’est le principe).
Un pari où les fruits ne se récoltent pas nécessairement à la première génération. Un pari où la jeunesse européenne est invitée à tricoter ensemble un bloc, une solidarité, des affinités, un regard porté ensemble dans la même direction.
Le type même d’action où la graine plantée aujourd’hui ne rapportera, pour le bien de tous, que plus tard.
La construction de l’Europe c’est un peu comme l’agriculture, il faut respecter le rythme des saisons, il faut tenir compte des intempéries, et le sol sur lequel on travaille est celui-ci et pas un autre.
Alors oui, tout n’est pas idyllique et tout mérite amélioration.
Mais de grâce, 75 ans de paix commune depuis 1945, 63 ans de liens tissés petit à petit, pas à pas, pierre après pierre.
Nous sommes francs-maçons, un travail pierre après pierre, un édifice bâti dans la douleur et issu de la douleur (sans 2 guerres mondiales, je suis certain qu’il n’y aurait jamais eu d’Union Européenne, ne l’oublions pas, don’t forget).
Et il faudrait passer son temps à regimber, à pleurnicher, à se plaindre?
Et il faudrait détricoter ce qui, a tellement de peine à aboutir?
A qui profiterait un tel détricotage?
A tes petits-enfants? Soyons sérieux, pas de balivernes.
L’Europe on l’a. L’Europe on la garde. Mais l’Europe on l’améliore.
Primo, de l’intérieur.
Secundo, de l’intérieur.
Tertio, de l’intérieur.
Quant aux 20 ou 50 ou tout autre pourcentage d’influence européenne dans notre propre législation, ce n’est pas ça l’important, au sens où ce n’est pas la donnée chiffrée qui est importante.
Tu le dis toi-même, nous avons mis en place des institutions européennes qui ne sont pas toutes issues du suffrage démocratique direct, mais toutes, fusse indirectement, émanent d’instances démocratiquement élues.
(Par exemple Jacques Delors, dont tu fais cas et dont tu devras parler à tes petits-enfants, c’est loin d’avoir été le plus mauvais, et ce n’est pas chauvinisme franco-français de le dire, je crois qu’il est à compter parmi les meilleurs sur le poste de Président de la Commission Européenne. Et il n’était pas issu du suffrage universel)
Mais je reprends mon fil interrompu par cette parenthèse delorienne.
C’est déjà bien et c’est déjà beaucoup que même indirectement, pas toujours perceptible pour l’électeur lambda, les instances européennes sont dirigées par des gens dont le choix est lui issu de dirigeants démocratiquement élus.
Et pourquoi en est-il ainsi? Parce que les états, dont le notre, dont la France, ont tous voulus qu’il en soit ainsi, par préservation d’une certaine souveraineté de chacun des états qui la composent.
C’est ça aussi la construction européenne, c’est ça aussi qu’il faut dire à tes petits-enfants.
Rien n’est facile, rien n’est achevé, rien n’est figé, tout est perfectible.
C’est de notre devoir et ce sera aussi celui de tes petits-enfants.
Construire, ne pas démolir.
Erratum dans une phrase que je souhaitais en fait rédiger comme suit:
Mais de grâce, 75 ans de paix commune depuis 1945 puis, depuis 1957 date de création de la future Union Européenne, 63 ans de liens tissés petit à petit, pas à pas, pierre après pierre.
Mon Cher Asterix…
T’en prendre a l’Europe ou a nos dirideants ( Republique) , faire de grands discours, renseignes toi sur les associations de defense des femmes et des enfants qui font un travail admirable. Tu peux meme te former a la victimologie et transformer ces Belles paroles en acts concrets en toute discretion ce sera probablement plus utile que de brasser des affirmations sans fondement …..
Bien Fraternellement
MTCF Asterix (3), moi aussi je ne demande qu’à être convaincu.
Mais un jour j’aimerai bien pouvoir disposer d’une source fiable attestant, sans aucun doute possible, cette affirmation livrée sans le soutien d’aucun fondement selon laquelle 80% des lois qui nous gèrent seraient imposées par Bruxelles…
Ca sort d’où?
De quel chapeau?
De quel tiroir?
On aimerait bien le savoir car un citoyen attentif et raisonné ne peut se permettre de gober ainsi une information trop souvent livrée et colportée sans citation de source authentique.
Déjà, pour commencer, qu’entend-on par Bruxelles, souvent ça ressemble à l’auberge espagnole, le fameux Bruxelles, j’ai le sentiment que chacun y voit ce qu’il a envie d’y voir, et d’y entendre ce qu’il souhaite entendre.
Et pas vraiment rationnellement.
Et avec une petite envie de se faire peur.
Ensuite dire que le choix serait limité, je te cite, par « des médias appartenant à quelques grandes fortunes qui n’informent pas mais pensent pour nous en nous disant ce qu’est le bien ou le mal », pourquoi pas.
Mais j’ai envie de demander de quels médias parle-t-on?
Et indirectement quels medias fréquentes-tu?
Les « medias » me semble un terme trop commun, trop générique, trop englobant, trop fourre-tout pour être admis comme un ensemble, comme une masse.
C’est un terme trop peu homogène et donc trop peu fiable lorsqu’il est utilisé ainsi dans un seul pluriel embrassant aussi bien la presse écrite, la télévisuelle, que la radiophonique, pour ne pas parler du fourre-tout d’internet où la déontologie est loin d’être présente sur tous les sites.
Et puis cette façon d’affirmer que les medias seraient tenus par de grosses fortunes….
Asterix, n’hésite-pas à nous les citer, ces grosses fortunes.
Mais, encore un peu et on va nous parler des 200 familles, je crains le pire…
Personnellement les medias je ne sais pas ce que c’est.
Par contre, je peux avoir un avis sur tel quotidien, sur tel hebdomadaire, sur tel mensuel, voire sur tel trimestriel.
Par contre, je peux avoir un avis, non pas sur la télé ou la radio, mais sur telle émission, sur tel journaliste, sur tel documentaire
Juger des medias sans précision aucune cela a autant de poids que dire « les écrivains », « les cinéastes », « les acteurs », « les auteurs », etc.
Et si en plus tu viens nous dire que la République n’existe pas, mais c’est d’une désespérance vraiment pas gaie du tout.
Tu devrais bien fouiller partout chez toi.
Tu vas bien finir par trouver au fond d’un tiroir, entre deux paires de draps, ou au fond d’un placard, entre deux pots de confitures, ou dans la bibliothèque, entre deux livres de Michel Onfray (ou d’un autre auteur, il y en a d’autres aussi qui savent écrire et penser) un petit pensum d’optimisme, non?
A te lire, il n’y aurait donc plus qu’une seule alternative? Que la pandémie coronavirale nous emporte tous, le monde et la vie ne sont quand même pas moroses à ce point!
Et quand on se nomme Asterix, on ne se laisse pas abattre.
Il n’est pas seul, Asterix, il a Obelix et Idefix et quand il est maçon, il fréquente aussi Francmaçonnerix, Templéparvix, Colonnedunorédumidix, qui sont d’excellents compagnons de route et de voyage.
Et je puis te dire que la République existe, je l’ai rencontré.
Ici même, en notre terre de France.
Et en notre terre d’Europe.
Mon Cher Lazare-lag,
D’abord merci pour l’humour..Par toutatix tu m’as mis au défit et j’ai donc cherché.
Tu as raison et j’ai un peu péché par enthousiasme, j’ai donc été chercher le fameux chiffre de 80% concernant l’influence des directives européennes.
En fait les spécialistes situent cette influence entre 20% et 80% la nuance est d’importance mais difficilement mesurable en raison de l’influence transverse de certaines décisions et qui fait que cela devient difficilement mesurable avec précision.
¨Par ailleurs, il existe plusieurs problèmes de méthodologie pour estimer le pourcentage de lois qui seraient issues de l’UE.
Premièrement, au sein d’une seule loi, tout n’est pas forcément d’origine européenne. «A quel moment peut-on dire qu’une loi est d’origine européenne ? Quand l’un de ses articles, 10%, tous, sont d’origine européenne ? Sans compter que le classement d’un article en « origine européenne » ou non est parfois hasardeux. Surtout, le classement quantitatif ne rend pas compte de l’impact qualitatif : des lois sont plus importantes que d’autres sur le fond, même si elles sont plus courtes», pointaient Matthias Fekl et Thomas Platt dans un rapport de Terra Nova sur «le mythe des 80%» en 2010.
La bataille du « pourcentage » de lois nationales qui ne sont en fait que des transpositions de directives et de règlements communautaires adoptés à Bruxelles par le Conseil des ministres et le Parlement européen est ancienne.
C’est Jacques Delors qui, le premier, a lancé, dans l’enthousiasme de la relance européenne, un chiffre, le 2 février 1987. Celui qui était alors le président de Commission (1985-1995) annonce fièrement que « 30 % de la législation belge est d’origine communautaire et (…) ce chiffre devrait passer à 60 % dans les dix ans qui viennent ».
Vingt-deux ans plus tard, sa vision semble s’être réalisée : la Communauté économique européenne des débuts s’est transformée en une Union dotée de compétences nouvelles : politique sociale, politique structurelle, politique monétaire, justice, immigration, police, affaires étrangères, défense, culture, recherche, éducation – la liste semble sans fin. Seize pays partagent désormais la même monnaie, l’euro, et la Banque centrale européenne (BCE) le dispute en puissance à la Réserve fédérale américaine. Le site web du ministère de la justice affirme d’ailleurs que « la proportion du droit communautaire dans le droit français est comprise entre 60 % et 70% des textes nouveaux ».
En fait tout cela est plus complexe qu’il n’y parait car il y a les anciennes lois purement nationales qui subsistent pour l’instant et les nouvelles lois qui elles sont souvent sous influence européenne. Il y a également l’application de lois nationales dans des domaines où la loi européenne interdit d’y déroger. Ainsi les travailleurs détachés qui restent soumis à leur loi d’origine tout en travaillant dans un autre pays sans ce soumettre aux lois de ce dernier pays.
On pourrait continuer la liste, mais je reconnais avec toi que c’est complexe, aussi je revendique le droit d’inventaire.
Quant à mon pessimisme, il n’est pas pour moi ma vie est quasiment faite, mais je pense à mes petits enfants et à tous les autres et au monde qu’on va leur laisser, rien d’autre ne m’importe.
Il y a des baffes qui se perdent.
Il est où le débat a propos des violences familiales ?
Cher Ergief,
Il y a un vieux proverbe qui dit que lorsqu’il n’y a plus d’avoine dans le râtelier le chevaux se battent. Comparaison n’est pas raison mais je constate que c’est souvent le cas…Hélas ce sont souvent les enfants qui sont les principales victimes de ce genre de situation. Je constate qu’avec le confinement les divorces sont en hausse sans doute est ce le fruit d’une entente cordiale entre les couples.
Nous vivons une période difficile et cette période a forcément des conséquences néfastes dans de nombreux domaines en ce compris au sein des couples. Il suffit de lire ou d’écouter les commentaires des associations qui se préoccupent de ce type de fait de société.
A l’ami Jean de Mazargues: « il y a des baffes qui se perdent »…
Tu pourrais préciser tes arguments ? Une affirmation sans commentaires est difficile à interpréter.
« Les Francs-Maçons de la Fédération française de l’Ordre Maçonnique Mixte International Le DROIT HUMAIN appellent tous les défenseurs de la dignité humaine à lutter contre la violence sous toutes ses formes, contre l’atteinte aux droits et la déshumanisation ».
C’est bien dit et on ne peut qu’être d’accord, mais il faudrait que ceux qui nous dirigent mettent à disposition des citoyens une société plus fraternelle, plus humaine, plus juste ou l’intérêt général et celui de l’être humain aurait la primauté sur les intérêts particuliers de quelques uns.
Le chacun pour soi est la base de toute violence au détriment des autres. J’attends avec inquiétude de voir ce qu’il va se passer dans quelques mois lorsque des centaines de milliers de nos concitoyens vont se retrouver sans emplois. Combien de couples déchirés, combien d’enfants malheureux, combien d’abandonnés à leur triste sort? Que faisons nous et que pouvons nous faire?
Ne fait pas à autrui…..Fais aux autres tout ce que …….
@ Asterix (1):
« que ceux qui nous dirigent mettent à disposition des citoyens une société plus fraternelle, plus humaine ».
Une telle phrase ne risque-t-elle pas d’être comprise comme quoi « ceux qui nous dirigent », en gros l’élite, proposent ou imposent une société au reste de la population, à l’ensemble de la société?
En d’autres termes que les citoyens sont un troupeau passif, subissant le bon vouloir d’une minorité? Et sans aucun pouvoir de réaction face à ceux qui nous dirigent?
Ce n’est peut-être pas le fond de ta pensée, mais il me semble que le citoyen n’est pas sans possibilités face à ses dirigeants. D’une part c’est le citoyen qui choisit ses représentants, c’est primordial et ce n’est pas passif. C’est même un droit conquis de haute lutte, il ne nous est pas venu tout seul, ce n’est pas un don céleste, c’est une le fruit de luttes terrestres. D’autre part, dans l’intervalle des consultations électorales, l’action syndicale ou associative, ou l’expression de la pensée par toute voie d’expression sont, dans une démocratie, et nous sommes en démocratie, sont de réelles possibilités.
Le citoyen n’est pas en attente d’une « mise à disposition » par ses dirigeants d’une quelconque action à son encontre, il est d’abord action lui-même.
Dans une société démocratique, il n’est pas sans recours, sans possibilité, il peut ne pas attendre que tout vienne d’en haut préalablement à sa propre envie d’agir.
Mon Cher Lazare-Lag je voudrais tant que tu aies raison.
Hélas, plus de 80% des lois qui s’imposent à nous sont décidées à Bruxelles par des gens nommés, certes par les gouvernements, mais qui ne sont élus par personne. Le parlement de Strasbourg n’ayant qu’un rôle de témoignage.
L’exemple du référendum de 2005 est significatif du mépris pour le suffrage universel des citoyens des États.
Aujourd’hui le choix est en sus limité par des médias appartenant à quelques grandes fortunes qui n’informent pas mais pensent pour nous en nous disant ce qu’est le bien ou le mal tout en s’alignant sur ce qu’impose l’Europe oligarque.
Nous avons l’apparence de la démocratie avec des élections régulières mais les dés sont pipés dès le départ et de plus en plus de gens s’en aperçoivent. Comme le dit Michel Onfray, on change l’emballage du papier cadeau en changeant de majorité mais le cadeau à l’intérieur reste le même.
De plus ils nous culpabilisent en nous disant qu’on est contre l’Europe, erreur personne n’est contre l’Europe, mais la grande majorité des citoyens n’est pas pour cette Europe oligarchique.
Quant à la république elle n’existe plus.
La république c’est la Res-publica, le bien commun et l’intérêt général, force est de constater que dans bien des domaines ce sont les intérêts particuliers et l’individualisme qui ont pris le dessus.
D’où vient que nous en sommes réduits à cette situation?
A mon avis, mais je n’engage que moi, c’est lié au fait que les politiques ont abandonné ce qui était leur mission à savoir celle de la recherche du bien commun et de l’intérêt général. Ils ont abandonné leur mission au profit de l’économique, en écoutant non plus le peuple mais des économistes et autres experts en tout genre qui nous disent ce que nous devons faire mais dès qu’une catastrophe arrive sont les mêmes qui nous disent c’est pas comme cela qu’il aurait fallu faire.
Souvenons nous de l’amiante ou pendant des années et à longueur de plateaux TV ils venaient nous dire que l’amiante n’était pas dangereuse…On connaît la suite.
Les économistes et autres experts ont pris le pouvoir aussi pour compenser l’absence du politique et ces derniers ont confié à une haute administration dont les membres passent régulièrement du privé au public et inversement le soin de diriger le pays…Ces gens se servent d’abord avant de servir l’intérêt général. On parle du verrou de Bercy…et autres comités théodules et les politiques se couchent devant ce qu’ils imposent sans tenir des souhaits des peuples qui les ont élus.
Combien de temps un tel système pourra t’il tenir…Là est la question. Bien F…