Un nouveau Temple dans le Brabant Wallon

Publié par Jiri Pragman
Dans Divers

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vendredi 6 septembre 2013
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  • 11
    Miles
    8 septembre 2013 à 19h26 / Répondre

    Merci de tout cœur Pitou .

  • 10
    Guy Verval
    8 septembre 2013 à 9h49 / Répondre

    Les rite moderne est bien entendu le rite que pratiquent les vieilles loges venues du XVIII° et XIX° siècles. La base en est les rituels de GODF, mais ils furent insensiblement modifié par la sensibilité locale les apports du rite écossais philosophique, le REAA, le rite écossais primitif de Namur. Les Freres n’accordaient pas une réelle importance à la pratique rigoureuse et immuable des rites. Vers 1880 -1885, le GOB voulut revoir tout cela et donner un peu d’uniformisation dans le sens d’ailleurs du GODF, décléricalisation et naturalisation..

    Le projet d’une loge travaillant selon le Régulateur du Maçon naquit en 1975. Le nom de la loge fut soufflé par un Frere du GO de Mons, éminent professeur d’histoire à l’ULB et archiviste de la ville de Mons. Celui-là qui écrivit la plaquette sur les tableaux retrouvés. Après quelques péripéties (dont le décès inopiné du VM proposé) fut acceptée par la GL en décembre 1976. Elle se créa en mai de l’année suivante à Waterloo.
    Les fondateurs venaient de Charleroi, de Waterloo, de Nivelles et de Bruxelles. Il étaient un peu plus de quinze.
    Elle fut la première à pratiquer ouvertement l’installation secrète, bien que ne fût pas français. stricto sensu.
    Elle participa en juin 1979 à la création de la GLRB (elle perdit un membre retourné à Nivelles).
    Elle eut des VM de qualité et parraina ou soutint la création de loges du même rite à Mons, à Aarschot, à Nivelles et à Coxyde (donc deux en néerlandais)
    En 2006,suite à des problèmes internes, elles se divisa en deux parties à peu près égales, l’une(la plus jeune de moyenne d’âge) retourna à la GL où elle retrouva son n° d’origine (le 37), l’autre resta à la GLRB où elle occupe le n° 8.
    C’est ce n°8, GLRB, qui participe à l’aventure commune de Nivelles.

  • 9
    gagevapi
    7 septembre 2013 à 22h29 / Répondre

    Et moi qui croyait que le rite moderne nous venait du XVIIIème via nos vielles loges … ! Faut croire qu’il est vraiment moderne moderne !

  • 8
    Linea Recta
    7 septembre 2013 à 19h35 / Répondre

    Exact. Le Marquis fut conçu sous la GLB, grandit sous la GLRB, et se coupa en deux sous la GLB et la GLRB, où ses deux moitiés s’épanouissent aujourd’hui. Soyons donc précis. L’histoire du véritable retour du Rite Français en Belgique reste encore à écrire…
    Et dire que certains jettent la pierre à ceux qui ont changé d’obédiences…

  • 7
    G.Verval
    7 septembre 2013 à 15h14 / Répondre

    La première loge qui a travaillé au rite « français » traditionnel, inspiré de René Guilly, est Le Marquis de Gages, créé à Waterloo au printemps 1977, sous la GLB (le GM était un liégeois, E. Commyns)
    Le premier VM de la loge était un industriel de Nivelles, le deuxième un maçon bien connu de Braine-le-Château.
    La GLRB n’existait pas. R.Girard a assisté à plusieurs de ces tenues, lorsqu’il préparait un retour du rite en France (au sein de la GLNF).

  • 6
    Linea Recta
    7 septembre 2013 à 11h54 / Répondre

    @Tao
    oui, la plus ancienne loge de Rite Français en Belgique est la loge Saint Jean la Lumière, aujourd’hui à la Grande Loge de Belgique. La plus ancienne loge « irrégulière », car la GLRB possédait quelques loges de Rite Français avant 1987.
    Le Rite Français progresse timidement, mais il progresse, malgré la confusion entretenue chez nous entre Rite Français et Rite Moderne, qui sont très différents quant aux intentions et au contenu, comme on le sait bien….Bravo à Pitou ! Quelle fidélité !

  • 5
    STOLKIN
    6 septembre 2013 à 19h49 / Répondre

    … The center of the Union….réalisé!!!
    Merci à ma loge d’initiation (et les autres loges évidemment).

  • 4
    G.Verval
    6 septembre 2013 à 19h24 / Répondre

    C’est la disposition habituelle au rite « Français ». Deux des loges qui participent à l’initiative travaillent à ce rite, le Marquis de Gages et Charles de Lorraine, si mes souvenirs sont exacts.
    Longue vie à l’initiative. Dat ze lijven !

  • 3
    Tao
    6 septembre 2013 à 18h40 / Répondre

    Une disposition de chandeliers selon le Rite Moderne dont est issu le Rite Français. Je n’ai jamais visité le Rite Français Moderne de 1783, mais j’imagine qu’on pourrait retrouver cette disposition dans ses rituels… non ?

    Amitiés,

  • 2
    jacques dobruszkes
    6 septembre 2013 à 17h06 / Répondre

    Une belle initiative qui conduit à la construction d’un beau temple.
    L’association d’ateliers des diverses obédiences est un modèle à retenir.
    Bravo aussi à l’architecte (Un grand?) qui a rendu avec simplicité le cadre
    habituel et enfin moderne d’un bâtiment maçonnique.

  • 1
    niaclabut
    6 septembre 2013 à 16h48 / Répondre

    Tiens! Elle n »est pas bizarre, cette disposition des piliers ?

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