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Géplu.
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André Combes, dont j’ai lu les ouvrages et que je rencontre lors de chaque réunion de l’IIDERM dont il est le dévoué président, est le meilleur connaisseur de la Maçonnerie française du 19e et particulièrement du GODF.
Dans un ouvrage prophétique, « La voie substituée. Recherche sur la déviation de la Franc-Maçonnerie en France et en Europe », publié en 1969 et salué surtout par la presse de droite et d’extrême-droite (Bernard Faÿ dans « Aspects de la France »), Jean Baylot, ancien dignitaire du GODF (Grand Maître Adjoint) puis de la GLNF (Grand Maître Provincial et fondateur de la Loge Nationale de Recherches Villard de Honnecourt) avait, avec l’assistance de son ami le journaliste et historien Jean Bossu, dénoncé les errements et les trahisons du du GODF au cours de la période 1800-1870.
« La Maçonnerie française étant devenue un club politique dans lequel l’initiation rituelle n’est qu’une formalité sans signification profonde ».
C’est à partir de cette Maçonnerie française (le GODF comme le Suprême Conseil de France dont sortira en 1894 la GLDF) s’est coupée de la Maçonnerie universelle. Comme l’a d’ailleurs montré l’historien de la GLDF Albert Lantoine dès le début des années 1920, les Ateliers symboliques du SCDF étaient encore plus radicaux que ceux du GODF puisqu’ils réclamèrent dès la IIe République l’abrogation de la référence au GADL’U.