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Géplu.
Douter que Desaguliers fût un personnage plus que central dans l’élaboration des documents régulateurs de la GL L&W est déjà assez curieux.
En outre, Etienne Hermant soutient l’authenticité du document intitulé Dialogue between Simon &Philipp daté de 1725 par les experts de la GLUA.
Ce dialogue inclut deux croquis, dont l’un dispose : « this lodge is the new lodge under the Desaguliers regulation ».
https://www.hiram.be/app/uploads/2020/01/Meubles-Desaguliers.jpg
Adopter un minimum de cohérence parait souhaitable.
Pour le reste, je renvoie l’indécis à l’Histoire, notamment ce qui marqua les milieux intellectuels de la Renaissance, la Maçonnerie naissante n’ayant pas exprimé la volonté d’être hors sol.
ANUBIS/Re a affirmé, avec la conviction qu’on lui connaît, que le Ms « Dialogue between Simon and Philippe » publié en 1944 dans le n° 57 des AQC était un faux délibéré fabriqué par les analystes du document (Knoop et ses co-auteurs) avec la complicité de la GLUA et ceci dans le but d’une main mise anglaise sur la franc-maçonnerie.
Il remet donc en cause la datation de 1725 du manuscrit, estimant que ce document, inventé de toute pièce, est contemporain !
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Et c’est ce document qu’il emploie comme preuve de la présence centrale de Désaguliers à l’origine de la « New Masonry »…
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Et il parle de « cohérence » à avoir…
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Manifestement la définition de ce mot lui échappe…
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Que Désaguliers fut une figure maçonnique importante, bien évidemment nul ne le conteste.
C’est ce qu’en fait ANUBIS/RE qui paraît contestable avec les liens qu’il établit et que j’ai repris et dont il n’apporte pas la moindre preuve.
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Quels éléments factuels peut-il apporter concernant ce dépôt de la Renaissance dont il parle et que Désaguliers aurait recueillit et qu’il aurait implémenté personnellement dans le cadre de la « Désaguliers regulation » ?
Car c’est bien de cela qu’il s’agit.
C’est bien de Désaguliers dont on fait état.
Où voit-il inscrit cette prédominance dans le chef de Désaguliers ?
30 – mais non, je ne m’appuie pas sur ce faux grossier qui n’existe que sur photo pour prouver quoique ce soit.
Relisez avant d’éructer, je vous en prie.
D’ailleurs il n’y a rien à prouver.
Voici l’étude de 18 pages de AQC du Ms « A dialogue between Simon and Philip » que ANUBIS RE considère être sans rire (on pourrait croire à un trait esprit, mais non) un faux en écriture (commence en page 3)…
https://www.quatuorcoronati.com/wp-content/uploads/2021/01/Ars-Quatuor-Coronatorum-vol.-57.pdf
Pour le reste, c’est « circulez il n’y a rien à voir ».
Chacun appréciera…
Dès la 9ème ligne de cette étude, on peut lire :
« Unfortunately, we have so far failed to trace the location of the originals, and have consequently to base this paper on the copies made by Bro. Cramphorn about 1930. »
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L’original n’a jamais été retrouvé, ni même les photos qui auraient servi la retranscription. C’est donc une retranscription faite en 1930 qui sert de support à l’étude.
Défense de rire.
ANUBIS RE passe sous silence (soit par une manipulation des données, soit par ignorance) que des photographies de l’original de ce manuscrit furent mises à jour en 1945 par Cramphorn, provenant de la Grand Lodge Library à Londres.
Heron Lepper a pu vérifier la justesse de la transcription.
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ANUBIS RE devrait s’emparer de la totalité de l’analyse d’AQC, notamment des commentaires des différents intervenants.
En cela PIERRE NOEL peut utilement lui venir en aide.
Il a décortiqué l’analyse du document, avec la minutie qu’on lui connaît, dans son intervention 85 :
https://www.hiram.be/les-meubles-de-la-loge-avant-et-apres-desaguliers/
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Concernant les vues personnelles sur un Désaguliers positiviste de ce locuteur, qui préfère les effets de manche à l’argumentaire, nous sommes toujours au point mort…
La seule raison pour laquelle ANUBIS RE s’acharne contre le MS « A dialogue betweem Simon and Philip » (1725) est le serment sur la Bible qui s’y trouve et l’indication que la « Lumière de l’Evangile » « surpasse » les Trois Grandes Lumières qui sont « le soleil, la lune et le maître ».
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Dans cette même perspective il évacuera toutes les divulgations… sauf « Masonry Dissected » de 1730 qu’il considèrera comme étant authentique (l’effet du prince…).
Sauf qu’il s’est planté, il ne savait pas que cette divulgation contenait une prise de serment sur la Bible…
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Il procède de la même manière avec la figure de Désaguliers qu’il s’approprie idéologiquement.
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Il ne tient aucun compte de la personnalité du personnage qu’il enferme tour à tour dans une théorie newtonienne, une théorie néoplatonicienne, antique grecque, et depuis peu un passage par l’ancienne Egypte.
On mélange cet agglomérat et on a sa vision de l’origine de la Maçonnerie qu’il prétend, en précurseur, être celle qu’on a occultée jusqu’à présent par ignorance ou par volonté délibérée de remplacer la Maçonnerie authentique par la religion.
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Tel Galilée ou Einstein qui avaient raison contre tous, ANUBIS RE prend le même chemin.
Incompris par la multitude, il sait qu’un jour l’Histoire lui donnera raison.
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Il nous reste à patienter.
Et quand on sait qu’il a exactement la même attitude en loge et aux agapes que dans ses commentaires de blogs… on comprend mieux qu’il n’ait jamais été invité à poser ses fesses à l’Orient.
-9- Que veut dire « la Maçonnerie de Désaguliers » ?
Où voit-on un lien entre Désaguliers et les « écrits des grecs tardifs » ou selon l’humeur et l’opportunité du moment du locuteur, un lien avec « la Grèce antique » ou encore un lien avec « l’Egypte Ancienne ».
Quel galimatias !
Liens dont on a, plus d’une fois, montré l’incongruité et l’absence de lignes directrices dans les Constitutions.
Pratiquer la méthode Coué en répétant inlassablement les mêmes diatribes hors sol ne sert qu’à lasser.
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Ce n’est pas Désaguliers que la GLL et W a délégué à l’écriture des Constitutions de 1723, c’est le généalogiste James Anderson.
Elle donne invariablement comme auteur James Anderson, et Désaguliers n’a jamais revendiqué y avoir participé.
Le statut de Désaguliers dans la Maçonnerie des Moderns peut supposer une intervention dans l’écriture des Constitutions sans que l’on ne sache à quel niveau elle serait intervenue.
On ne peut que conjecturer.
Désaguliers était un pasteur protestant, fils de pasteur, et la croyance en Dieu qui va avec, qu’il pouvait invoquer dans ses sermons, en parfait accord avec « Le Grand Architecte de l’Univers » « qui est Dieu » qu’il n’a donc pas nié en participant aux Constitutions.
Désaguliers a inséré l’Ordre nouveau dans la mouvance hanovrienne de l’époque.
Il était proche du pouvoir et tenait informé le Roi des développements de la « New Masonry ».
Désaguliers était un éminent scientifique, expérimentateur de Newton, membre de la Royal Society, sans qu’il ne fasse part d’orientations personnelles en matière de pensées philosophiques.
Pourquoi l’isoler, il n’était pas seul en lice dans l’émergence de la GLL et W ?
Et même s’il fut un fer de lance de la nouvelle Maçonnerie, il n’a pas fait œuvre de dirigisme de la pensée.
Il était simplement un homme de son temps friant de paix civile en apportant la tolérance, des vertus morales, la bienfaisance et l’ouverture aux courants naissants, bien dans l’esprit des latitudinaires.
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Pourquoi s’en emparer pour y coller ses propres désirs dans un esprit de filiation progressiste parfaitement anachronique ?
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Désaguliers mérite bien plus que cet enfermement orienté…
Désaguliers n’était pas un « pasteur protestant », mais un prêtre de l’Eglise d’Angleterre, ordonné si je ne m’abuse par l’évêque de Londres. A-t-il jamais célébré une « messe » (Lord’s Supper ou Holy Communion, comme disent les Anglicans) ? Je ne sais pas, mais ce n’était pas sa préoccupation majeure. Il a vécu de prébendes mais surtout des démonstrations de physique qu’il faisait à la RS, à la cour, à domicile, partout où on les lui demandait !
Désaguliers, fils de huguenot, n’a pas suivi d’études de théologie bien qu’ayant été ordonné diacre (et non prêtre) en 1710 par l’Evêque de Londres Compton, puis prêtre en 1717 par l’Evêque d’Ely, William Fleetwood.
Il est ainsi prêtre anglican, comme son père l’avait été avant lui… tout en restant pasteur réformé (ben, oui).
La toile de W.Hogarth, daté de 1728 le représente prêchant en robe pastorale noire ce qui renforce l’idée qu’il était pasteur.
Même scène du même Hogarth en 1736 où l’on voit cette fois-ci Désaguliers déchiffrant à la loupe son sermon.
On peut même lire son prêche : Matthieu 11, 28, en traduction « Venez à moi vous tous qui peinez sous la charge ; moi je vous donnerai le repos ».
Pas de quoi en faire un pataquès…
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Et bien sûr, comme chacun sait, son statut de ministre anglican était un moyen de s’assurer de revenus réguliers associés à ses conférences privées et public.
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On ne voit pas très bien quels changements fondamentaux ça peut apporter à mon intervention…
Les faits sont là ! Désaguliers était « prêtre » et non « pasteur », (comme le répètent les commentateurs, généralement continentaux). Tout le monde s’en fout, d’accord ! Mais un commentateur scrupuleux se doit d’appeler un chat un chat ! (En ce qui concerne la différence, il faut lire les 39 articles de la foi anglicane).
Qu’est-ce que j’écris ?
« Il est ainsi prêtre anglican, comme son père l’avait été avant lui tout en restant pasteur réformé ».
Son père était pasteur Huguenot émigré « ministre de la dite religion ».
Désaguliers est représenté en robe pastorale noir par Hogarth qui peut donner le sentiment qu’il était « pasteur ».
La toile, « The sleep Congregation » est datée de 1728.
Désaguliers est prêtre anglican depuis le 8 décembre 1717.
Il s’agit sans doute ici d’une indication de ses origines, on en sait pas plus.
Erreur grossière ! D. fut ordonné Diacre par l’évêque de Londres, et quelques années plus tard Prêtre par l’évêque d’Ely. Il bénéficia de la prébende de l’église St. Laurent dans la paroisse d’Harrow, mais c’est un vicaire qui remplit les devoirs de la charge (qui n’intéressait évidemment pas Désaguliers !).
L’erreur, c’est moi qui l’écris en 21 (ordination à la prêtrise de Désaguliers à Londres) !
Le pasteur Huguenot, donc Calviniste, Jean Désaguliers s’enfuit en Angleterre en 1683, emmenant avec lui son jeune fils, alors âgé de trois ans (dissimulé dans un tonneau, dit-on). Ils s’installent à Guernesey (francophone à l’époque), où ils vivent durant neuf ans. En 1792, la famille Désaguliers s’installe à Londres. Le père s’intègre rapidement au clergé anglican et devient le prêtre desservant l’ église de Swallow Street (Piccadilly) fréquentée par les immigrés français (où James Anderson officiera à partir de 1710), Jean Désaguliers ouvre également une école à Islington, fréquentée par les enfants d’autres réfugiés dont beaucoup sont des aristocrates français ; il meurt le 6 février 1699.
On peut s’étonner qu’un pasteur huguenot, à peine arrivé à Londres, reçoive les deux degrés d’ordination anglicane, conférés par un évêque anglican, Henry Compton, fidèle de la religion dont les dogmes de base sont restés essentiellement catholiques et donc très différents de l’orthodoxie protestante (luthérienne) ou réformée (calviniste). À quoi attribuer cette conversion et cette apparente double appartenance, anglicane et calviniste, sinon à une tiédeur voire une indifférence religieuse manifeste ?
Le fils, Jean-Théophile, fut le même ! Latidunaire dans les faits, il alla à l’université d’Oxford, prit les Ordres Anglicans (catholiques !) quand il le fallait, prononça un sermon devant Georges Ier, bénéficia d’une cure grâce à son protecteur, le duc de Chandos, (y mit-il les pieds ?) et vécut de ses livres et de ses démonstrations de physique (qu’il faisait payer fort cher). En fait, il appliqua à la lettre l’article I d’Anderson : peu importe ce que vous croyez pourvu que vous soyez « Good and True » (Autrement dit, le reste, on s’en fout et on n‘en parle pas).
On peut utilement (re)lire le court mais pertinent travail de Steffen Ducheyne sur Desaguliers (Revue belge de Philologie et d’Histoire, année 2009, tome 87 fascicule 2, pages 349-363), notamment pour la richesse de ses sources documentaires – propres à séparer le bon grain documenté de l’ivraie fantasmée.
The Times and Life of John Th. Desaguliers (1683-1744): Newtonian and Freemason
Steffen DUCHEYNE (1)
University of Ghent, Centre for Logic and Philosophy of Science
Postdoctoral Research Fellow of the Research Foundation (Flanders)
Despite John T. Desaguliers’ importance to both the history of science and the history of the origins of Freemasonry and notwithstanding the massive amount of non-scholarly material that has been written about him, few scholarly articles provide a detailed account of his life, as an individual and Freemason, and his work, as a Newtonian philosopher. Desaguliers was not a deistic thinker nor a deistic Newtonian, as has been frequently claimed in the past. In the essay at hand, this situation is remedied, as all difficultly accessible material on the figure of Desaguliers is summoned together, ordered in a meaningful way and several new perspectives on his significance are provided (résumé)
Le travail du même Steffen Ducheyne sur le « Scholium Generale » de Newton (« The General Scholium : some notes on Newton’s published and unpublished endeavours », 2010) est aussi enrichissant.
La GLNF avait déjà commis un film d’animation du même genre, dont on peut en voir des extraits sur leur page Youtube. Je n’adhère vraiment pas à la forme retenue. Quand au fond, je n’oublie pas que les auteurs ont pris soins d’indiquer en avertissement introductif que leur film a « été conçu sur un mode poétique » et est une libre interprétation. Il n’y a bien qu’un Anubis/Desap pour vouloir le leur interdire au nom de son égo et de son irascibilité revancharde.
Je n’ai pas vraiment aimé ce film d’animation que j’ai trouvé laid, sans rien de mémorable ou de remarquable. J’y ai reconnu, fugacement, une image idéalisée et grandiloquente d’un sous-sol d’une impasse du 17e arrondissement ! Il a donné au clébard d’Amon-Rê une autre occasion de déverser une fois de plus une bile délirante sur sa cible de toujours!
? clébard …
ça à l’air de faire plaisir à la modération.
« l’esprit géomètre », c’est la juste mesure des choses. Alors faut pas s’étonner ensuite. Si ceci n’est pas compris, rien d’autre ne le sera. et c’est fort dommage. ?
Ce qui est le mieux dans ce petit film c’est le titre et la bonne volonté des créateurs.
Ce que l’esprit ou le mental ne perçoit pas ni ne comprend n’est pas forcement inexistant. N’en déplaise aux esprits – peu fraternels – de diatribes et de dénigrements, il n’y a rien à intellectualiser dans le film de cette présentation. Ni les mots, ni l’ambiance, ni la musique. Ni même évocation. C’est en le vivant que le secret se révèle au pratiquant.
8- Tafelzout
En lisant Désap alias Anubis, Edmond, avec la retenue qui l’a toujours caractérisé, aurait évité de s’esclafer de rire. Il aurait simplement soupiré devant de telles âneries venant d’un renégat.
Ce truc est un enterrement de première classe, celui des Constitutions 1723.
Normal pour cette maçonnerie qui les a trahies par l’introduction de la religion dans la loge.
Je ne sais pas où ils sont allés pêcher les textes, mais il s’agit soit d’une falsification, soit d’une mixture biblique, l’ensemble visant à faire croire que la Maçonnerie de Désaguliers serait l’arrière court des religions comme l’est celle de la GLUA.
Heureusement c’est d’une tristesse à faire peur, comme la Maçonnerie peut l’être lorsqu’elle est corrompue, réduite à aboyer la parole des prophètes du Monothéisme.
Anderson est représenté au bord du désespoir, c’est le point juste, l’exception qui confirme l’erreur.
J’invite une nouvelle fois les Maçons à lire les écrits des grecques tardifs qui forment le néoplatonisme, dont un grand nombre se trouve en lecture libre sur internet. Ne serait-ce que par soucis d’objectivité, c’est la spiritualité qui s’opposa de manière résolue, descriptive et démonstrative au judéo-christianisme, c’est-à-dire de manière inverse à la religion qui ne sait que condamner sans ne jamais rien démontrer, ayant pour seul argument la trahison.
Laissons un instant nos pensées profondes, fulgurantes et inédites sur le côté et voyons l’étymologie du nom Anderson ou Andersen. Puisse l’Esprit Saint nous assister en cette veille de Pentecôte et nous réserver une langue de feu.
Anèr-andros signifie en grec ancien l’Homme.(Pas l’homo, mais bien le vir, le mâle !).
« Son » ou « sen » est un suffixe qui désigne le fils, dont témoignent les innombrables patronymes en « sens en Belgique.( Janssens, Pietersens, Michielsens), ou « sen » en Scandinavie et peut-être ailleurs Andersen !).
Bref, la traduction joyeusement tripatouillée des Constitutions d’Anderson devient : Les Constitutions du Fils de l’Homme.
Et qui donc est le Fils de l’Homme ?
On peut sourire de temps à autre et maçonner sérieusement sans se prendre au sérieux, comme le dit Edmond Mazet.
Et puis, cela devrait permettre à Désap de descendre de son Olympe pour m’écraser dans la poussière de son mépris…
Joyeux barbecue à tous.
8 – la différence entre la maçonnerie reconnue par la GLUA et la maçonnerie que vous estimez irrégulière est deux deux ordres :
1 – vous obligez à une croyance
2 – vous considérez profane tout Maçon non-croyant en votre Dieu judéo-chrétien et d’une manière générale ceux ne respectant pas vos règles de 1929.
Je vous renvoie la pareille, vous me considérez profane ? je vous méprise, comme vous, et si je parviens à ridiculiser votre croyance l’équilibre est parfait.
Cessez votre diktat et votre mépris et je cesserai immédiatement, je n’ai aucune vocation.
Longuet et avec une musique bien pauvre.
d »accord: la barbe…
Je n’ai pas franchement perçu le « chemin de Lumière » dans cette vidéo assez sombre…A-ton besoin qu’on évoque Adam, Noé …, y compris pour les profanes?
La musique du début voudrait faire du dramatique à la Chopin (15° prélude), mais n’est pas Chopin qui veut, lui qui arrivait à mettre justement des étincelles dans les ténèbres.
2@ Bien au contraire,si cette réalisation peut apparaitre un peu superfétatoire aux yeux d’un maçon averti elle pourrait avoir un effet attractif sur des profanes en quête de spiritualité.
Les FF qui ont réalisé cette vidéo ont du passer d’excellents moments.
@ Francis
Peut-être convient-il de ne pas confondre les Constitutions d’Anderson avec les contes d’Andersen, dont notamment la Petite Sirène, que tout le monde a pu admirer…
S’imprégner de la loi Morale et l’appliquer , inscrite au fond de chacun de nous il nous faut raviver cette flamme , cette vidéo est a voir ,revoir et a vivre .
Où la Franc-maçonnerie devient une sorte de spiritualité para-chrétienne avec Andersen son prophète. J’espère juste que cet exercice de style étrange restera confiné à une audience de « connaisseurs ».
La FM n’est-elle pas née ainsi ? et non pas devenue… ? bon dimanche
Un chemin de lumière à comprendre.