Un ancien franc-maçon devient moine bouddhiste

Publié par Géplu

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mercredi 6 octobre 2021
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  • 3
    Libre-penseur
    6 octobre 2021 à 11h36 / Répondre

    En 1975 je découvrais le zen introduit en Europe quelques années auparavant par le maître Taishen Deshimaru. J’avais 19 ans. Pendant plusieurs mois je pratiquais une fois par semaine une séance d’une heure et demie de méditation face à un mur en lotus. Ensuite c’était zazen les questions/réponses avec le maître. Je partage le côté éprouvant physiquement de la tenue de la posture.
    En mai 1976, j’étais initié à la Grande Loge de France dans une loge parisienne. Pour ma part, j’ai compris que cette pratique était inadaptée à la vie dans un pays occidental. La franc-maçonnerie n’est que peu implantée en en Extrême-Orient.
    Comme dit la chanson « chacun sa route, chacun son chemin ». La franc-maçonnerie m’apporte les outils symboliques qui me permettent de trouver les réponses aux questions spirituelles que je me pose contrairement aux religions qui intiment des réponses ne laissant que peu de place à une libre pensée.

  • 2
    Stef
    6 octobre 2021 à 10h29 / Répondre

    Dans une lointaine jeunesse, j’ai beaucoup pratiqué le karaté (shotokan bien sûr, le dur, le vrai, non je rigole… quoi que…) ; et du coup, je me suis passionné pour le « Do », et tout le cheminement du « zazen », et par extension pour la culture japonaise.
    De là m’est venue cette « certitude », ou plutôt « conviction », ou même juste « opinion », du gouffre intellectuel, culturel, sensible, qui existe entre notre univers occidental et ces « spiritualités » extrêmes orientales… Une irrémédiable différence dans le rapport au monde, et à l’altérité, laissant imaginer que les passages de l’un à l’autre semblent impossibles, à tout le moins extrêmement artificiels, sauf à vivre en étranger à sa propre histoire.
    Clément Sans, alias Tözan semble montrer le contraire… l’exception qui confirmerait la règle ?

  • 1
    Désap .
    6 octobre 2021 à 9h33 / Répondre

    Cela me fait penser aux vertus mal comprises du silence, lorsque l’on fait d’une nécessité pour l’Apprenti le nec plus ultra de la maîtrise.
    Mais bon je ne suis pas bouddhiste, je dois mal comprendre les vertus de « l’inefficacité totale » (?!?)
    Et donc que fais-tu dans la vie ?
    Rien ! Je cultive l’Inefficacité Totale
    🙂 🙂

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