Andre Cohen
André Cohen

Soins institutionnels et maçonniques

Publié par Géplu
Dans Divers

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mercredi 16 août 2023
  • 2
    Calmos, calmos!
    20 août 2023 à 16h01 / Répondre

    Il s’agît peut-être de penser l’institution soignante comme le courant de la psychothérapie institutionnelle. Dans ce cas là thérapie ne se réduit pas à la relation singulière entre le patient et le soignant mais elle concerne l’ensemble des personnes dans l’institution, qui réfléchissent et travaillent équipe. Il faut lire le Docteur Oury, ce qui a été écrit sur la clinique de La Borde, Saint Alban et le Docteur François Tosquelles.

  • 1
    lazare-lag
    18 août 2023 à 23h34 / Répondre

    Il y a effectivement quelque chose d’assez curieux, de mon point de vue, à voir le terme de soin associé aux adjectifs institutionnel, d’une part, et maçonnique d’autre part.
    Ce n’est pas un emploi fréquent, on le découvre même, du coup ça intrigue.

    Recourir à un dictionnaire permet de voir que sous ce terme de soin peut correspondre diverses interprétations.
    Cela peut marquer une inquiétude ou un souci pour obtenir quelque chose.
    Il peut s’agir de veiller à, de prendre garde, au sens de prendre soin de.
    Ou de transférer une responsabilité, soit laisser le soin de.
    S’occuper du bien-être de quelqu’un, prendre soin de.
    Plus médicalement il s’agit simplement de soigner.
    Ou d’être appliqué dans une action, mettre un soin particulier à.

    La palette est large, mais elle ne nous dit rien sur un soin spécifiquement institutionnel, on imagine un jargon spécifique, médical éventuellement.
    Et elle ne nous en dit pas plus sur le soin maçonnique.
    On est vraiment curieux d’en apprendre davantage et sur ce concept et sur ce qu’il peut recouvrir.
    A suivre donc.
    Et on regrette fortement de ne pouvoir être là pour participer à l’évènement.

    Par ailleurs, on observe que cette loge suisse est sise rue de la Pierre-à-Mazel à Neuchâtel.
    Pierre-à-Mazel, voilà aussi un terme qui intrigue.
    On cherche, on se renseigne, on veut savoir.
    Cette pierre est plutôt un agrégat rocheux.
    On en trouve sa trace vers 1537 et elle servait de limite ou de frontière entre deux parties de la ville de Neuchâtel de l’époque.
    Au fil du temps, on l’enfouit, on la perd, on la retrouve, on la déplace, pour cause d’urbanisations diverses.
    Finalement elle est désormais installée de manière limitrophe entre les communes de Neuchâtel et de Hauterive.
    Mais je n’ai toujours pas compris à quoi correspondait le nom de Mazel dans Pierre-à-Mazel.
    S’agit-il d’un lieu, ou d’une personne? Du tailleur de pierres de l’époque? Ou d’autre chose?
    On aimerait bien savoir.

    Pour étancher notre soif de curiosité, peut-on compter sur nos amis suisses afin d’être aux petits soins pour nous donner quelques éléments de réponse à ce sujet?
    Petits soins institutionnels? Ou petits soins maçonniques?

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