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Bonjour
On a l’impression, au bout d’un quart d’heure de voir la façade de la rue Thiers ?
Mon F Dominique a trouvé. Il s’agit d’un temple parisien appartenant au DH
Géplu, je peux t’emvoyer quatre photos de la façade. Étrange cette ressemblance avec celui de la rue Thiers de Lille.
Avec plaisir Guytoune, nous en ferons profiter les lecteurs.
Je l’ai vu et je l’ai trouvé extrêmement ennuyeux.
Il faut dire que je me suis régalé de nombreux « Poirot » dans la semaine, j’ai donc été mal préparé à le voir.
Ce n’est pas très bien joué et l’intrigue est mince. Bof…. bof….
Encore un marronnier bien mal fagoté capable de faire des rejets jetant le trouble dans l’esprit de bien des gens.
Ce petit film policier de série C,n’apprend rien aux FM et peu de choses aux profanes. L’intrigue bascule vite dans l’inutilement compliqué,de type classique.
Les FM sont sentencieux à souhait,négligents dans leurs tuilages. Le plus âgé ne sait pas grand chose mais fait mystère de tout.
Bref on apprend qu’un Préfet peut être FM, grosse révélation. Cela pourrait se passer dans le milieu des viticulteurs, des agents immobiliers ou des cuisiniers tout aussi bien.
j’ai commencé à regarder le télé-film sans pour autant aller jusqu’au bout ;
je pense que ce genre de production peut être vraiment néfaste pour la Franc-Maçonnerie .
j’ai également été très déçue par ce film (ainsi que les FF et SS de ma loge)
Dommage, je pensais passer une belle soirée avec un sujet intéressant….. mais non !
Dommage que je n’ai eu l’info qu’aujourd’hui, mais j’ai vu que cela étai à nouveau programmé en Août. C’est bien noté.
On peut le voir en replay jusqu’au 25 juillet à l’adresse suivante :
http://www.tv-replay.fr/redirection/17-07-15/rituels-meurtriers-arte-11132465.html
J’ai publié cette critique en 2011 dans une étude consacrée à des policiers maçonniques . Je n’ai rien à y ajouter ni retrancher…
– Rituels meurtriers, France 2: l’avions-nous attendu, ce téléfilm dont la pré-pub, en forme de synopsis, était si alléchante, au moins pour les profanes: «des» rituels meurtriers, des crimes «à proximité de temples maçonniques», une allusion à un «rite ancien» générateur des meurtres, des règlements de compte entre Obédiences, une hiérarchie policière noyautée, des enquêtes parallèles, une franc-maçonnerie «qui va révéler tous ses secrets»…
Et puis, stop! Tout ça, en 83 minutes annoncées par le producteur? Difficile à croire. Mais il fallait, en tout cas, visionner pour juger. Sans préjuger. Parce que la pub, dès qu’il s’agit d’appâter les amateurs d’une Maçonnerie croustillante, pleine de mystères, génératrice de complots… Nous avons donc visionné, et revisionné, «Rituels Meurtriers», sans y prendre de plaisir, malgré la présence d’Eric Elmosnino, qui a remporté le César du meilleur rôle masculin pour sa prestation époustouflante dans «Gainsbourg, une vie héroïque», secondé ici par d’autres acteurs de qualité. Mais la sauce ne prend pas, en raison d’une recherche esthétique inaboutie (atmosphère trouble, personnages torturés, montage incohérent qui passe d’une lenteur recherchée à des raccourcis inutiles…) qui ne nous paraît pas compatible avec l’action qui, au vu de sa complexité annoncée, et dans le temps imparti, devrait être beaucoup plus fluide et explicite dans sa progression.
Quant à la Maçonnerie… Nous nous demandons, par exemple, quel cornichon a pu trouver un lien entre les meurtres et le Rituel du Royal Arch, mentionné par un personnage supposé connaisseur, mais dont on ne trouve ici pas la moindre trace authentique. De même, comment ce policier profane, qui n’a comme lien avec la Maçonnerie qu’un ex-beau-père qui le déteste et ne lui parle jamais, a-t-il été mis sur la piste maçonnique des éléments, qui sont évoqués par la manière dont les meurtres ont été commis..? Et pour faire court, comment ce même profane, en possession des «mots de semestre» suite à une écoute invraisemblable, peut-il pénétrer dans le siège d’une Obédience sans connaître personne et ne pas se faire repérer tout aussitôt par son ignorance totale des usages (et sans que personne ne lui demande, ne fût-ce que par politesse, le nom de son Obédience et celui de sa Loge… )? Mieux encore, comment réussit-il à s’éclipser au moment où les Maçons sont «appelés au travail» sans que personne ne le remarque, pour pénétrer dans une pièce adjacente au Temple proprement dit (ce qui lui permet d’entrevoir quelques éléments d’un rituel), qui se révèle être une salle d’archives remplie de documents et classeurs poussiéreux où notre homme trouve presqu’instantanément un document pertinent, dont il ignorait pourtant la nature exacte, dans l’énorme dossier où il se trouve..? Non, décidément, à force de raccourcis, plus rien dans le récit n’est vraisemblable, sauf la présence d’un Préfet de Police à une place éminente de chef occulte de la Maçonnerie; parce que cela, au moins, a existé. Quant au fameux «Comité des Neuf», garant international interobédientiel de la Maçonnerie, inauguré dans le «Convent du Sang», Alain Bauer, dont le nom figure au générique du téléfilm, a réussi à le replacer ici sous une forme franco-française, avec décors et signes de fantaisie, siégeant sur les trois côtés d’un triangle équilatéral…
Tout ce grand guignol est regrettable, parce que l’idée initiale est intéressante et qu’un récit mieux ficelé aurait rendu justice à une intrigue réellement basée sur la Maçonnerie, réellement policière, et potentiellement plausible…