Rituel d’Ouverture du Bar

Publié par Jiri Pragman
Dans Humour

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samedi 12 juillet 2008
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  • 23
    Poudre à Canon
    15 décembre 2010 à 15h20 / Répondre

    Mes bien chers frères… Pourquoi se casser la tête à se demander si rire de nous est bien ou mal? Nous sommes tellement sérieux(es) et rigides lors des tenues d’obligations que l’on a tout de même bien le droit de souffler de temps à autre, tout de même ! Pratiquer l’auto-dérision permet justement de montrer aux anti-maçons que nous ne sommes pas dupes de nous-mêmes et que, pour croire en ce que nous faisons, nous n’en sommes pas pour autant dogmatiques.
    Personnellement, j’adore ce type d’humour. Je l’apprécie d’autant plus que seuls des fères/soeurs peuvent réellement le comprendre (comme cela a déjà été dit plus haut). Cela nous fait un lien de plus : l’humour !!!
    Ayant la force de rire et soyons digne de notre vigueur d’esprit ! Laissons donc la morosité sur les parvis !

  • 22
    Jacques Cécius
    3 février 2009 à 15h39 / Répondre

    Le bar aussi, c’est de la maçonnerie., pour autant que les frangin(e)s n’abusent pas…
    Dans le temple onn se prend pafois trop au sérieux, alors, vive la chope !

  • 21
    PHIPHI
    3 février 2009 à 10h47 / Répondre

    tout juste initié, j’ai tout de suite apprécié l’humour de ma loge.
    c’est le signe d’un certain recul ; d’une distanciation nécessaire pour ne pas erster le nez dans le guidon.

  • 20
    Candide
    8 novembre 2008 à 16h43 / Répondre

    En tout cas, j’ai bien ri. Et même si nous restions dignes et compassés, nos détracteurs naturels trouveraient toujours matière à critiquer. Savoir rire de quelque chose à quoi l’on consacre une bonne partie de sa vie, et qui résulte d’un choix marquant, montre que l’on sait prendre du recul par rapport à soi-même. Salubre, non? Les vocations véritables ne s’en trouveront pas découragées. Quant à ceux qui n’iraient pas au-delà des apparences… Tant mieux s’ils se détournent…

  • 19
    marcus
    6 novembre 2008 à 17h55 / Répondre

    il est quand même incroyable que des frères qui se prétendent maçons ne comprennent pas la plaisanterie même si elle n’est pas trop fine. Les agapes sont comme la 3 eme mi temps de rugby comme l’a écrit le F.Herrero un moment où l’on se lache.Au bout de deux heures de tenue on a envie d(etre moins sérieuxr.
    J’ai vu dans les agapes de respectables vieux maçons rigoler comme des collégiens. Les meilleurs blagues juives ,qui sont d’ailleurs féroces, proviennent des juifs eux memes . Alors messieurs les censeurs riez les premiers. Fraternellement

  • 18
    Jiri Pragman
    15 juillet 2008 à 18h56 / Répondre

    J’entends bien la critique (et quand on écrit sur le web, on sait que l’on s’y expose). C’est effectivement le type de texte pour lequel je me pose des questions avant de le mettre en ligne. Pour rappel, les autres articles sont « originaux ». En réalité, la retranscription de ce type d’article prend plus de temps que l’écriture d’un article original (ne serait-ce que pour enlever toutes les avréviations maçonniques).

    Mon message (sans prétention), c’est :
    – aux profanes : nous pratiquons une méthode maçonnique et respectons des règles dans un décorum particulier. Nous en sommes pour la plupart fiers mais cela ne nous empêche pas de rire de nous;
    – aux Francs-Maçons : le Travail se limite-t-il au seul temps de la Tenue où se poursuit-il aux abords du Temple et plus loin encore ?

    Par rapport aux anti-maçons : leur donne-t-on ainsi du grain à moudre ? Mais tout fait farine au moulin ! Même les textes, les interventions les plus sobres sont détournés pour servir leur argumentation.

  • 17
    Geplu
    15 juillet 2008 à 11h13 / Répondre

    Le rituel dit des taulards, est amusant.
    je trouve celui-ci d’un goût douteux.
    S’il est d’usage qu’en salle humide l’apéro conforte la fraternité, les excès ridicules de ce genre ne peuvent que conforter ceux qui disent que telle est la réalité de nos réunions…

  • 16
    Alain
    15 juillet 2008 à 9h46 / Répondre

    « …mais sans que l’auteur ou la provenance ne soient identifiés/identifiables. »

    Est ce donc sa place si tel est le cas ?

    De surcroit, sans être pisse-vinaigre, c’est moyennement drôle. Mais tout le monde ne s’appelle pas Pierre Dac, et comme il disait :

    « Par les temps qui courent, parler de rien, c’est déjà quelque chose ! »

  • 15
    Fox
    14 juillet 2008 à 23h43 / Répondre

    De toute façon les maçons savent bien que ce pseudo rituel est très en dessous de la vérité 😉

    (PS : merci de ne pas prendre ce post au 1er degré…)

  • 14
    EDDH
    14 juillet 2008 à 19h03 / Répondre

    Euh j’avais lu ce genre de pastiches quand j’étais encore profane ça ne m’a pas retenu du tout de faire ma demande. Et puis bon on comprend vraiment quand on est en tenue.

  • 13
    Flupke
    14 juillet 2008 à 17h56 / Répondre

    julien dit : « le vécu c’est le plus important »

    il n’y a pas d’ivrogne dans la FM ??? j’en connais de très sages !!!

  • 12
    Liberty
    14 juillet 2008 à 10h33 / Répondre

    Plutôt d’accord avec Jiri, un peu d’auto dérision ne peut nuire au contraire ..!
    Cette image de la Maçonnerie, où de vieux barbus sentencieux pontifient, à l’abri des regards…est à dépoussiérer d’urgence … .!!!

  • 11
    Julien
    13 juillet 2008 à 22h48 / Répondre

    Heu… Personnellement je trouve ça complètement affligeant et ça fait un peu tache (de pinard) dans le blog, non? A la rigueur, que ça circule en agappes…

    Sur le principe du serment je suis à moitié d’accord avec Jiri et Stéphane. Avec tout ce qu’on trouve déjà en littérature, plus ce type de parodies j’ai vraiment l’impression qu’on livre beaucoup, pire en voulant faire rire gras.
    Mais sur le sujet des infos qu’on trouve dans le grand public, il y a beaucoup à dire… Le « le vécu c’est le plus important », j’ai du mal à avaler!
    Mais bon je suis un vieux réac puriste, vous aurez compris.

    Allez, je vais boire pour oublier ça!

  • 10
    Francmaçó
    13 juillet 2008 à 18h54 / Répondre

    Extraordinaire !

  • 9
    Stéphane
    13 juillet 2008 à 17h03 / Répondre

    Moi, ce genre de rituel détourné me fait encore bien rire. De toute façon, il faut vraiment être Maçon pour en goûter tout le sel.

    Néanmoins, je suis d’accord avec Jiri pour penser que le travail sur soi se fait également en salle humide ou aux fêtes familiales.

  • 8
    yvca
    13 juillet 2008 à 15h58 / Répondre

    Merci Jiri pour cette pinte de bon sang et que celui qui n’a jamais fauté, en salle humide, me jette la première bière.

  • 7
    Jiri Pragman
    13 juillet 2008 à 13h48 / Répondre

    Je ne vois pas comment on pourrait trahir son serment avec un rituel qui n’en est pas un.

    Quant à l’image de la Franc-Maçonnerie, je préfère pour ma part rire de nos travers… en pensant que, peut-être, nous devrions encore travailler sur nous-mêmes, y compris lorsque nous sommes en salle humide ou en fin de BBQ ou autre fête familiale.

  • 6
    MGF
    13 juillet 2008 à 11h29 / Répondre

    D’accord, avec nuances, avec le commentaire précédent. Du reste, cette version « pilier de bar » n’a rien à voir avec celle du F. Dac, autrement plus subtile. Ce genre de pastiche est à utiliser avec modération … comme le reste. Je rappelle d’ailleurs, que le rituel dévoyé est en contradiction avec les principes du serment prêté, et que, c’est donner aux yeux profanes qui peuvent lire les lignes de ce blog des raisons de ne pas s’intéresser davantage à la maçonnerie.

    A JCécius, je dirais que un homme « bourré » c’est déjà pas très beau, mais alors une femme … : on est pas obligé de donner l’impression qu’on a aucune vertue en maçonnerie, mon cher ami.

  • 5
    Boaz
    13 juillet 2008 à 11h23 / Répondre

    J’aime rire et je ne manquerai assurément pas la prochaine revue maçonnique réservée exclusivement aux maçons . Je m’interroge sur l’opportunité de la publication de tels textes dans le monde profane. Qu’on les cautionne ou non, si on est initié, on peut relativiser, nuancer, confronter la réalité à la fiction… Imaginons les impressions qui peuvent naître chez certains profanes intéressés par notre démarche initiatique.

  • 4
    Pi
    13 juillet 2008 à 11h00 / Répondre

    Je trouve que ce genre de publication ne grandit pas notre ordre.
    J’ai toujours refusé ces pastiches lors des banquets d’ordre, cela nous fait beaucoup de mal.

  • 3
    Pilou
    13 juillet 2008 à 10h34 / Répondre

    Cela me rappelle le rituel du taulard (tôlard) attribué à Pierre D.

    Bon dimanche,

  • 2
    Jacques Cécius
    13 juillet 2008 à 9h10 / Répondre

    Je constate que l’on ne parle que de FF.°. Les SS.°. n’auraient-elles pas le droit de se bourrer ?

  • 1
    Daniel
    13 juillet 2008 à 8h16 / Répondre

    suite au deuxième degré (REAA)
    Êtes-vous Compagnon Poivrot ?
    J?ai vu mon nez flamboyant

    Pourquoi vous êtes vous fait recevoir Compagnon Poivrot ?
    Pour connaître la lettre B

    Que signifie cette lettre ?
    La Biture, ou bien celui qui a été ramassé sur le parvis du Bar
    Cette lettre signifie aussi Boutanche et peut recevoir de nombreux liquides

    Comment avez-vous été reçu Compagnon Poivrot ?
    En passant de la Murge à la Biture

    Quelqu?un s?est il opposé à votre passage ?
    Le Frère Caviste voulait m?éloigner du Bar, mais j?ai triomphé par ma persévérance et j?ai reçu ma quinzième bière et le décapsuleur

    Qu?avez-vous fait après cela ?
    J?ai titubé jusqu?au Bar et j?ai payé cinq tournées
    J?avais après le pif flamboyant

    Comment s?est terminée votre réception ?
    J?ai prêté mon sarment, le Vénérable Poivrot m?a crié « Compagnon !!!!!!!!!!! » et j?ai pris place sur le premier tabouret en tête de la colonne des Assoiffés

    Comment se reconnaissent les Compagnon Poivrots ?
    A leur démarche hésitante, à leur haleine de Fennec et à leur visage rubescent.

    Exécutez le signe de Compagnon Poivrot
    Le Frère 2° Poivrot exécute

    Que signifie ce signe ?
    Ce signe est ternaire. Sa première partie est appelée « Signe de Salutation» : en levant la main gauche les doigts repliés le pouce tendu vers la bouche j?interpelle le Frère Caviste. Sa deuxième partie « Signe de fidélité » en essayant de désigner le tonneau de ma bière préférée. Sa troisième partie « Signe pénal » : ma main droite au niveau du ventre « Je préférerai m?arracher le foie plutôt que de renverser la pinte qui m?a été confiée »

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