Rencontre. Hitler et la Franc-Maçonnerie

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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mardi 5 février 2013
  • 15
    Jiri Pragman
    9 février 2013 à 20h18 / Répondre

    Je ne demande pas de justification a posteriori. Je demande à ce qu’on reste sur le sujet de l’article.

  • 14
    flupke
    9 février 2013 à 19h41 / Répondre

    A mon avis, le lien pourrait être le fachisme qui fut/est un courant d’idées internationnal avec des invariants comportementaux par rapport à la FM.
    Ceci dit, c’est vrai, on s’éloigne géographiquement de l’Allemagne

  • 13
    Jiri Pragman
    9 février 2013 à 18h22 / Répondre

    Peut-on en rester au sujet? On ne voit pas le lien avec le Chili.

  • 12
    flupke
    9 février 2013 à 16h26 / Répondre

    « Allende et Pinochet étaient tous les deux des frères…
    Qu’on le sache ! « 

    Ce qui tendrait à démontrer qu’affirmer l’existence d’un « complot maçonnique » est une croyance niaise sans fondement.

  • 11
    Denis Cliche
    8 février 2013 à 3h29 / Répondre

    Allende et Pinochet étaient tous les deux des frères…

    Qu’on le sache !

  • 10
    Alain Mercadier
    7 février 2013 à 19h04 / Répondre

    @luciole

    Permettez moi d’apporter une précision d’importance qui est politiquement et maçonniquement incorrecte.
    Il y avait un grand nombre de Frères partisans du fascisme dès 1919 et un certain nombre de hiérarques du Parti étaient maçons…
    Un des premiers aspects du fascisme, très anticlérical et avec de fortes préoccupations  » sociales  » avait séduit beaucoup de Frères…!
    Le maçons, membres du grand Conseil, ont du démissionner de la Maçonnerie, bien entendu et ce assez rapidement.
    Il était bon de le préciser.

  • 9
    luciole
    7 février 2013 à 14h43 / Répondre

    Il y eut aussi des FM au Grand Conseil Fasciste italien sous Mussolini.
    Malheureusement, il est peu réaliste de croire que Breivik est le seul de son espèce…
    En l’occurence la faute n’est pas à l’enseignement maçonnique mais au manque de vigilance qui a permis à ces personnes d’entrer!

  • 8
    Le Chien
    7 février 2013 à 13h05 / Répondre

    Certains mouvements maçonniques obsédés par une filiation templière (qui n’est pas une vérité historique !), plus que par la démarche véritablement initiatique, peuvent dériver dans des mouvements ésotérico-occultistes proches parfois des théories nazies, elles-mêmes héritières de mouvements sectaires (société de Thulé, Aneherbe). En quelques sortes, le nazisme étaient une franc-maçonnerie « noire » qui, n’en doutez pas, ne s’est pas éteinte à la mort du criminel Hitler. Rappelez-vous : VIGILANCE ! L’ignoble est partout à chacun de le combattre et de cesser de vivre dans l’illusion. L’égrégore, quand il n’est pas constitué de pures intentions, peut s’avérer une force extrêmement dangereuse et destructrice. Oui au témoignage récent de Christophe Boursellier que je sais vrai !

  • 7
    perhouan
    6 février 2013 à 20h52 / Répondre

    Bourseiller ne m’est apparu dans son ouvrage que comme un touriste fourvoyé qui n’ a pas bien lu ce qui écrit dans le cb de rflx … hélas en fait, il, s’en fout , il exploite le marronier …. quelques mois en FM de la GLNF et il « sait », comme nigaud de l’attrape qu’il se pose bien là
    déconsidéré à jamais … y compris dans tout le reste ! mais chut ça buzz !

  • 6
    Chox
    6 février 2013 à 17h27 / Répondre

    Tiens voilà un ouvrage qui nous oblige aux rappels de la place de choix des extremistes aux seins des loges. La FM a le devoir de souvenir et d’obligation à l’encontre de personnes ( je dis bien de personnes et non de frères) se disant d’un extrème quelqu’il soit, et ne doit pas leurs ouvrir la porte du temple.
    Mon point de vue n’occulte en rien ce travail de recherche et de rédaction de l’ouvrage par A. de la Croix.
    (…)

  • 5
    lex.lb
    6 février 2013 à 16h33 / Répondre

    Plus prosaique, le livre de Christophe Bourseiller, « un maçon franc » qui relate l’existance de « loges brune » à la GLNF

  • 4
    JB Bienvenue
    6 février 2013 à 10h54 / Répondre

    La remarquable étude d’Alain Bernheim est également disponible sur le web. Vous pouvez en trouver l’adresse via l’encadré de la page ci-dessous

  • 3
    Eugène Defacqz
    6 février 2013 à 9h44 / Répondre

    Un autre ouvrage très bien documenté : « La Franc-maçonnerie et le National-socialisme » par Didier Le Masson (Ed. Dervy-collection Pierres Vivantes).

    On y met aussi en évidence le rôle peu glorieux de beaucoup de loges allemandes, s’alignant progressivement sur des positions de plus en plus nationalistes, reniant beaucoup de leurs valeurs fondamentales et dénaturant leurs rituels en se muant en « pseudo-ordres germaniques » pour tenter de survivre…

    En vain, l’interdiction officielle fut prononcée en 1935 et la Maçonnerie Allemande eut beaucoup de mal à se relever après guerre….sans compter qu’elle resta interdite en RDA jusqu’à la chute du Mur.

  • 2
    Christophe
    5 février 2013 à 19h44 / Répondre

    Sur ce sujet, l’étude publiée par Alain Bernheim dans son ouvrage:
    « Une certaine idée de la franc-maçonnerie (Dervy, 2008) »
    me semble devoir être rappelée.
    On y trouve en particulier, à propos de l’attitude de la plupart des Grandes Loges allemandes de l’époque, (ainsi que celle de l’UGLE), quantité d’informations qui ne manquent pas d’écorner certaines « légendes dorées » inventées à la Libération.

  • 1
    xm
    5 février 2013 à 19h12 / Répondre

    Je m’interroge sur le fait que cet ouvrage ne serait pas éventuellement tapageur, paru 18 mois après l’affaire Breivik qui est plus que marginale.

    Mais n’ayant pas lu le bouqin, je ne fais qu’exprimer une éventuelle réserve.

    Et personnellement, je n’ai jamais rencontré de néo nazis en maçonnerie, peut être des ultra conservateurs, mais guère plus.

    Peut être sous d’autres latitudes, mais cela m’apparaitraît encore étrange pour ne pas dire plus. Quoique j’ai lu récemment dans une publication maçonnique que la maçonnerie était tolérée sous le régime de Stroessner au Paraguay.

    Et surtout la franc maçonnerie a surtout été victime du nazisme plus qu’autre chose.

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