illustration extraite de "l'Ordre des francs-maçons trahis"

Réflexions anodines sur le grade de maître maçon.  

Publié par Pierre Noël

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
mardi 28 avril 2020
  • 9
    pierre noel
    29 avril 2020 à 15h42 / Répondre

    Comment ne pas évoquer aussi la scène saisissante et si émouvante (lorsqu’elle est bien jouée) du rite français ? Le candidat, après son ordalie, est couché sur le tapis, recouvert à moitié d’un drap noir, entouré des trois chandeliers d’angles aux trois flambeaux, tel le corps du héros exposé sur son lit de parade dans la chapelle ardente, pendant que neuf maîtres, recueillis et silencieux, défilent en procession autour de lui. Chaque tour est ponctué par une tentative de relèvement par un mot et un agrippement. La troisième seulement sera couronnée de succès après que le TV a dit à ces deux acolytes « Ne savez-vous pas que vous ne pouvez rien sans moi, et que nous pouvons tout à nous trois » (le Régulateur, p 23 du grade de Maître). Ceci-dit, il relève le néophyte de la manière requise avec l’aide de ses deux « assistants ». On peut y une allusion voilée (la seule du rituel) à la Règle de trois.

    • 10
      Armilous
      4 mai 2020 à 10h13 / Répondre

      Bonjour Pierre Noël,

      Et félicitations pour vos nombreuses et pertinentes contributions.

      N’avez vous jamais envisagé de les rassembler en un volume qui, j’en suis persuadé, ne pourrait qu’intéresser l’ensemble des Frères passionnés par votre démarche historique rigoureuse ?

      Simple suggestion.

      Amicalement et fraternellement.

      • 11
        pierre noel
        16 mai 2020 à 15h23 / Répondre

        Je vous remercie de votre appréciation à laquelle je suis très sensible.
        Je n’ai jamais envisagé, il est vrai, de rassembler en un volume mes quelques contributions.
        Je suis un vieillard fatigué qui continuera à faire part à ce site de ses réflexions occasionnelles suscitées par une assez longue pratique de la franc-maçonnerie..

  • 5
    Jean Williquet
    29 avril 2020 à 7h30 / Répondre

    Saynètes si possible, et non *scénettes, non?

    • 6
      VIX Patrick
      29 avril 2020 à 13h22 / Répondre

      Rôôôôô un sachant et fier de l’être!
      Primo! Et la bienveillance? parce que vous aviez compris ???
      deuxio! derrière le symbole cherchez l’idée!
      Pour finir privilégiez le fond, ignorez la forme vous allez rire bien plus!!
      L’avantage des math, un plus un font deux, Le français a tellement changé et avec la génération Nabilla qui arrive, j’vous envoie la balle de suite ou après constat ???

    • 7
      tintin
      29 avril 2020 à 14h00 / Répondre

      non, une saynète c’est court et comique, donc là non!

    • 8
      pierre noel
      29 avril 2020 à 14h57 / Répondre

      Merci de la correction.

  • 3
    Van Worden
    28 avril 2020 à 13h41 / Répondre

    Tout à fait passionnant (comme d’habitude!) J’aimerai savoir ce que Pierre Noël pense des hypothèses soulevées par Gaêl Maigniez dans son article considérable : « Renaut de Montauban aux origines du mythe d’Hiram » paru dans le n° 180
    de Renaissance Traditionnelle en octobre 2015?

    • 4
      pierre noel
      28 avril 2020 à 16h31 / Répondre

      Je suis d’autant plus sensible à la geste des fils Aymon que je l’ai découverte avec ravissement, il y a très longtemps dans le journal Tintin, racontée (dessinée) avec brio par Jacques Laudy.
      la mort de Renaud de Montauban est fréquemment citée comme source possible de celle d’Hiram.
      Il y a tant d’exemples similaires dans notre culture proche ou lointaine, vraies (Thomas Beckett, Charles Ier d’Angleterre) ou légendaires (Osiris, Adonis, Arthur, Balder, Siegfried, Maître Jacques …) !

  • 2
    doutre
    28 avril 2020 à 12h45 / Répondre

    Merci…. excellent travail…. très fourni… presque trop fourni…. je vais prendre de longues heures, à le lire et le relire… mais en plein confinement, je ne vais pas me plaindre, je trouverai facilement le temps…. pour l’appr… que je suis, c’est une mine d’or ou devrais-je dire, une réserve de grains à moudre, merci donc.

  • 1
    Jean-Michel Mathonière
    28 avril 2020 à 10h48 / Répondre

    Merci Pierre ! Je rejoins totalement ta vision pour ce qui concerne les « Mystery plays ». On trouve exactement la même chose pour ce qui concerne les rituels des compagnonnages français du XVIIe siècle, qui sont la mise en scène de la Passion du Christ, rituels condamnés par une résolution des théologiens de la Sorbonne en 1655 au motif qu’ils sont jugés « impies, sacrilèges et superstitieux ».

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous