La Pierre cubique initiale, selon Philippe Michel

Réflexion sur la Pierre Cubique du IIe Ordre

Publié par Géplu

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
mardi 7 avril 2020
  • 24
    Désap.
    8 avril 2020 à 19h03 / Répondre

    10/18/20/21 – Chemins parcourus dans les « hauts grades » certainement constructif et très riche, cependant qu’ils ne mènent réellement qu’à des considérations d’ordre moral.
    D’ordre moral par la lettre des rituels, que l’on ne peut omettre quoique l’on prétende la prendre pour mythologie ou archétype ou qu’on l’interprète de manière athée (cette dernière ne pouvant recouvrir aucun sens, c’est contradictoire), et par ce que celle-ci véhicule dont, quoique l’on prétende également, on ne peut l’extraire même avec la meilleure volonté sauf à nier la lettre et l’esprit et ainsi annuler les rituels dans toutes leurs dimensions. Ou bien, faudra-t-il m’expliquer de qu’elle type de troisième appréhension il peut être question, le raisonnement métaphysique ne pouvant s’établir pour les raisons indiquées.
    S’il ne peut y avoir d’autre lecture que religieuse et/ou morale des textes bibliques ou de leur réécriture dans les rituels des « hauts grades » parce que ceux-ci sont constitutifs d’une révélation (que les maçons croyants ou athées le veuillent ou non), l’initiation quant à elle est d’un tout autre ordre.
    Il faut souligner un point essentiel, l’initiation ne saurait s’appuyer sur une quelconque révélation ou une quelconque morale, parce qu’immédiatement celles-ci lui feraient perdre tout caractère universel, ces deux notions n’ayant de contenance qu’appliquées au domaine de la condition humaine, par définition exclusivement contingent.
    L’initiation ne pouvant être sujette aux contingences, elle ne peut s’exprimer au travers de textes décrivant un processus religieux procédant d’une révélation.
    Tel que le sont les rituels bleus, l’initiation ne s’exprime valablement qu’au travers de descriptions abstraites sans cohérence profane, cf. une phrase très précise à ce sujet dans le tiers terminal de la cérémonie d’élévation.
    C’est ce qui fait dire à certains profanes que nos rituels bleus ne sont que niaiseries théâtrales, démontrant ainsi toute leur ignorance de la notion d’universalité, et c’est ce qui fait tant craindre l’éclairage maçonnique aux autorités religieuses.

    • 25
      joab's
      9 avril 2020 à 18h05 / Répondre

      je ne sais de quoi tu pales ou si tu extrapoles sur les « hauts grades » tes idées qui ne concernent que les dérives contre-maçonniques des obédiences religio-sectaires.
      En l’occurence, justement sur cette pierre, on est aux antipodes de l’addiction religieuse. J’irai même jusqu’à dire qu’elle l’enterre définitivement, pour celui qui creuse un peu.

      • 26
        Désap.
        9 avril 2020 à 18h47 / Répondre

        25 – Le sujet de mon propos n’est pas l’addiction religieuse, il est plus fondamental.

  • 23
    PASCALE
    8 avril 2020 à 18h31 / Répondre

    Bonjour, J’ai essayé la méthode et ne trouve pas les réponses entre ABIBAL et BERITH.
    GNEKU MELHANA ? Merci de votre aide

    • 31
      Philippe
      1 novembre 2020 à 21h20 / Répondre

      Parce qu’il s’agit d’une variante présente dans certains rituels (ABIBALAG)… Tu as donc bien ensuite NEKUM et ELHANAM avant BERITH 😉

  • 20
    joab's
    8 avril 2020 à 10h20 / Répondre

    J’ai retrouvé le texte auquel je faisais allusion et qui m’avait bien troublé à l’epoque.
    Voici quelques extraits du discours d’Ed Mazet sur le sujet
    « Cette figure présente d’ailleurs un aspect curieux : le cube paraît être surmonté non d’une pyramide complète, comme l’appellation de « pierre cubique à pointe » le laisserait attendre, mais d’une pyramide tronquée […] Malgré l’appellation de « pierre cubique à pointe » qui lui est ainsi donnée une fois, une lecture attentive du rituel montre que cette pierre, si elle est bien cubique, n’est nullement à pointe. […]Si l’on revient à la représentation du manuscrit de 1786, et si on l’examine bien, en la confrontant au surplus à la description du discours historique, on se rend compte qu’elle ne représente pas du tout
    un cube surmonté d’une pyramide tronquée, mais bien le développement des faces d’un cube ordinaire. Seulement, ce développement n’est pas du type habituel, sous la forme d’une croix latine formée de six carrés égaux qui représentent les six faces du cube en vraie grandeur. Le carré représente la face inférieure ; Les quatre rectangles qui l’entourent représentent, incomplètement développées, les quatre faces latérales. Enfin, le trapèze qui surmonte le rectangle du haut représente, incomplètement développée elle aussi, et avec en plus un effet de perspective, la face supérieure.
    Controverse donc … a votre avis ?

    • 22
      Philippe
      8 avril 2020 à 11h02 / Répondre

      On en arrive bien à la représentation que j’ai faite 😉

      • 27
        pierre noel
        9 avril 2020 à 19h03 / Répondre

        L’image montre les 4 faces latérales du cube et sa face supérieure (avec l’étoile).
        Où est la face inférieure ? J’ai beau chercher !

        • 28
          Philippe
          10 avril 2020 à 0h14 / Répondre

          Pierre, c’est ce que j’ai mis eb gras dans le texte 😉

      • 29
        pierre noel
        10 avril 2020 à 9h55 / Répondre

        La réponse n’est-elle pas dans le rituel ? La pierre est déposée sur  » le triangle d’or où se trouve gravé le nom hébreux du Grand Architecte de l’Univers ». (le delta qu’a apporté le récipiendaire).
        la face inférieure de la pierre est nue, sans aucune inscription. A quoi serviraient-elles ?
        La pierre n’est pas un « secret », mais un réceptacle qui cache un secret. Elle sera détruite lorsque la crypte sera profanée et ce qu’elle cachait sera confié à la mémoire des élus. N’est-ce pas une belle allégorie de l' »ésotérisme »?

        • 30
          Désap.
          10 avril 2020 à 11h34 / Répondre

          Ou bien la sous-face est comme la surface.
          Evidement que la pierre est à pointe, tout converge vers le principe.
          Si la pyramide est tronquée, c’est pour montrer ce qui se trouve à l’intérieur de la crypte, l’esprit dans la matière, c’est l’enseignement du deuxième grade, la pierre cubique à pointe ne saurait être une ébauche, elle est le symbol absolue.
          La pierre n’existe pas en elle-même, seul son principe est une réalité.
          Elle n’est que le principe rendu intelligible, elle est son réceptacle.
          Tout ce qui est bas est comme ce qui est en haut.
          L’idée est de devenir transparent pour que la lumière passe.
          Si l’on considère que tout est le fruit du hasard, la pierre n’a plus aucun sens.
          Matériellement, la pierre est construite, mais pas par les outils, elle est bien construite par l’esprit qui les guide.
          La cathédrale est bien la projection des plans de l’architecte, les plans eux-même la projection de l’esprit de l’architecte.
          La cathédrale n’existe pas, elle n’est rien sans son principe, l’architecte.

  • 19
    Emmanuel
    7 avril 2020 à 23h38 / Répondre

    Il me semble que MMathonière a montre que la PC n’est pas autre chose qu’une projection perspective d’un cube (théorie des ombres). De plus il me semble que dans un édifice aucune pierre n’est carrée mais toutes sauf une sont rectangulaires sur leur base sauf une qui est clé de voûte. P;e aussi la Pierre du Coignet…

  • 18
    ERGIEF
    7 avril 2020 à 22h06 / Répondre

    Cher Pierre, Il est certain que les rituels des 2ème et 3ème ordre du RF ont été encore plus « laicisés » au fil du temps que ceux des degrés supérieurs du REAA (bien que ces derniers aient eux aussi été parfois stérilisés par les chasseurs de curés), mais il n’en reste pas moins évident que les uns comme les autres ne peuvent être accessibles aux esprits formatés de la FM libéro-adogmatique, autrement que dans une démarche purement cérébrale.
    Accepter d’adosser un parcours spirituel à une mythologie d’essence judeo-chretienne est au-dessus de leurs capacités d’abstraction. Parfois ils se réfugient sous le parapluie de la pensée gréco-romaine avec l’illusion que cela va les protéger des ravages de la transcendance divine mais ils ne font que démontrer leur impuissance à découvrir l’idée archétypale sous le symbole. Les grands et petits mystères les dépassent et ils n’en ont pas conscience.
    J’ai quelques bons amis qui se sont égarés dans cette voie et nos débats sont passionnés mais chaque fois que nous nous séparons, après ces joutes fraternelles, je me félicite de dormir avec mes rêves plutôt qu’avec les leurs.
    En fait je considère que dès le grade de Maître, celui de la rencontre en face à face avec la métaphysique, ils n’ont plus leur place en maconnerie. Du moins dans celle qui nous vient des temps immémoriaux, où les hommes avaient encore une âme…

  • 17
    Pierre Mollier
    7 avril 2020 à 19h56 / Répondre

    Super Patrick-André, heureux de te voir à nouveau parmi nous. Il y a effectivement des articles substantiels sur la Pierre – en l’occurrence du 14e, mais on a bien compris que c’était la même – dans « Ordo ab Chao ».
    Puisqu’on évoque Edmond Mazet, c’est l’occasion de rappeler ce livre passionnant qu’il a publié en 2002 (déjà !) « Ésotérisme et Spiritualité maçonnique »… Voilà un beau projet de réédition pour Dervy.
    Je note que là c’est Marcos Testos qui tire le premier… S’il savait où Edmond maçonne aujourd’hui, il serait sans doute plus prudent (non ce n’est pas au GO 🙂 )

  • 12
    Pierre Mollier
    7 avril 2020 à 17h43 / Répondre

    Voilà, cher Pierre un extrait de la charte constitutive d’un atelier écossais de la rue Cadet qui pratique des rituels très proches de ceux du XVIIIe siècle :
    « L’atelier pratiquera une version traditionnelle du rituel de XYZ. Ce choix n’entame en rien la totale liberté de conscience de ses membres. Certains pourront ainsi être sensibles à la dimension spirituelle de ces textes. D’autres n’y verront, tout aussi légitimement, qu’un corpus mythologique relevant du sentiment littéraire. Dans l’un comme dans l’autre cas les fondateurs de l’atelier sont réunis par leur intérêt pour une étude rigoureuse de ce riche légendaire écossais, de ses méandres et des harmoniques qu’il peut aujourd’hui encore susciter dans notre imaginaire. »
    Et après quelques années de pratique, mon sentiments est que la nette majorité de ses membres se situent dans la catégories de ceux qui sont « sensibles à la dimension spirituelle de ces textes ».

    • 14
      pierre noel
      7 avril 2020 à 18h44 / Répondre

      @11. Voici près de vingt ans qu’un certain Pierre Mollier m’a appris que nos histoires étaient « mythologies » (ce qui me rappela Roland Barthes). Je ne les avais jamais vécues autrement.

  • 11
    Pierre Mollier
    7 avril 2020 à 17h20 / Répondre

    « Standard » dans le sens où tous les éléments à notre disposition montrent qu’au XIXe siècle les Chapitres utilisent la pierre de Chéraud… Ce n’est pas la première fois que les ateliers prendraient quelques libertés avec la lettre du rituel (au GO en tout cas 🙂 )
    … pour les trucs modernes ça je ne sais pas 🙂 🙂

  • 10
    pierre noel
    7 avril 2020 à 16h56 / Répondre

    La pierre du grade « écossais » traitée ici est fascinante. Mais il est une question qu’on n’ose pas poser, mais que je pose quand même. Le 14°degré/II° ordre est inspiré très librement par quelques passages de l’Ancien Testament (du Lévitique, du Livre des Rois ou des Chroniques) mais aussi du Livre « apocryphe » d’Enoch. Le récit en devient épopée comme la geste arthurienne, les poèmes homériques ou la Chanson de Rolaand, demandant attention et non adhésion ou, pire, « croyance ».
    Tout se passe dans une « voûte secrète » sous le temple, puis dans le S des S. Le récipiendaire est purifié par l’eau au Vase d’ablution (la mer d’airain), par l’encens a l‘autel des parfums. Il reçoit l’onction sacerdotale comme Aaron et ses fils (Lévitique chap 8 ), apporte le triangle portant le Tétragramme (nom du GADLU en hébreu, parole innomable (sic) que des acolytes déposent sur le piédestal après avoir soulevé la pierre « cubique ». Ils la replacent ensuite sur le triangle. Le nouvel Elu est ensuite introduit dans le saint des Saints (ou le tabernacle) après avoir franchi le voile tissé de quatre couleurs, blanc, bleu, pourpre et rouge. Il y découvre l’arche d’alliance et la Menorah, Le mot sacré est Schem ham phoras), le Nom dans la Cabbale. …. Les variantes sont nombreuses, écossaises, françaises, allemandes, belges même.
    Tout cela se comprend dans un milieu « dogmatique » habitué aux belles histoires (qui paraîtront blasphématoires à un dévot authentique comme il en existe encore). Masi qu’en est-il dans un environnement « libéral-adogmatique », enclin à rejeter tout ce qui rappelle le « monothéisme abrahamique » ?

    • 21
      joab's
      8 avril 2020 à 10h37 / Répondre

      Tu touches effectivement un problème que rencontrent (pas tous) ceux qui maçonnent à ces grades non pas avec adogmatisme, mais avec des dogmes « anti-religieux » (pour caricaturer simplement).
      Pour contourner les récits supports, ils sont obligés de découper, paraphraser, edulcorer, imaginer, au point que le resultat devient insipide et incompréhensible. Ayant assisté à une reception 4e ordre de ce type, pas plus que le recipendiaire que les officiers ne se montrent capables de donner quelque sens à cette cérémonie.
      Sans être forcément athée, on peut aussi s’etonner de la similitude chrétienne.
      Alors pourquoi le très judaïque temple de Salomon ne derange pas trop, maisle chrtien 4e ordre/18e, oui ?
      Il me semble que la solution est tout simplement d’aborder tout celà en FMaçons, c’est à dire en prenant une distance avec le récit qui n’est que support, nullement devot, au processus maçonnique individuel et fraternel.
      On peut aussi considérer que le christianisme (débarassé des oripeaux cléricaux de l’ECAR et autres) procède de manière similaire pour declencher un processus interne appellé « la foi »(qui n’est pas une pensée que quelque chose serait réel, veridique).
      Nous sommes helas coincés entre des demarches devotes cultivées chez des religigio-sectaires, totalement sterilisantes (maçnniquement) et le desarroi des approches « athées » ayant fébrilement vidé de toute substance.
      Il y a pourtant un chemin constructif et très riche.

  • 9
    joab's
    7 avril 2020 à 15h18 / Répondre

    Je me souviens d’un excellent travail d’Edmond Mazet (un des pères du retour des ordres de sagesse) sur le sujet et qu’il nous avait exposé. Faut que je remette la main dessus.

    • 13
      marcos testos
      7 avril 2020 à 18h39 / Répondre

      8- Joab’s alias Joaben, si tu as eu effectivement l’insigne honneur d’assister à un travail d’Edmond ce devait être avant que tu te fasses viré de la GLNF. En tout une chose est sure c’est que pauvre Edmond serait malade si il lisait certains de tes commentaires sur la GLNF.

      • 15
        Désap.
        7 avril 2020 à 19h15 / Répondre

        12 – 🙂 🙂 faut dire que la GLNF en a viré 20 000, dont 90% se sont échappés.
        Plus prés de toi mon Dieu, tous des mécréants athées 🙂 🙂

      • 16
        joab's
        7 avril 2020 à 19h25 / Répondre

        A part un commentaire injurieux et calomnieux de plus, toujours rien.
        Pour pallier à ton ignorance, et quelque soit ton dépit, jamais « viré » de GLNF …
        Geplu puisque tu as laissé passer cette nouvelle injure de l’energumène MTestos, tu ne verras pas d’inconvenient à ce qu’il ait la reponse .. à sa hauteur.
        Edmond, comme Michel D. (écoeuré lui aussi par vos agissements) sont des frères GCF qui me sont chers, loin des agissements de votre groupe.

  • 7
    Philippe
    7 avril 2020 à 12h29 / Répondre

    Mon cher Pierre,

    « Standard » dis-tu ?
    Reprenons les rituels actuels : que ce soit au GCG (version 2002), au GCF (2018), au SCRFT (2006) ou au GCRF, la description dans le rituel est toujours la même :

    « une pierre d’agate de (taillée en) forme quadrangulaire, sur laquelle il fit graver, à la face supérieure le(s) mot(s) substitué(s), à la face inférieure tous les mots connus (secrets) de la Maçonnerie et sur les (aux) quatre faces latérales les combinaisons cubiques des (de ses) nombres, ce qui la fit dénommer : « Pierre Cubique » »

    A noter une note d’instruction très intéressante dans le rituel du SCRFT, p. 3 s’interrogeant justement sur la forme de cette Pierre Cubique, quant au rituel du GCRF il présente les illustrations de Chéreau et du rituel de 1786.

    Bref, à quelle représentation la description donnée dans nos rituels actuels celà te fait il penser ? 😉

  • 6
    Désap.
    7 avril 2020 à 11h52 / Répondre

    Par ailleurs, la Pierre Cubique est toujours la même qu’elle soit dans les Grades ou les Ordres.
    La pointe ne représente pas une forme extérieure de la pierre, auquel cas elle ne pourrait servir à la construction de l’Edifice, mais ce qui se trouve à l’intérieur de la pierre.
    La pierre représente la Terre et ce qui se trouve à l’intérieur (l’E:. Fl:.) l’esprit ; le symbole représente l’esprit dans la matière.

  • 5
    DaXaD
    7 avril 2020 à 11h39 / Répondre

    Bonjour,
    Pour rebondir sur la solution de Philippe Michel, en consultant le dictionnaire de Trévoux 1721, le terme « nombres cubiques » s’applique aux nombres qui se peuvent ranger en cube. Ce dictionnaire prend comme exemple 5 et 125 (comme notre pierre » cubique »)
    D’où ma proposition, le terme cubique pourrait-il ne pas s’appliquer à la forme de la pierre en question, mais uniquement aux nombres que l’on retrouvent sur les 4 faces latérales ?
    Ce qui est le cas de ses 4 faces : 3 élevé au cube, 5, 7 et 9 aussi.
    Nous avons bien une pierre cubique car développant le cube des 4 chiffres maçonniques impairs (3, 5, 7,et 9). Ce serait donc son contenu plutôt que sa forme qui aurait donné le nom de pierre cubique à l’artefact du IIe Ordre.

    • 8
      Philippe
      7 avril 2020 à 13h22 / Répondre

      Excellent !!!
      Merci DAXAD. Celà explique le nom donnée à la pierre qui ne serait alors en rien géométriquement cubique.

  • 4
    Désap.
    7 avril 2020 à 11h31 / Répondre

    Ne serait-ce pas plutôt :
    commençant par le T, on monte à l’U on descend au B remonte au A descend au L descend au C remonte au … et on obtient le M du 1 G:.

  • 3
    Chéné Patrick-André
    7 avril 2020 à 11h17 / Répondre

    je vous conseille le numéro de la revue du SCDF ordo ab chao consacré à ce sujet

  • 2
    Pierre Mollier
    7 avril 2020 à 10h52 / Répondre

    Voilà une solution ingénieuse ! et qui semble coller à la lettre du texte du rituel de 1784-86.
    Néanmoins je ne peux m’empêcher de penser qu’une pierre décrite comme « cubique »… doit ressembler à un cube 🙂
    … et que donc la description du rituel est un peu approximative.
    De toute façon, c’est le « standard » créé par Chéreau en 1806 qui s’imposera aux Chapitres.

  • 1
    willermoz 59
    7 avril 2020 à 9h22 / Répondre

    Cruciverbiste, verbicruciste ou rosicrucien … le mot substi/tué , je confonds toujours mais cela fait rêver dans le temps et l’espace.. et c’est l’essentiel pour ma part, c’est plus fort que les chiffres et les lettres, peut être son origine ?.

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous