Réélection de Catherine Jeannin-Naltet, GM de la GLFF

Publié par Jiri Pragman

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mardi 17 septembre 2013
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  • 7
    la Maçonne
    23 septembre 2013 à 11h49 / Répondre

    Une majorité obtenue avec une seule candidate.
    Je n’appelle pas cela « une démocratie agissante ». On vote ce que l’on a.
    Tout en modérant mon propos, en ajoutant que le poste de GM à la GLFF est un plan-galère – au moins un boulot à plein temps – et devant cumuler deux qualités : celle de communicante et celle d’administrative. Ce n’est de toute manière pas l’organe décideur de l’obédience.

  • 6
    Une sœur
    22 septembre 2013 à 19h01 / Répondre

    Je reprends l’ensemble du contenu de l’article publié ainsi que ces premiers commentaires, je les mets en parallèle… D’un côté, je lis un bilan et des perspectives constructifs, de ceux qui permettent à un groupe de s’étoffer et de se projeter dans l’avenir, non seulement dans de bonnes conditions matérielles mais également dans le respect de nos principes et de nos valeurs en dehors des querelles de chapelles.

    Les Soeurs Députées de la Grande Loge Féminine de France ont réélu leur Grande Maîtresse par 287 voix soit 83% des suffrages exprimés… Se seraient-elles senties à ce point victimes de « dirigeantes de la GLFF fermées », d’un »fonctionnement démocratiquement mandarinesque », d’oukazes… pour donner à leur Grande Maîtresse une majorité aussi confortable lui permettant comme à l’ensemble du Conseil Fédéral de poursuivre leur tâche sous le contrôle des SS Députées ?

    Il n’aura échappé à aucune des participantes à ce dernier Convent que celles-ci ont su faire valoir leurs points de vue avec force et vigueur !… Elles n’auront à aucun moment « marché droit sous peine de sanction ».

    « Mes Soeurs, changez votre Obédience » : C’est très exactement ce qui s’opère actuellement… Dans le respect d’évolutions qu’il faut vouloir progressives pour que toutes les Soeurs de la Grande Loge Féminine de France puissent participer activement à celles-ci et ainsi pérenniser leur Obédience que TOUTES souhaitent tolérante, ouverte,accueillante et fraternelle…

    Pour celles qui auront pu se sentir victimes de décisions qui les auront atteintes, cette perspective d’évolution saura les satisfaire. Notre constitution et nos règlements généraux ne sont là que pour assurer une assise qui permette à toutes celles qui le souhaitent de s’intégrer dans notre Obédience pour en pérenniser un fonctionnement cohérent.

    J’espère que ces quelques remarques nous permettront de prendre hauteur et distance dans un contexte ouvert.

  • 5
    la Maçonne
    22 septembre 2013 à 16h07 / Répondre

    Ce n’est pas que mes articles « Reconnaissance & autres contagions » et « Qui passe l’aspirateur? » soient des modèles du genre, mais ils permettent de faire le tri avec des remarques sur « les dominatrices » de la GLFF.
    La GM et son Conseil Fédéral pourraient appliquer son idée « d’indépendance » d’ors et déjà avec le RF et ses grades de perfection (le REAA étant indépendant et s’y trouvant bien) en rendant ses patentes au GODF, qui dans le dossier actuel, se veut « gardiens du rite » – ce qui n’a rien arrangé. Les loges n’ont pas statuées lors du convent. Elles se sont contentées de faire savoir au CF et à la GM que les affaires des Hts Grades ne les regardaient pas. Une forme de statue quo en attendant de savoir plus?
    Le 2nd Chapitre français réunit aujourd’hui trop de soeurs pour que les dirigeants se permettent de radier qui que ce soit. Elles mettraient en danger toutes les loges du RF de l’obédience, des loges entières risqueraient de se fermer.

    De nombreuses soeurs de la GLFF sont, effectivement, suffisantes et bien bêtes lorsqu’elles parlent de la mixité. « elles sont contre », disent-elles. On dirait presque entendre des frères de la GLDF…. C’est dire que certaines ont du boulot. Enfin, autant que la GLDF, mais c’est une autre histoire.

  • 4
    von wisserens
    22 septembre 2013 à 13h05 / Répondre

    Les hauts grades font souvent le ménage et gardent la Tradition !

  • 3
    leonid davidovich Bronstein
    19 septembre 2013 à 14h19 / Répondre

    Si ce que dit Anonyme est vrai, cela voudrait dire que l’argument selon lequel les femmes auraient besoin d’un lieu pour éviter la pression masculine ne tiendrait pas la route et que ces femmes subiraient en fait à la GLFF la pression d’autres femmes, sans parler de la drague, dont chacun sait qu’elle racle le fond en mono-genre comme en mixité. Donc, en fait, la domination on ne pourrait y échapper.
    En conséquence le modèle différentialiste féminin serait inopérant, sauf pour les dominatrices.
    Bien des noirs africains se sont posés la question: Prince hall ou la maçonnerie avec les blancs, les jaunes, les verts, en loge bleue.

  • 2
    Triste
    19 septembre 2013 à 10h49 / Répondre

    On se souviendra de l’article du Rififi chez les Sœurs

    Il est dommage de constater au sein de la FM qui se devrait universelle la multiplication des excommunications, interdits, …qui vont à l’encontre de notre idéal.

    Mais la GLFF n’est malheureusement pas isolée : qu’on relise les récentes déclarations du F Catala …

    Un jour les Freres et Soeurs devront s’interroger si la fraternité qu’on leur impose n’est pas inférieure à celle qu’il avait, en leur idéal, lorsqu’ils sont entrés en maçonnerie.

  • 1
    anonyme
    17 septembre 2013 à 12h18 / Répondre

    J’écris ce message sous couvert d’anonymat pour une fois.

    la stimulation de l’esprit d’échange et de liberté qui caractérise le fonctionnement démocratique de la Grande Loge Féminine de France

    Je n’ai qu’un mot à dire: mon c….. Il n’y a pas pire fermée que les dirigeantes de la GLFF. Avec une liste de motifs de radiations longue comme le bras, avec des soeurs autoritaires et un fonctionnement démocratiquement mandarinesque, avec ses oukazes sur les soeurs. Non la GLFF n’est pas une obédience tolérante et ouverte. La rigueur y est confondu avec le rigorisme, les soeurs ont intérêts à marcher droit sous peine de sanction et l’espèce de suffisance, qui confine au mépris, envers les soeurs qui travaillent en mixité (sans doute des esclaves des hommes) est insupportable.
    Mes très chères soeurs, changez votre obédience. Les combats féministes, le symbolisme au féminin, les femmes ont besoin de vous. Elles ont besoin d’un lieu accueillant et fraternelle, pas d’une espèce de couvent avec des figures autoritaires et hautaines.

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