la prisonnière du désert

Quelques maçons dans quelques westerns

Publié par Julien Vercel

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mercredi 3 juin 2015
Étiquettes :
  • 8
    Chaboud
    9 juin 2015 à 11h29 / Répondre

    Mon cher Arsène,

    On m’a traité d’autoproclamé, j’aurais pu, souverainement, voler au dessus de l’assertion en question, ça m’a vraiment amusé de dérouler mon cursus comme un tapis persan. La question posée est toujours celle de maçons ne connaissant que les références maçonniques qui sont souvent un peu (beaucoup) justes dans certains domaines.
    Pour le western, je ne suis pas compétent, mais pour le cinéma, il y a un expert au GODF : Jean-Louis Coye.
    Et c’est ainsi que le GADLU et l’écriture sont grands.

  • 7
    Arsène
    8 juin 2015 à 16h42 / Répondre

    Pas de CV à dérouler ici, ça frise le ridicule
    Mais décidément, quelle difficulté à sortir des sujets originaux!
    Mais ne te décourage pas Julien!
    Propose nous d’autres thèmes de cet acabit

  • 6
    hrms
    4 juin 2015 à 12h09 / Répondre

    Il n’est pas inutile de jeter aussi un coup d’oeil sur l’ouvrage intitulé « Franc-maçonnerie et 7e Art » de Harry Swerts paru chez Dervy en 2005. Certes cet ouvrage est plus généraliste que spécifiquement orienté Western, mais pas in intéressant au titre de curiosité. Sans plus pour moi..
    hrms

  • 5
    Chaboud
    4 juin 2015 à 9h49 / Répondre

    Pour « Benoit Malon » (pseudonyme de ????).
    La maçonnerie regorge d’auteurs et conférenciers auto proclamés »écrivains », « philosophes », et on est déçu quand on regarde leurs publications.
    Les maçons plus ou moins impliqués dans l’écriture ne voient souvent pas au delà de la FM.
    En ce qui me concerne, du côté maçonnique, j’ai publié dix ouvrages sure la FM (Albin Michel, Plon, Librio, Milan, Dervy, Chronique, Hachette, Aubéron, Télérama), et des articles dans « Le Monde des Religions », « Franc-maçonnerie Magazine », « Histoire et Patrimoine », « Humanisme », « La chaîne d’Union ». J’ai été membre du comité de rédaction d’Humanisme pendant 4 ans.
    Du côté BD, j’ai été pendant 10 ans conseil et scénariste pour Glénat Concept, filiale des Editions Glénat, co-dirigée par mon épouse et leader en France de la communication par la BD, j’ai publié un ouvrage de théorie sur le sujet « BD, outil de communication » chez Eyrolles. Comme scénariste : 2 albums (Futuropolis, Une idée bizarre), je suis le co-auteur, avec Dominique Dupuis de « Quai des bulles » chez La vie du rail. J’ai contribué aux albums collectifs (Bourgeon à la hune » et « La méthode historique chez Jack Martin » « Images pour une résistance ». J’ai contribué pendant 8 ans à « L’année de la BD », j’ai publié dans « Circus ». Je suis l’auteur d’une trentaine d’articles et critiques sur la BD dans différents journaux … Conférences, émissions télé… (La liste intégrale de mes travaux BD est disponible sur simple demande).
    Concernant la littérature, je suis l’auteur d’une trentaine d’ouvrages, répartis en romans, recueil d’aphorisme, nouvelles, ouvrages pour la jeunesse, ouvrages documentaires. J’ai collaboré à 4 recueils de nouvelles, dont 2 avec Philippe Delerm. J’ai été membre du comité de rédaction de la revue littéraire « L’ingénu » et publié dans « XX° siècle », et « Brêve ».
    Après avoir créé et animé les romans jeunesse de Magnard pendant 10 ans, je suis éditeur extérieur en littérature générale chez Plon.
    Last but not the least, j’ai été membre des CA du Centre des Lettres de Rhône-Alpes, du salon « Quai du polar » et de la Charte des auteurs jeunesse.
    Encore un petit additif, je publie en octobre un « Esotérisme pour les Nuls » chez First.
    Je suis diplômé de l’IEP Grenoble et licencié es lettres.
    Je vis exclusivement du droit d’auteur depuis plus de 25 ans.
    Tout ça, ce n’est pas pour étaler de la confiture sur ma tartine, mais pour m’interroger sur l’autorité autoproclamée de ce cher « Benoit Malon », qui aurait peut-être pu trouver un autre champ de bataille.
    Bien fraternellement (si c’est le cas).

  • 4
    personne
    3 juin 2015 à 22h10 / Répondre

    La scène de western qui rappelle le plus un rituel maçonnique, c’est la scène des Magnificent Seven où Yul Brynner parle avec un quidam local qui lui demande d’où il vient et où il va (la scène qui suit celle du cimetière). je ne sais si John Sturges ou les acteurs étaient maçons, mais cette scène ne peut que faire sursauter un MM.

  • 3
    Western union
    3 juin 2015 à 14h04 / Répondre

    Cette recherche est très originale, ça change des marronniers .
    Mais il faut avoir l’habitude des mauvais coucheurs qui n’ont qu’envie de se faire mousser

  • 2
    Benoit Malon
    3 juin 2015 à 13h35 / Répondre

    Peut-être pourrait-on inviter Jack Chaboud à méditer sur la formule :  » Etes-vous franc-maçon ? MES FRERES ME RECONNAISSENT COMME TEL  » . A ma connaissance, ce frère, spécialiste auto-proclamé des rapports entre la littérature de fiction et la FM en général et des rapports entre la Bd et la FM, n’a pas signé des ouvrages faisant autorité sur le sujet . Que ne l’a t il fait ?
    Cela lui éviterait de se positionner en juge  » auto- proclamé » de la compétence en ce domaine , lui qui se permet de critiquer tout ce que les autres produisent d’analyses sur ces thèmes , lui qui n’en a signé aucune qui soit , aux yeux de tous ,  » reconnue » . Je ne doute pas de sa compétence . J’attends qu’il la prouve par des textes publiés. il y a assez d’éditeurs pour que sa compétence soit publiée …
    En attendant cela, puis-je le prier de cesser de s’ériger en  » juge » . Je ne sache pas que sa  » légitimité » soit unanimement reconnue . Ceci, d’ailleurs, expliquant, sans doute , cela….

  • 1
    Chaboud
    3 juin 2015 à 10h34 / Répondre

    Sans vouloir diminuer les mérites de ce travail de recherche, n’est ce pas faire accoucher la montagne d’une souris.
    Dans les exemples donnés, la FM n’est que furtivement identifiée, sans qu’on puisse attribuer aux personnages en question des qualités ou appartenances maçonniques particulières, d’autant qu’il existe aux Etats-Unis des mouvements paramaçonniques.
    L’intérêt de la relation d’une oeuvre de création avec la maçonnerie doit, selon moi, être forte : par son thème et la personnalité de l’auteur. Des « travaux » que je qualifie de particulièrement légers ont ainsi été publiés sur la maçonnerie et la BD. Il y a quinze ans, la « Chaîne d’Union » (n° 29) m’avait demandé un dossier sur le sujet, à l’issue de ma recherche, j’avais conclu qu’en dehors de quelques traits vraiment forcés, on pouvait se limiter à quelques œuvres et quelques auteurs. Idem pour la littérature (voir mon article dans Humanisme (n°300).

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