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Géplu.
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« Et c’est ainsi qu’Hiram est grand » est le titre d’un roman policier maçonnique publié en février 2007 par Dervy dans une collection appelée « L’aventure initiatique », qui n’a pas fait long feu (2006-2007); elle se déclinait en deux séries, « aventures historiques » (trois volumes en tout) et « romans policiers (trois volumes également, les deux autres étant « Le projet Salomon d’Alain Guyard, et « La conjuration des Vengeurs », de Laurent Ducastel et Jacques Viallebesset »). « Et c’est ainsi qu’Hiram est grand » est dû à la plume de Marc Viellard, journaliste, romancier, auteur d’ouvrages sur la Maçonnerie et ancien rédacteur en chef d’«Humanisme», la revue du GODF.
Qui a donc l’antériorité de la propriété intellectuelle de cette expression? Je n’en sais rien, mais je tenais à apporter une (toute petite) pierre à l’édifice de la connaissance littéraire.
MTCF ,
Etant l’éditeur de cette collection chez Dervy, c’est effectivement moi qui ai donné ce titre au roman de mon ami Marc Vieillard… La boucle est ainsi bouclée …
Fraternellement
AJL
comment peut in deposer et enregistrer un terme generique : le bordeaux francais, la franc maconnerie francaise, l’agriculture francaise, la musique francaise, etc…
il doit y avoir beaucoup d’intellectuels qui sommeillent a l’INPI
…blog maçonnique a bien été déposé
Maçonnerie de la Marque ?
Bonjour
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« https://www.hiram.be/la-maconnerie-francaise-existe-t-elle-toujours/ »
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Recherche INPI de ce jour : marque Françaises non en vigueur, « La maçonnerie Française »:
Marque française
Image de la marque
Marque française non en vigueur :
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Marque : LA MAÇONNERIE FRANÇAISE
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Classification de Nice : 16 ; 38 ; 41
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Produits et services
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Papier, produits de l’imprimerie, livres, journaux, revues. Transmission d’information par voie télématique, messagerie électronique. Education, formation, divertissement, services de clubs (divertissement ou éducation) , organisation et conduite de colloques, organisation de concours (divertissement) , organisation et conduite de conférences, organisation et conduite de congrès, organisation d’expositions à buts culturels ou éducatifs, organisation et conduite de séminaires, organisation et conduite de symposiums, publication de textes (autres que publicitaires) , publication de livres, publication de journaux, publication de revues.
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Déposant : GRAND ORIENT DE FRANCE, 16, rue Cadet,75009 PARIS, FR (SIREN 784411571)
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Mandataire : XXXXXXX
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Numéro : 3145801
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Statut : Marque ayant fait l’objet d’une renonciation totale
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Date de dépôt / Enregistrement : 2002-01-10
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Lieu de dépôt : INPI PARIS
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Inscription
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renonciation totale no 445164 du 2006-12-06 (BOPI 2007-02)
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Historique
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Publication 2002-03-15 (BOPI 2002-11)
Enregistrement avec modification (BOPI 2002-28)
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Où est il fait mention de l’IMF ?
AJ Lacot ne dis pas que c’est l’IMF qui a déposé « La Maçonnerie Française ». Il dit que c’est lui qui a fait la démarche avec les services administratifs du GODF pour le compte du GODF.
Il ajoute mais c’est un autre « dossier » qu’il a aussi fait déposer pour le compte de l’IMF » Institut Maçonnique de France »
Marque qui n’est plus utilisée depuis 2006 !
Marque ayant fait l’objet d’une renonciation par le GODF effectivement en 2006 par un Grand Maitre trop content de faire suite à la demande de la GLDF. Pour le premier il s’agissait d’effacer les traces de l’œuvre d’Alain Bauer devenu conseiller de Sarkozy, pour le second de prétexter une emprise du GODF sur la maçonnerie française en vue de préparer son dossier sur la énième demande de « régularité » auprès de la GLUA que l’initiative de Michel Barat co-fondateur de la Maçonnerie Française avait largement fait reculer.
Je n’ai pas pour habitude d’intervenir pour « commenter » sur les réseaux sociaux, mais je profite du fait que mon nom soit cité dans cet article de Géplu pour RECTIFIER deux « légendes » de l’histoire maçonnique récente en France. Ayant été « recruté » le 1 Décembre 2002 par l’IMF pour coordonner le 275ième anniversaire de « la Maçonnerie française », j’ai géré, sous la responsabilité de Patrice Deriémont, l’ensemble des événements et de la communication de cet anniversaire, de Décembre 2002 à juillet 2003.
C’est moi qui ai fait déposer à l’INPI, par les services administratifs du GODF, et pour des raisons de « facilité », les marques « Maçonnerie française » , et « Institut Maçonnique de France » POUR LE COMPTE DE L’IMF. Il faut être d’une mauvaise foi absolue pour y avoir vu en 2006, une tentative du GODF de main-mise du GODF sur les autres obédiences. Cette « rumeur » sans fondement réel, mais avec de bien mauvaises intentions est née à la GLDF et a été depuis largement répandue par certains. Jamais quelqu’un a pris la peine de m’interroger sur la réalité…
Dans le même temps, en Juillet 2003, les GM de l’époque (Yves-Max Vitton étant le nouveau GM de la GLDF), il a été décidé unanimement par ceux-ci de créer un événement destiné à devenir pérenne, dont l’IMF serait l’organisateur. Il a été décidé par eux qu’il aurait lieu à la GLDF, celle-ci mettant ses locaux et ses moyens logistiques à disposition. C’est ainsi qu’a été créé LE SALON MACONNIQUE DU LIVRE dont j’ai été, dès l’origine, l’un des organisateurs opérationnels, en étant nommé par le Président de l’IMF « coordinateur éditorial ».
Voilà la réalité. Toute autre interprétation ne repose sur aucun fondement.
Il parait que les francs-maçons « recherchent la vérité » ?!?! Il semblerait que certains ne s’en soucient guère préférant, dans un souci de chapelle, la propagande. C’est pourquoi, au moins sur les points que je connais, je me permets de la rétablir.
Accessoirement la marque Salon maçonnique du livre appartient à la GLDF >> https://bases-marques.inpi.fr/Typo3_INPI_Marques/marques_fiche_resultats.html?index=50&refId=3381112_201236_fmark
Absolument. C’est ce qui avait été convenu sur le « partage » de l’évènementiel entre La Maçonnerie Française, l’IMF et le Salon du livre.
Précisions sur le droit des marques: contrairement à ce que croient de nombreuses personnes, le fait que l’INPI accepte un dépôt de marque et donne un certificat veut simplement dire que personne n’a fait le même dépôt antérieurement. Souvent, ceux qui ont fait un dépôt et se sont vus remettre un certificat par l’INPI prennent celui-i comme une « attestation de propriété », ce qui est une erreur, prouvant, simplement, une méconnaissance du droit de la propriété intellectuelle. Ce qui joue en la matière c’est l’usage de la marque. Toute personne prouvant qu’elle utilise de façon constante une « marque » antérieurement à son dépôt par une autre gagne systématiquement devant les tribunaux. Un usage constant antérieur prévaut sur un dépôt ultérieur, la jurisprudence est permanente sur ce point. Je rajoute qu’une simple « appellation » ne saurait être considérée comme « marque ». Aux yeux du droit est considérée comme « marque » une appellation accompagnée d’un graphisme (logo) ou écrite dans une typographie particulière. Il est donc erroné d’écrire que la « marque Salon Maçonnique du livre appartient à la GLDF ». Si elle le croit, c’est qu’elle ignore le droit, puisque l’IMF en fait usage depuis 2003.
Elle en a même profiter pour déposer « Salon maçonnique du livre de Paris » deux jours avant l’IMF
https://bases-marques.inpi.fr/Typo3_INPI_Marques/marques_fiche_resultats.html?index=2&refId=4090367_201503_fmark&y=112
1/ Très intéressant rappel pour expliquer le comment et le pourquoi, bref la génèse de l’I.M.F. et du Salon Maçonnique du Livre (de Paris à l’origine, j’imagine, car depuis il y en a bien d’autres, avec souvent d’ailleurs l’I.M.F. à la manoeuvre). Cette intervention de A.-J. Lacot, me permet, à titre strictement personnel, de mieux le (te) connaître. Jusqu’ici, et je sais que c’est peu de choses au regard de ton implication dans l’I.M.F., je ne peux m’empêcher, chaque fois que je vois ton nom, de l’associer à la première où je l’ai croisé: comme signataire du prologue de la 1ère édition, en 2013, du recueil de nouvelles du 2ème salon maçonnique du livre et de la culture de Rennes (cf. I.M.F.-Bretagne), recueil intitulé « Des plumes dans l’encrier maçonnique ». La conclusion de ce prologue était: »Et c’est ainsi qu’Hiram est grand… ». Cette allusion, à peine voilée, à Alexandre Vialatte, m’a toujours parue intéressante, complice même. Je me dis qu’un inconnu (de moi)qui se réfère, même par allusion presque clandestine,à Vialatte ne peut pas être un homme exempt de qualité, et d’humour.
Peut-être même, pourrait-il nous dire, ce dont je suis curieux depuis longtemps, si Vialatte avait quelque lien connu ou non, avec nos colonnes. La fréquentation régulière de ses chroniques (de la Montagne)ne me permettent pas de le savoir. Mais, et quoiqu’il en soit d’ailleurs, l’écrivain Vialatte mérite notre attention.
2/ Pour en revenir au sujet du présent article, lui même déclinaison d’articles précédents, je suis fatigué. Martial Gabin par ici, Martial Ventura par là. Cà aurait pu être amusant, çà ne l’est pas, çà ne l’est plus. Je ne suis qu’un frère parmi d’autres, initié curieusement l’année de ce 275ème anniversaire dont on nous reparle ici. Je suppose que, comme d’autres, je picore, je butine, je voyage d’un blog à l’autre. Ici, bien sûr, souvent, chez d’autres aussi.Un peu de Turbet, un peu de Contremoulin, un peu de Koch aussi, parfois d’autres aussi. Après tout la toile, la planète informatico-maçonnique est assez large pour nourrir la curiosité de chacun.
Mais je suis fatigué. Fatigué par les « et qu’il m’a dit, et que je lui ai dit, et qu’il m’a redit, et je te lui redis que ».
L’Eté est là, essayons de passer de bonnes vacances…
Les querelles de personnes, de formules, de phrases, de mesquineries aussi, sont-elles ce qu’on attend entre frangins?
Je ne les crois pas inscrites dans les fondamentaux fraternels de nos obédiences respectives.
Je suis fatigué de ces passe-d’armes plus stériles que vraiment constructives. Je ne dis pas qu’il faut obligatoirement censurer, mais attention à ne pas laisser trop d’espace à ce type d’interventions.
Je suis tellement fatigué de ceci, que j’en deviendrai presque grossier.
Qui a dit: « Les cons cà ose tout, c’est même à çà qu’on les reconnait »?
Martial Audiard peut-être….
Bref que chacun se ressaisisse, et laissons les querelles de cour de récréation à ceux qui sont de ce niveau-là. Et à ceux-là seulement. Et qu’elles restent dans ces cours de recréation-là,uniquement. Et ne viennent pas polluer des espaces où sont surtout attendues les démonstrations et les initiatives de fraternité.
Et ainsi, nous passerons tous un bien meilleur Eté.
Merci Lazare de ce commentaire Oh combien justifié (je parle plus particulièrement de sa seconde partie). J’ai beaucoup hésité avant de rédiger ce papier polémiste, et de rentrer dans le petit jeu de la mesquinerie et de la médiocrité du papier auquel il répond. Jusqu’à présent j’avais toujours laissé les chiens aboyer, me contentant de suivre mon chemin. Mais tout de même, pouvais-je me laisser traiter de « blog de désinformation » sans réagir ?… Il a des limites tout de même.
L’article de JLT était d’une grande malhonnêteté intellectuelle. Que faire ? Laisser encore passer ? Mais c’était laisser la porte ouverte à tous les abus ! Allez-y, calomniez Hiram.be, il ne répond pas !
Alors, pour une fois j’ai répondu, et sur un ton qui montre à ce petit monsieur que s’il y revient il pourrait s’en prendre plus, ce n’est pas la matière qui manque. J’en ai marre. L’article sur Charuel ne l’attaque pas donc ne le concerne pas, sauf à ce qu’il nous dise clairement qu’il n’est effectivement que le toutou servile évoqué. Alors de quoi se mêle-t-il, et pourquoi cette agression ? La liberté d’expression, n’en déplaise à monsieur Turbet ça existe, et je tiens à en user, ne lui en déplaise. Alors qu’il vive sa vie, suive son chemin et cesse de se mêler de celui des autres.
Maintenant, j’espère effectivement ne pas être obligé de devoir refaire de telles mises au point dans le futur, ce n’est pas mon objectif ni un plaisir, mais s’il le faut, il y en aura.
A bon entendeur(s), salut.
Il n’est jamais inutile de rappeler comment et pourquoi certains évènements sont arrivés sous peine d’être obliger de les revivre. Je parle des médisances évidemment. Pour ma part je suis prêt à revivre cette époque heureuse ou les francs maçons de toutes les Obédiences se donnaient la main
MTCF,
Tu as raison, la formule « et c’est ainsi qu’Hiram est grand » m’a bien été inspirée par le fameux « Et c’est ainsi qu’Allah est grand », formule avec laquelle Alexandre Vialatte concluait ses loufoques « chroniques d’un Montagnard » dans les années 50 et 60. L’ensemble de ces chroniques parues dans le quotidien régional « La Montagne » ont été publiées il y a quelques années par les éditions Robert Laffont dans sa collection « Bouquins ». Les temps étant ce qu’ils sont, gageons que Vialatte aurait quelques soucis s’il utilisait cette formule à l’heure actuelle, l’humour n’étant la qualité principale des fanatiques de tout poil. Quant à la formulation « Et c’est ainsi qu’Hiram est grand », j’en revendique, avec humour, l’usage littéraire et donc la propriété intellectuelle et artistique (voir mon commentaire sur le droit des marques)
Et c’est ainsi qu’Hiram est grand…
AJL
PS: Quant au reste de ton commentaire, je m’en tiens à un certain « devoir de réserve ».
C’est effectivement dans la collection « Bouquins » que je les ai aussi maintenant ( et donc enfin toutes!), après quelques unes des parutions en poche. Mais non rééditées depuis longtemps.
Cela dit pourquoi « loufoques », ces chroniques? Ou plutôt pourquoi uniquement « loufoques »? De mon point de vue c’est bien plus que çà: de véritables pépites surréalistes certes, mais d’une intelligence, d’un raffinement! J’allais dire à consommer sans modération. Parfois un peu datées, certes, Vialatte étant décédé en 1971, mais un véritable réconfort spirituel.
Cela dit, je n’ai toujours pas de réponse à ma question: Vialatte a-t-il eu ou non un lien avec la Franc-Maçonnerie? Peut-être devrais-je interroger l’association qui porte son nom, et qui est à l’origine depuis quelques années du prix littéraire Alexandre Vialatte (prix qui semble bien trouver sa place dans le paysage des prix, et c’est fort bien ainsi).
Internet ton univers impitoyable
Pour journaliste, je ne sais pas d’où ça sort bien que j’ai pu écrire quelques articles déci delà dans la presse profane ou maçonnique, mais pour expert international, le Frère Ventura fait peut être allusion à mon parcours universitaire et à mon DESS de « Droits et Pratiques des Affaires Internationales » de l’Université de Nice Sophia Antipolis et de mon diplôme de 3ème cycle de l’Institut d’Etudes des Relations Internationales (ILERI) de Paris. Mais cela n’a rien à voir avec la maçonnerie.
peut être le nouveau défaut de la Franc Maçonnerie ; faire croire que les Maçons savent tout et cela pour tout le monde surtout le monde profane et même parfois pour les enfants et les femmes de francs maçons!
et ainsi la tète gonfle. gonfle.. gonfle…..alors…….
Au secours Jiri Pragman reviens.
Touché. Coulé.