PVI 156. Les droits et les devoirs de l’homme

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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jeudi 22 juillet 2010
  • 4
    d'Epée
    22 juillet 2010 à 15h35 / Répondre

    +1
    Néanmoins sur le fond de cette livraison de PVI, il me semble qu’il y a une forme d’abus de pensée à lier ainsi depuis quelques années les droits et les devoirs de l’homme. Il se pourrait qu’à les faire cohabiter dans les mêmes phrases, nous trouvions bientôt normal de subordonner l’exercice des uns à la mise en œuvre des autres… Et ne pourraient alors avoir des droits que ceux qui seraient à même de faire prendre en compte l’exercice de leurs devoirs ou au moins son apparence. Rappelons nous que la déclaration des droits de l’homme n’est universelle que parce qu’elle n’est soumise à aucune condition. là est sa grandeur.
    De la même façon mais a rebours, l’exercice des devoirs fondement de l’Art Royal ne confère aucun droit.
    Les droits sont indiscutables. Les devoirs sont indiscutables. Le lien qui est souvent fait entre eux est contestable surtout lorsqu’il s’agit d’un lien de subordination.

  • 3
    Rethy
    22 juillet 2010 à 14h42 / Répondre

    @ Christophe +1

  • 2
    kalilooela
    22 juillet 2010 à 13h52 / Répondre

    +1

  • 1
    Christophe
    22 juillet 2010 à 11h17 / Répondre

    Merci de cette information.

    La grande majorité des francs-maçons et francs-maçonnes du continent européen sont depuis trop longtemps traités avec mépris par cette « certaine franc-maçonnerie française » qui n’a cessé depuis plus de 20 ans de se discréditer dans l’affairisme et qui maintenant se ridiculise dans un feuilleton médiatique aux relents de règlements de comptes sectaires.

    Face à la médiocrité de cette franc-maçonnerie « anglo-française » prétentieuse et donneuse de leçons, il y a la franc-maçonnerie de tradition « continentale » authentique: celle qui a créé l’office d’orateur et oublié celui de chapelain, celle qui a su porter des idéaux démocratiques, celle qui a inventé les « planches », celle qui a fait évoluer ses rituels tout au long des 18ème et 19ème siècles pour se transformer progressivement en une véritable démarche initiatique, en dépassant ainsi le stade de la simple fraternité charitable d’affairistes monothéistes à la manière anglo-saxone.

    Pour cette franc-maçonnerie là, il n’y a qu’une réponse possible aux scandales de l’autre: Des travaux dignes et de qualité, publiés dans le calme et uniquement lorsqu’ils peuvent être présentés au public.

    Cet exemplaire de PVI en semble un bon exemple. C’est en tout cas dans cette direction qu’il faut travailler car il n’y a qu’ainsi que nous pourrons prouver clairement que nous n’avons rien à voir avec les déballages de ces pseudo « monarques constitutionnels » autoproclamés mais manifestement indétrônables.

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