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Géplu.
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Merci pour cette critique.
Ce fut une aventure passionnante, cette recherche qui est effectivement partie d’une interrogation sur l’autoritarisme médical.
Et même si Proudhon n’a pas eu de relation directe avec cette Université (Université libre de Bruxelles), il a eu beaucoup d’amis de cette Université ou venant de cette Université.
Dans la mesure où la Marxisme pénétrera tardivement au niveau des nouveaux dirigeants socialistes, le Bakounisme, contrairement à la Suisse, y eut peu d’influence, une extrême droite assez inexistante en Belgique à cette époque, le proudhonisme belge ne prendra jamais l’image, ni du maurasisme, ni de l’anarcho-syndicalisme.
Par contre le syndicalo-mutualisme qui caractérise quelque part les mouvements socialiste belges, encore aujourd’hui, doit beaucoup à Proudhon. Nous essayons, mon collègue et moi, de montrer certaines filiations de ces idées. Et comme nous sommes des médecins de santé publique, nous essayons de montrer, à travers l’évolution de la Faculté de médecine, en comparaison d’autres Facultés, la transformation, au sens large, du concept de « libre examen », et l’apport de Proudhon. Cette Université va vivre avec passion, ces changements d’époque, jusqu’à se fracturer à la fin du XIXème.
Cela donnera deux prix Nobel, 1/ de la paix (Henri Lafontaine) et 2/ des sciences médicales (Jules Bordet).
J’ose le dire: une belle histoire humaine 🙂