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Géplu.
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http://lu.si.faire.free.fr/patrickbroux.gif
Sur le site web du relieur en question…
On peut toujours avoir des doutes sur la présence de symbole sur son enseigne, mais ça fait beaucoup de concours de circonstances….
« Il n’y a aucun doute sur l’appartenance du relieur. « …. N’est-il pas interdit de dévoiler un F.?
Philippe,
Tu n’as pas l’impression que l’appréciation de Patrick, toute subjective qu’elle puisse t’être, résulte de la simple observation de l’enseigne, du geste délibéré, du signe de son auteur à destination de qui saura le lire ?…
Très cher Philippe,
La reliure (art ancestral) art consiste à assembler différentes pages d’un livre. Cet art très précis nécessite en plus de l’expérience, des outils particuliers (papier de couverture, cuir, carton et carte, tranchefile et signet, fil, ruban et ficelle, outil de découpe, outil de mesure et traçage, équerre d’encadreur, compas à ressort et bague, pinceau, etc.).
En mettant en avant, sur son enseigne, certains de ses outils nécessaires à l’accomplissement de son œuvre, notre relieur, qui manie aussi la Langue des Oiseaux (« Lu si Faire » est le nom de sa boutique), soit s’est dévoilé lui-même, soit nous sommes tous des symbôlatres, et voyons donc des symboles partout.
Et comme on dit à Jérusalem : « Un peu de compas Sion » ne peut pas faire de mal !
Peut se dire également dans le Valais, en Suisse…
Fendant ?!!!
Bonjour à tous mes amis, mes Sœurs et et mes Frères,
Pour parler de façades et autres devantures, si vos voyages vous mènent à Lyon, allez faire un tour au 88 grande rue de la Guillotière dans le 7ième. Sur votre droite, vous y verrez une façade entièrement maçonnique. puis en « poussant » jusqu’au 104 et en relevant les yeux, toujours sur votre droite vous découvrirez 2 magnifiques balcons compagnonniques vestige d’une ancienne Cayenne.
Bonne découverte à vous.
Jeantintin
Un Frère du GO Lyonnais
Les « gens du livre » -au sens professionnel du terme- furent assez « nombreux » -si tant est qu’ils furent eux-mêmes nombreux- et parmi les premiers « acceptés » dans les loges opératives françaises dès le début de la Renaissance.
Pour faire très simple et qui me parait être une excellente introduction à la réflexion qu’il serait plus que nécessaire de mener, j’invite à la lecture des articles sur l’architecture et la maçonnerie opérative présents dans Encyclopédia Universalis.
Maçonnerie opérative à ne surtout pas confondre avec Compagnonnage, bien entendu.
Il est vrai que la mode actuelle consiste à « prouver » qu’il n’y a aucun lien entre « les » Maçonneries opérative et spéculative.
C’est pratique, on peut ainsi confondre allègrement et à force d’évidence philosophie et initiation, permettant de mettre la pratique rituelle au rang d’un phénomène mondain ou d’une fraternité de type religieux, selon que l’on ne saisisse ses apparences sociétales ou bigotes … selon que l’on ne saisse que les apparences surtout.
Et l’on arrive tout naturellement à « 1717 n’a pas eu lieu » et « la GL de Londre était un club ludique »,
et pourquoi pas une maison tant qu’on y est ?
Quelle misére !
Pour nos Sœurs et Frères qui s’intéressent à l’enseigne, je ne peux que leur conseiller la lecture de la réédition chez Hachette Livre BNF (2013), du remarquable ouvrage de John Grand-Carteret (1850-1927) journaliste français, historien de l’art et de la mode, considéré comme pionnier dans le domaine de l’iconologie, dont l’édition originale date de 1902, L’enseigne : son histoire, sa philosophie, ses particularités, les boutiques, les maisons, la rue, la réclame commerciale à Lyon.