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Géplu.
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Né en 1936 je ne suis pas concerné par cette question: actuellement mon petit cancer à évolution lente me fout la paix donc: je verrai ça plus tard éventuellement.
Bonne conférence à tous!
Encore une manifestation de la nécrophilie d’une certaine franc-maçonnerie … J’aurais préféré une conférence intitulée « Peut-on choisir sa vie ? »
La nécrophilie, Monsieur de Mazargues, est une déviation sexuelle consistant à assouvir ses pulsions avec des cadavres ; quel rapport avec l’euthanasie ?Un peu de connaissances étymologiques vous rendrait , peut être, un peu respectueux des choix, de … fin de vie.
Quand un proportion considérable de Frères est beaucoup plus proche de la fin de sa vie que du début de celle-ci, et que l’aspect « sagesse » de la quête a souvent été loupé, il ne faut pas trop s’en étonner…
A mon sens choisir sa mort et son moment est même l’acte de suprême liberté.
Il est bien difficile de généraliser, et j’espère que les intervenants à cette conférence-débat sauront le faire: ils sont, soit législateurs, soit professionnels de santé, je souhaite qu’il y ait dans la salle, des personnes qui ont accompagné des proches et qui ont pu constater que le point de vue d’un malade en fin de vie, même conscient de sa fin proche, est tout à fait variable, et parfois n’a plus rien à voir avec ce qu’il pensait, croyait, édictait lorsqu’il était en bonne santé.
En cette matière, rien ne serait pire qu’une législation qui ne serait pas capable d’évoluer, et qui ne prendrait en compte que les désirs des personnes encore en bonne santé qui ne savent absolument pas comment elles réagiront le moment venu.
la réponse de Brumaire ne peut que conforter la liberté du choix tout ce qu’il y écrit ne fait que me faire dire si seuls ceux confrontés à la situation le moment venu pourront savoir que faire la loi pour pour maintenir cette liberté est nécessaire pour éviter tout dérapage di pourquoi faire l’apologie du changement éventuel de paradigme autant retirer aux autorités autorisées, les religieuses leur potentialité d’un autre âge. cette liberté doit être maintenue voire amplifiée car ce sera le seul moment où l’on peut être libre pour plonger dans le réellement définitif. Ainsi les gardes fou permettant le retour en arrière entre le moment de la réalisation des actes et leur achèvement doivent être maintenus sans créer de succédanés d’une agonie calme peut-être mais certainement angoissante amplifiée par un état d’entre deux marqué par la disparition d’un état de souffrance qui peut permettre le désir d’un retour à un « ex ante »