Patrice Brochon

Passage de grades, comment les réussir ?, suite…

Publié par jissey

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jeudi 11 juillet 2019
  • 5
    Willermoz 59
    13 juillet 2019 à 16h01 / Répondre

    Bonjour,
    Complètement d’accord avec Marie (4), pour autant l’entretien est intéressant et l’auteur plein de bon sens je trouve.
    Pourtant, cette pratique de la planche pose de multiples questions. Souvent c’est un exercice de séduction orale qui ne dit pas son nom, ne pas déplaire, rester dans l »‘esprit de l’atelier », conforme, totalement stabilisé, rare la générosité de déplaire ou de mettre en avant une différence.
    Exercice par ailleurs inégalitaire, l’aisance rédactionnelle comme on dit dans les bons CV de nos jours, n’est pas le lot de toutes et tous. Je connais même des ghost writers non maçons qui planchent pour des Soeurs ou des Frères que je ne blâme pas pour autant car terrorisés par l’exercice, à fortiori pour l’obtention d’un « passage de grade », imaginons la même chose pour les arts martiaux, rigolo…
    Faire une planche de 30 pages sur la Kabbale par exemple (au Canada évidemment) et ne pas savoir « monter » le Temple pour un passage de grade et être incapable de travailler sans appareil documentaire en Tenue, paradoxal quand même…
    A contrario, j’ai vu des planches sous la forme de chansons ou de peintures, plus authentiques, pas de dissertation sur ceci ou cela, mais une vraie pratique congruente. La FM est-elle une pratique du discours… pas certain, Audi, Vide, Tace.
    Ce qui me pose problème c’est la tentation de la FM, versus développement personnel, comment être un bon VM ? Comment ne pas démissionner ? Comment être un bon Officier ? Comment réussir ceci ou cela..
    Parfois par pure dérision, on voudrait écrire comment surtout ne pas être un bon ceci ou cela.
    Quand on lit la bio des Frères (et de quelques Sœurs, ne l’oublions pas) du 18ème siècle anglais ou pas, le côté « aventurier » de la démarche était tangible, bon c’est vrai pas de clim, pas de parkings, pas de multiplex maçonniques , ni bouffe industrielle.. Confort rudimentaire, parfois du « Hell Fire Club », c’est plus piquant si j’ose dire.
    Mais il ne tient qu’à nous de poursuivre l’aventure, si tel est notre désir…

  • 4
    Marie
    12 juillet 2019 à 17h01 / Répondre

    Qu’on est loin des pratiques anglaises ! Hélas.

  • 3
    luciole
    11 juillet 2019 à 14h16 / Répondre

    Il est très regrettable que ne figurent pas les mots « les auditions » avant le « comment les réussir » ce qui fausse la percetion de l’utilité de cet ouvrage.
    Je connais et estime P.Brochon depuis plus de 20 ans, c’est un esprit profond qui ne se contente pas des apparences et cherche toujours ce que l’on peut extraire d’un sujet,d’une situation.
    J’attends de pouvoir lire cet ouvrage dont je suis sur qu’il n’est pas superficiel.

  • 2
    yonnel ghernaouti YG,
    11 juillet 2019 à 7h42 / Répondre

    TCF,
    TC Géplu,
    Quelle riche idée de nous avoir joint la table des matières car elle manque dans cet opus, contrairement à d’autres ouvrages de cette collection… Seule une bibliographie (20 références) est présente pages 110 & 111.

  • 1
    Lionel MAINE
    11 juillet 2019 à 7h14 / Répondre

    Excellent S.A.V !

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