Et à titre de curiosité, j’ai noté que: « La première loge [de Paris] se réunit chez le traiteur Huré, rue des Boucheries, désormais englobée par la rue de l’Ecole de médecine et le boulevard Sain-Germain.
… peut-être qu’une telle information pourrait éventuellement intéresser un des intervenants sur ce blog, un commentateur qui utilise également le nom de Huré.

Sauf erreur de ma part, la version mise en ligne sur le site de Libération ne semble pas reprendre une petite brève intitulée « à savoir » que l’on peut lire dans la version papier du journal datée des samedi 12/dimanche 13 (pp 42 et 43).
Je me permets de vous la livrer telle que découverte:
« Pendant la Seconde Guerre mondiale les (très précieuses) archives des francs-maçons (qui remontent pour certaines au XVIIIème siècle) ont connu d’étranges péripéties. Très répressifs à leur égard, les nazis les saisissent dès le début de l’Occupation et les acheminent à Berlin. En 1945, c’est l’armée soviétique qui s’en empare et les emporte à Moscou! Il faudra attendre le début des années 2000, après d’intenses tractations diplomatiques, pour que les archives de la franc-maçonnerie françaises soient (enfin) rapatriées. Quoique… Une incertitude demeure: ont-elles toutes été vraiment rapatriées? »