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« Et se déguiser en bonhomme de neige pour s’exhiber sur un balcon de la
Place St. Pierre, est-ce aussi marrant ??? »
Lui au moins il se montre…
Non JPC toujours pas fatigué car le travail d’un franc-maçon ne s’arrête jamais. Comme celui de tout chercheur d’ailleurs. St Thomas d’Aquin… oui, c’est effectivemement l’une des sources pour notre recherche de vérité. Je suis ravi de vous faire rire, c’est tellement rare ! Moi, c’est plutôt Benoit XVI que je trouve grand champion comique, mais chacun ses comiques…
Ceci dit, on m’a parlé d’un ex-voto remerciant le seigneur d’avoir converti Léo Taxil… quelqu’un sait-il où est-il ?
Et se déguiser en bonhomme de neige pour s’exhiber sur un balcon de la
Place St. Pierre, est-ce aussi marrant ???
toujours pas fatigué de toutes ces momeries ? Les mecs qui se déguisent en soubrettes à tablier et gants blancs me font plutôt marrer. S’ils cherchent de la gnose ou de l’ésotérique ils n’ont qu’à puiser dans St Thomas d’Aquin.
je connais cette image, translmise par un frère vendéen mais j’en ignore la provenance exacte
A mon sens c’est peu probable qu’il s’agisse d’une felmme à cette date et en vendée !
il s’agit plus probablement d’ une faute d’orthograhe, le particioe passé ayant été accordé comme si il avait été conjugé avec le verbe être
ou alors c’est un fauX !
bien à vous
Supposition gratuite : et s’il s’agissait non pas d’une Franc-Maçonne, mais bien d’une de ces « victimes » de la Maçonnerie, du genre Portehaut ou Donnadieu ?
Thèse:
Rien n’indique que la personne elle-même fut initiéE.
Il est plausible qu’elle ait des contacts rapprochés avec la FM.
Ca me fait penser à Sarah Vaughan – directrice de « LE PALLADIUM » et qui avait des contacts avec Lemmi Adriano -Chef suprême des Franc Maçons. (+/- 1892)
En 1895 elle entre dans un couvent « pour faire le point ». … et elle transmets 300 francs pour des pélérins pauvres allant à Lourdes.
Si cette thèse est exacte , le ex voto se trouve à LOURDES.
à vérifier !
arrachée… des bras de Lucifer puisque la FM a souvent été présentée par ses détracteurs comme une entité luciférienne ? L’enfer, c’est les autres…
Faute d’orthographe plausible ?
Emprunter une voie spirituelle peut faire nier le chemin qui pourtant nous y a mené. Beaucoup de formes de reniement existent, et le plus visible est celui qui, dans un mouvement de balancier, s’envole d’un extrême à l’autre, croyant toucher la vérité en montant, négligeant ce point bas d’équilibre qui pourtant en est le centre. Nous croyons ascensionner et nous sommes en périphérie, nous croyons descendre bas et nous passons brièvement sur le milieu de l’oscillation. Conscience libre en éternel mouvement.
Le Franc-Maçon est en perpétuel déséquilibre tel un marcheur quittant la stabilité de sa position pour en trouver une nouvelle et progressant ainsi. Un balancier qui avancerait.
Sans être osessionnelle ni exceptionelle du reste, je tiens toujours à souligner les aventures grammaticales sauvages qui souvent ne sont pas anodines (mais toujours fraternelles!)
Rappelons l’Académie (la règle…)
«
Néologismes
L’application ou la libre interprétation de « règles » de féminisation édictées, de façon souvent arbitraire, par certains organismes français ou francophones, a favorisé l’apparition de nombreux barbarismes.
Il convient tout d’abord de rappeler que les seuls féminins français en -eure (prieure, supérieure…) sont ceux qui proviennent de comparatifs latins en -or. Aussi faut-il éviter absolument des néologismes tels que professeure, ingénieure, auteure, docteure, proviseure, procureure, rapporteure, réviseure, etc. Certaines formes, parfois rencontrées, sont d’autant plus absurdes que les féminins réguliers correspondants sont parfaitement attestés. Ainsi chercheure à la place de chercheuse, instituteure à la place d’institutrice. On se gardera de même d’user de néologismes comme agente, cheffe, maîtresse de conférences, écrivaine, autrice… L’oreille autant que l’intelligence grammaticale devraient prévenir contre de telles aberrations lexicales
Enfin, seul le genre masculin, qui est le genre non marqué (il a en effet la capacité de représenter les éléments relevant de l’un et de l’autre genre), peut traduire la nature indifférenciée des titres, grades, dignités et fonctions. Les termes chevalière, officière (de tel ordre), députée, sénatrice, etc., ne doivent pas être employés.
Comme l’Académie française le soulignait déjà en 1984, l’instauration progressive d’une réelle égalité entre les hommes et les femmes dans la vie politique et économique rend indispensable la préservation de dénominations collectives et neutres, donc le maintien du genre non marqué chaque fois que l’usage le permet. Le choix systématique et irréfléchi de formes féminisées établit au contraire, à l’intérieur même de la langue, une ségrégation qui va à l’encontre du but recherché. »
Amicalement,
Catherine
Il me semble que ce ex-voto se trouve dans la basilique de ND de la Garde à Marseille.
« Cette photo circule depuis des années sur l’Internet mais personne n’est en mesure d’indiquer où elle a été prise »
Mais si, mais si …
En l’église des Pères Barnabites, av. Brugmann, 1190 Bruxelles, dans la nef latérale gauche, sur le mur jouxtant le petit autel.
C’est mentionné sur le site de la FiF (où j’ai été le premier à la déposer) :
http://fif-fm.ifrance.com/