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Géplu.
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Dans tous les cas, et même si quelques approximations se glissent dans le podcast dédié à Mozart ( les concepteurs étant manifestement des profanes) je trouve que le rendu est de grande qualité et fait honneur à notre Ordre.
Le « premier opéra maçonnique de l’histoire » n’est pas la Flûte Enchantée, c’est « The Generous Freemason » qui date de 1730 : voir
http://mvmm.org/c/docs/div18/generous.html
Il n’y a aucun prosélytisme de ma part, aucune obligation pour quiconque de croire, juste un commentaire honnête et sincère, comme c’est d’ailleurs souvent le cas ici pour la plupart, et laissé à l’appréciation de chacun : c’est la règle.
Mais force est de constater encore aujourd’hui pour un certain nombre, ainsi que le remarquèrent nos Mères antiques à une époque où l’homme n’avait encore pour mœurs que ses instincts, combien leur nature les porte à l’opposition et la contradiction.
Permettez-moi simplement de rappeler que c’est parce que le sens caché, le sens ésotérique des faits, des textes, des livres religieux, ne semble pas pouvoir être compris par la généralité des hommes que l’antiquité avait institué l’usage de l’initiation, et conférée seulement à ceux qui voulaient bien se soumettre à une longue étude et qui consentaient d’avance à en accepter les conclusions.
Mais ceux qui veulent voir clair dans les choses abstraites a priori, c’est-à-dire avec leurs seules facultés, ne voient rien, et ils le prouvent bien, puisque leur premier mot est toujours une négation.
14 – En terme de négation, les femmes ne se sont pas développées, élevées, éduquées plus précocement et/ou plus rapidement que les hommes.
D’une part, il n’y a aucune occurrence de cet ordre dans aucun texte, pas même ceux de la Mésopotamie, et ceci ne ressort d’aucune représentation primitive.
D’autre part, prétendre cela c’est aller contre le principe naturel, c’est faire du déséquilibre un principe, ce même phénomène constituant le principal et même principiel combat mené par la Nature, le principe mécanique de la manifestation étant l’équilibre, s’il fallait le préciser.
Tout ce que tu prétends sur ce sujet n’est que de l’ordre de la croyance et va à l’encontre de tous les principes métaphysiques qui ne distinguent pas les sexes, ce serait aller contre l’universel qui gouverne l’univers.
L’Homme universel est parfaitement hermaphrodite, l’objet de l’initiation de ce point de vue est d’atteindre cet état, qui est d’ailleurs un objectif très élémentaire.
La détermination du sex ne répond qu’à une nécessité mécanique inhérente à la perpétuation et à la pérennité de la manifestation.
Elle ne saurait être, à la fois d’un point de vue philosophique et d’un point de vue naturel, un déterminisme.
Il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
Il est curieux d’étudier comment cet ordre de choses a commencé, quels ont été les mobiles des premières erreurs voulues, et quels hommes, les premiers, ont eu l’audace de les écrire.
« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements. »
(Honoré de Balzac)
Français divisés, pardonnez-vous de toute votre âme a dit Jehanne d’Arc.
Jeanne d’Arc!! dire que des millions de naïfs croient encore à la pauvre bergère de Domrémy, aux voix, à la crémation de la « sorcière, relapse, etc », et autres balivernes savamment entretenues par la catholicité et la famille le Pen réunies.
Comme ce sont les vacances, faites, si vous n’allez pas à la plage ou en haute montagne, un tour au château de Jaulny ( Meurthe et Moselle): vous y verrez une fresque édifiante, découverte lors de travaux alors qu’elle était cachée sous des plâtres, de chaque côté de la grande cheminée du château. Après, on reparlera de Jehanne, mais cette fois, sérieusement.
9 – Ben oui bien sûr, et l’Histoire secrète se passe de preuves, c’est tellement facile … de raconter n’importe quoi.
Ma chère Anwen, évidement je ne parle pas des manuels scolaires.
D’ailleurs, il ne t’a pas échappé que j’écris pas mal sur l’Histoire de l’Antiquité, évoquant des faits peu divulgués. Il s’agit pour autant de sources exclusivement universitaires avec toute la rigueur scientifique que cela implique.
Ton discours est gourouesque, il ne ressemble à, ni ne recouvre rigoureusement rien de valable.
1 – Moralité : mieux vaut lire les historiens que les gourous.
Et les vacances, Géplu, c’est confiné devant l’ordinateur?
Pas tout à fait tout de même… 🙂
L’idée et l’intention sont bonnes. Mais s’il est difficile de résumer la vie maçonnique de Mozart en 20 minutes, je trouve dommage d’entendre que » Force Sagesse Beauté » sont les 3 vertus cardinales de la franc-maçonnerie, ainsi que quelques raccourcis sur la vie maçonnique viennoise de Mozart.
Bravo pour les choix musicaux ! A noter malgré tout que la Flûte enchantée, tirée d’une conte de fées, » Lulu « , a été composée pour le peuple viennois et que le film merveilleux d’Ingmar Bergman » La Flûte enchantée » (1975), en est une des plus belles et fidèles interprétations, à mon goût.
Mme de Maintenon, (Françoise d’Aubigné) n’est arrivée dans le cercle féminin de Louis XIV assez tard: elle était la gouvernante des bâtards du roi! et pas précisément en cour à la cour.
De la « haute moralité » qu’elle a insufflée, est sortie la révocation de l’Edit de Nantes, entre autres bévues. la très catholique et très intolérante Mme de Maintenon a juste été la caution d’un hypothétique paradis pour le roi qui sentait bien, sur ses vieux jours, qu’il était temps d’arrêter les conneries s’il voulait avoir une chance que St Pierre lui entr’ouvre sa porte, hé, hé.
3 – Hé, hé, « Madame de maintenant » confessa que le roi ne laissa passé un seul jour sans l’honorer.
Cela faisait longtemps qu’il n’avait plus dent, et l’un de ses ministres dira « le roi pu ».
Désap, s’il n’y avait eu que la bouche! l’autre extrémité n’était pas très ragoûtante (le livre de P. Pelloux « On ne meurt qu’une fois, et c’est pour si longtemps » renseigne sur le cas Louis XIV de manière historienne et médicale)
Paris puait, Versailles était un festival de bactéries en tous genres, le roi puait, et il n’était pas le seul. Ils avaient tous plus ou moins perdu leurs dents, et la propreté n’était pas à la mode, sauf pour quelques personnes qui devaient avoir les narines fragiles
10 – Justement, ça puait, partout et tout le monde. Imagine quand on trouvait que ça puait ce que ce devait être 🙂 🙂
Laure DAUTRICHE est par ailleurs l’auteur d’un livre bien documenté sur « Ces musiciens qui ont fait l’histoire » .
« Que Louis XIV n’aurait jamais été le Roi-Soleil sans Lully ? »
Sans Lully, il l’aurait été tout autant. Explication.
D’abord, rappelons rapidement ce que valait Louis de Bourbon, et à quoi, ou plutôt, à qui, en vérité, devait-il sa prestigieuse identification avec la Reine des Étoiles, le Soleil, ?
Ce roi n’avait ni but, ni plan, ni connaissances étendues. Pas non plus un ministre capable de le seconder. Il faisait la guerre par goût et ses conquêtes par vanité. Il avait des ministres adulateurs ou faibles de conceptions : Louvois, Colbert, qu’on cite, étaient des médiocres, « ils auraient pu, tout au plus, servir de secrétaires à un premier ministre ».
Nous sommes à l’aurore d’un monde nouveau, la femme est entrée dans la lice et le flambeau de la vérité éclaire ses pas.
Louis XIV, c’est le règne de Madame de Maintenon.
Madame de Maintenon domina son âme, fit naître une atmosphère de moralité, et des formes élégantes dans une cour voluptueuse. Le roi suivait ses inspirations parce qu’il les savait solides et prudentes.
Sa vie fut partagée en deux parties : l’une ténébreuse et misérable pendant laquelle il fait des sottises, telle la révocation de l’Édit de Nantes, l’autre choisie et brillante, celle pendant laquelle il écoute les conseils de la raison froide d’Une femme intelligente.
Après la mort de Madame de Maintenon, qui pendant sa vie avait comprimé les abus, empêché les excès, forcé la cour et la ville à s’envelopper d’une haute moralité, tout cela s’évanouit et le monde fut envahi par une licence audacieuse qui bientôt ne connut plus de bornes. Le duc d’Orléans, régent de France, pressé par des besoins de finance, adopta le système de Law sur le papier-monnaie ; les billets de banque se multiplièrent au delà de toute imagination, ce fut un bouleversement financier et des ruines formidables.
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