Les anciens textes ont tous eu pour but de passer des messages politico-religieux à un moment donné. Ceci n’empêche qu’ils contiennent des traces d’éléments historiques . Pour mettre ces traces en évidence et tenter de reconstruire la vérité historique, les historiens actuels procèdent par recoupement avec des textes en provenance des « voisins contemporains ». La partie de Moïse a été rédigée tardivement . Le pourquoi est bien expliqué dans  » l’invention de Dieu » de Thomas Römer, membre du Collège de France.

Le saviez-vous ?
C’est Philon d’Alexandrie qui, quelques années avant notre ère écrivit la légende de Moïse, telle que nous la connaissons.
Son livre intitulé « De vita Mosis » était un roman sans aucune base historique et dans lequel il avait introduit les mœurs nées du Droit romain. Avec le « Livre de la Sagesse », appelé en grec « Sagesse de Salomon », c’est, de beaucoup, l’ouvrage le plus connu du judaïsme hellénistique.
Ce récit mensonger donna à l’homme glorifié sous le nom de Moïse une consécration et le fit entrer dans l’histoire.
L’histoire de la sortie d’Egypte telle qu’on nous la raconte est remplie de contradictions, d’inexactitudes, et de miracles. On n’en connaît pas la date, on donne des noms différents au prétendu Pharaon qui aurait asservi, puis poursuivi les Hébreux.
A la sortie d’Egypte, la version grecque nous dit que « Moise chanta un cantique à l’Eternel pour lui rendre grâce ».
La version hébraïque dit : « Marie et ses jeunes compagnes les Almah, chantèrent des cantiques au passage de la Mer Rouge en s’accompagnant du tambourin. »
Et Ernest Renan, à propos de ce fait, dit : « Une prétendue sœur de Moïse prenait dès lors, dans la légende de la sortie d’Egypte, un rôle dont l’état actuel des textes ne laisse peut-être pas apercevoir toute la portée ».
NB : Myriam, c’est la grande femme dont le nom brille dans l’histoire du peuple d’Israël. C’est la grande prophétesse égyptienne que la Bible appelle « la Prophétesse Marie » et que les Catholiques ont désignée sous le nom de « Marie l’Egyptienne », mais dont on fera une sœur de Moïse, quand on inventera Moïse pour la cacher, ne pouvant pas la supprimer tout à fait.
Suite : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/delisraelismeaujudaisme.html

Humour ? Pas sûr ! A t on le droit de se moquer de la prétention d’etre « peuple élu » sans se voir injurié d’antisemite?
Un peu comme l’autre pretention farfelue de « réguliers » ?
Les commandements des tables commencent par un dieu « jaloux «  … drôle de discours de se vanter de ca !
D’autre part, a lirece qui en est raconté dans la Torah, ce yhwh est notablement cruel, ignorant, incapable, irresponsable (tout ce qui fouare est la faute des ses créatures). Il veut maintenir adam et eve dans l’ignorance et soumis à ses mensonges.
Alors, peut se moquer de la vénération d’un tel personnage inventé par les écrivains ( copieurs d’ecrits banyloniens) de la Torah?
Peut on s’émouvoir des appels à persécution des juifs inclus dans les évangiles ?
Des ignominies du talmud … de la charia ?
Ou bavarder dans notre groupe preferé en fustigeant les autres ?
La FM n’est elle pas justement de dépasser ces affirmations sectaires ?

Le dessin de François Morel n’est vraiment pas méchant. Il y a dans la Bible de l’humour juif d’Alain Ouaknine et Dory Rotnemer des blagues beaucoup plus féroces, veritablement blasphématoires et particulièrement drôles.
Les différents commentateurs l’ont bien compris qui en rajoutent dans la dérision.
Il n’y a que le triste DESAP pour trouver dans ce sujet une occasion supplementaire de rabâcher ses idées fixes: la religion et le RN. Manifestement son état empire. Est-ce grave docteur?

Les Tables de la Loi ne peuvent en aucun cas n’être qu’un symbole: elles sont le Décalogue, une des structures de base du judaïsme.
Leur plus ancien document se trouve actuellement dans un musée à Jérusalem
Toute approche qu’elle soit humoristique, littérale ou citée pour illustrer un fait historique, ne saurait en modifier quoi que ce soit de leur signification première et traditionnelle
« Tu ne tueras pas ou tu ne voleras pas », ont leur traduction dans le code pénal en vigueur
Quant au blasphème, il est une mauvaise interprétation du message religieux entre tradition et modernité
François Morel est-il un bon samaritain?

Et quand le Desap/Anubis écrivait il y a seulement 6 ans « il reste au RN à établir un programme économique digne de ce nom et se choisir des dirigeants moins idéologues comme ont su le faire les Autrichiens, les Hollandais et peut-être les Italiens » (comme si les extrémistes concernés n’étaient pas idéologues…), c’était quoi comme « raisonnement à la c. » ? Quand le Desap/Anubis veut monter au cocotier, encore faut-il qu’il ait les fesses propres. Et ça vient donner des leçons. Pffff.

Si ce dessin n’est qu’une image, une représentation, (cf. 3 Henri Caicedo), s’il n’est pas une pipe (cf. 3 déjà cité et 5 Rémi), s’il n’y est pas question de tables (en bois meuble), il ne serait donc que symbole?
S’il n’est donc que symbolique, peut-être n’est-il pas tableau, et n’est-il pas dessin non plus?
Attention malgré tout à ne pas voir que représentation, que symbole dans un effet humoristique.
En tout cas, comment démêler Recherche de la Vérité et Représentation symbolique?
L’un n’affaiblit-il pas l’autre? Ou le renforce-t-il? C’est une question.
En tout cas une chose paraît être exacte et sûre, c’est l’existence de François Morel.
Sauf erreur de ma part, (ne l’ayons jamais rencontré, je peux me tromper, je m’appuie sur son image, sur sa représentation, si je puis le dire ainsi) François Morel n’est pas un symbole.
Il est.
J’ai dit.

Les Juifs ont de l’humour, voir les nombreuses histoires juives racontées par des des Juifs avec une dérision qui décoiffe, notre bon François ne risque rien avec eux!
J’aime beaucoup ce dessin!👍

Ce dessin n’est qu’une image, une représentation!
Ça ne dit rien sur les « tables » de l’époque biblique. Les tables de ce récit étaient en pierre et ont été gravées
Comme beaucoup de récits de la Bible, il ne faut pas oublier leur caractère allégorique, qui n’appelle pas une lecture littérale
Regardons les « tables » sur laquelle ont été gravée la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen !!
Dans la tradition islamique, les images sont impures car assimilables aux idoles
Que s’est-il passé dans la suite de la descente de Moïse du Mont Sinaï?
Il a brisé les tables constatant, qu’en son absence, le peuple s’était tourné vers le veau d’or (idole) et a donc rompu l’alliance!
F. Morel est amateur du tableau de Magritte « ceci n’est pas une pipe » ! (ça n’est que sa représentation)

Le blasphème est autorisé dans notre beau pays….BON ! rien à dire là dessus! MAIS, c’est plus facile et moins risqué de faire ce genre d' »humour » sur les Juifs ou les Cathos, n’est ce pas? que de s’attaquer au prophète de l’Islam !! Toujours ce deux poids , 2 mesures des « gôchos » bobos, islamos ! Allez, on leur pardonne, ils savent parfaitement ce qu’ils font !

Blasphemons, blasphemons, il en restera toujours quelque chose…
Par exemple que tout pourrait se résumer à ces fameuses tables, mais aussi à l’étable, non moins fameuse.