Mémento de l’Apprenti au RER

Publié par Géplu
Dans Edition

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mardi 25 janvier 2022
  • 3
    Andreas
    12 juin 2022 à 15h06 / Répondre

    Le Rite Ecossais rectifié comporte peu de livres, surtout se rapportant au premier grade, et ce memento est bien fait, bien écrit. Nos deux apprentis critiques (2 commentaires précédents) ne sont pas sur la voie de la connaissance; surtout qu’ils continuent leur parcours au plus près de la matérialité et nous laissent en paix sur une voie cardiaque dont ils ignorent tout.
    Pour ma part je vais recommander ce livre à nos nouveaux apprentis.
    Quant à moi j’espère croiser un jour Emmanuelle. Je vais tenter de savoir dans quelle loge elle travaille.
    Affection fraternelle

    • 4
      Désap .
      12 juin 2022 à 17h53 / Répondre

      On te laisse sur ta voie cardiaque cher(e) Maître, on te laisse.
      Dire de JMB qu’il est sur celle de la matérialité ne manque pas de saveur
      De moi c’est aussi bien erroné, mais c’est certainement plus difficile à dicerner.
      Enfin, c’est surtout hors sujet.
      Tu sais qu’il y a aussi la pneumatique, la neumatique, il a aussi la neurasthénique il faut juste être patient(e).
      ?

  • 1
    JMB
    26 janvier 2022 à 21h09 / Répondre

    J’avoue que j’en ai plus que marre de ce genre de mémentos qui sont censés éclairer un F. à chacune de ses étapes maçonniques.
    En effet, soit un F. est capable, pour comprendre ce qu’il vient de vivre, de chercher par lui-même et en lui-même ou de questionner d’autres F, soit il ne l’est pas. Et si il ne l’est pas, je me demande ce qu’il vient faire en FM.
    Je n’ai bien évidemment rien contre Emmanuelle Auger, que je connais pas. Et je suis persuadé que c’est une grande professionnelle de la communication et du coaching d’entreprise mais je reste persuadé que la voie initiatique n’est pas du domaine de l’entreprise.

    • 2
      Désap .
      26 janvier 2022 à 23h47 / Répondre

      1 – Absolument d’accord !
      Le côtchinegue c’est déjà suffisamment balourd dans la vie profane pour se le cogner aussi en maçonnerie.

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