Mathieu de Lesseps
Mathieu Maximilien Prosper Comte de Lesseps (1774 - 1832)

Mathieu de Lesseps devant le Tribunal des Grands Inquisiteurs Inspecteurs Commandeurs

Publié par Géplu

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mardi 25 juin 2024
  • 22
    Gérard GALTIER
    8 juillet 2024 à 16h08 / Répondre

    Je suis surpris que la plupart des commentaires (sauf un seul !) n’ont rien à voir avec mon article. J’ai l’impression que les auteurs de ces commentaires ne l’ont même pas lu !
    L’intérêt de mon article est de découvrir la carrière maçonnique d’un diplomate de Napoléon et la vision qu’il avait de l’initiation.
    Mais des polémiques sur les hauts-grades n’ont pas leur place ici. Même si, pour ma part, dans ma pratique personnelle, je me contente des trois grades bleus !

  • 20
    Joab’s
    29 juin 2024 à 12h23 / Répondre

    RF ou REAA plus « civilisés » alors qu’au 1 O du RF on glorifie un assassinat par une sorte de tueur a gages ou au 2o on se felicite de l’assassinat qu’allait commettre Abraham sur son fils….
    Et au 3e O des cadavres en masse ? Et idem REAA.
    Le plus grave n’est pas là … mais dans l’incapacité de plusieurs d’entre nous à prendre distance et analyser en FM ces recits.
    Dans la démarche religieuse judéo-chrétienne classique , en effet ces recits son « Parole de Dieu » donc non critiquables …et meme vénérables … comme la charia chez les musulmans.
    La Fm met en avant la liberté, l’émancipation, la recherche créative, la fraternité, la bienveillance, l’universalité.
    C’est donc au travers de ces valeurs que l’on peut examiner ces textes y compris en critiquant, rejetant les « heros » du recit.
    Les évangiles clament l’assassinat des apostats (Luc 19). Faut il par dévotion mal placée l’esquiver, le dissimuler, voire soutenir ?
    Les textes bibliques sont, pour moi, fabuleux de reflexions, progression, jeux de pensée mais certainement pas en les divinisant et vénérant aveuglément.
    Ce qui amene a toutes les horreurs.
    De mon expérience au GCF j’y y ai rencontré des intégristes catholiques et juifs particulièrement oppressifs. Le plus amusant est que ce qui les perturbait un peu etait justement que la fm exploite des textes objets de leur vénération extrêmiste.
    Donc oui cette magnifique école de liberté et spiritualité que dont ces grades de « sagesse «  peut etre perverti par des bigoteries, ou discriminations honteuses.
    Mais ne jetons pas le bébé….

  • 15
    Justine-Agathe
    27 juin 2024 à 12h59 / Répondre

    Je suis en plein accord avec les deux interventions bien documentées et aimables de Pierre Debusschere. Il nous dit avoir répondu à Justine-Agathe, qui admet s’être exprimée avec un peu d’humeur sur des points qui lui tiennent fort à cœur. Ce qui n’excuse pas RJF et son ton méprisant, voire insultant, qui n’est pas de mise non plus sur un site maçonnique.

    Je répète qu’à mon avis, il convient de passer bien des notions maçonniques obsolètes au Kärcher.

    Le dogme affirmé par Brumaire « Tout a un sens en maçonnerie » est bien doctoral mais n’est pas universel, et la violence est souvent l’expression d’une TROP longue accumulation… Vous, les FF et SS français, allez bientôt voir cela, dans un autre domaine !

    Et je termine en fustigeant, comme il le mérite, le slogan ordurier « Va te faire maître » qui est la goutte qui a fait déborder le vase de ma réprobation. Mais il ne convient pas de s’en aller en se drapant dans son indignation ; il faut rester et réformer, avec ceux et celles qui sont de cet avis. La Franc-Maçonnerie est la plus noble idée que l’Être Humain ait jamais eue. Ne la laissons pas galvauder.

    • 16
      Anubis Rê
      27 juin 2024 à 18h24 / Répondre

      15 – Vous voyez des mots, des phrases, des paragraphes, des descriptions, des articulations, des gestes ou des principes qui seraient du décorum en maçonnerie ?
      Mais même l’emplacement des virgules est significative, c’est le but justement.
      « Ne la laissons pas [la Franc-maçonnerie] galvauder » : je ne vous le fais pas dire’

    • 17
      Remi
      27 juin 2024 à 19h06 / Répondre

      15 – chère Justine, nous le savons bien, l’être humain rejette ou couvre de moqueries les choses qu’il ne comprend pas. Bien fraternellement.

  • 10
    Pierre Debusschere
    26 juin 2024 à 0h08 / Répondre

    Assez d’accord pour dire que les degrés après le « métier », c’est-à-dire à partir du grade de Maître, sont porteurs de relents de l’ancien régime. Autant la Franc-Maçonnerie moderne qui s’est structurée après la rébellion jacobite de 1715 était orientée vers les lumières et était favorable aux Hanovre et au mouvement politique Whigs, autant le développement des nouveaux degrés a été imprégné d’un certain retour vers les religions et vers l’ancien régime. Le grade, « Apprenti et Compagnon », ne faisait référence qu’au métier Le grade de maitre, créé vers 1730, faisait référence à une légende biblique. Il y a des grades qui se sont inspirés des livres d’Esdras et de Néhémie, et il y a à Londres, vers 1740, l’ancêtre de l’Ordre Royal d’Ecosse, avec un grade de Rose-Croix (et des mots de passe très chrétiens). En France, des nouveaux grades ont été créés faisant références à un ordre religieux, les templiers. Dans ce cadre-là le frère Ramsay s’est référé à Godefroid de Bouillon, personnage douteux qui aujourd’hui serait sans conteste considéré comme criminel de guerre et génocidaire : il a en effet massacré les juifs qu’il croisait lors de sa traversée de l’Allemagne et massacré musulmans et juifs en « terre sainte ». Certains grades ne sont plus adaptés aux valeurs modernes comme l’abolition de la peine de mort. Cela dit, deux rites s’inscrivent globalement dans la philosophie des lumières : le rite français et le rite écossais ancien et accepté qui sont ouverts à toutes les convictions philosophiques. Les rituels ont été le plus souvent déchristianisés et pour citer un exemple, le rituel dont je parle, celui qui fait référence aux livres d’Esdras et de Néhémie est aussi celui de la liberté de pensée.

    • 12
      Yasfaloth
      26 juin 2024 à 12h03 / Répondre

      « Certains grades ne sont plus adaptés aux valeurs modernes comme l’abolition de la peine de mort.  »
      .
      Si on n’en considère que la « lettre », certainement…
      .
      On ne va pas remuer les fondamentaux, les archétypes de ce qui fait le fond de « l’expérience » humaine sans déranger… voire perturber ceux qui ne se sont pas construit les outils pour voir et comprendre, d’où le côté essentiel de la progressivité de la méthode et le fait qu’il est parfaitement improductif voire nocif de sauter les étapes.

      • 13
        Pierre Debusschere
        27 juin 2024 à 1h57 / Répondre

        Mon texte était une réponse à 2 JUSTINE-AGATHE. Je ne suis pas sûr que ce soit le bon endroit pour discuter de l’intérêt des grades d’élus. Sauf à dire que ces grades sont des plaidoyers pour la peine de mort et ne s’inscrivent plus dans les valeurs morales du XXe siècle. Certaines juridictions du REAA ne rendent plus le passage par le 9e degré obligatoire mais l’ont remplacé par le 13e degré. Dernier commentaire : l’ordre des grades et donc la « progressivité de la méthode » sont assez artificiels. Bien sûr les grades d’élus ne se comprennent pas si on ne connait pas le grade de Maitre, mais un apprenti à tous les outils intellectuels pour comprendre par exemple les grades de chevalier d’Orient ou Rose-Croix.

        • 14
          Yasfaloth
          27 juin 2024 à 10h37 / Répondre

          Pas sûr que vous sachiez réellement de quoi il s’agit, au mois relativement à la façon dont nous travaillons chez nous… votre vision semble très « scolaire », évidemment si vous en restez au « pshat »… mais vous avez tout à fait raison sur un point : ce n’est pas le lieu pour en débattre.

          • 18
            Pierre Debusschere
            28 juin 2024 à 11h29 / Répondre

            Tout d’abord, je pense que si discussion il y a ici, elle devrait concerner le texte de Lesseps qui est intéressant à plus d’un aspect. Pour le reste, je reste toujours surpris que certains considèrent les rituels comme s’il s’agissait de textes sacrés qu’on ne peut absolument pas critiquer et auxquels on ne peut absolument pas toucher, pas même corriger la place d’une virgule. Parler d’archétype dans le cadre de la peine de mort, cela m’inquiète. La peine de mort n’est ni un archétype, ni un symbole. C’est une volonté délibérée d’assassinat légal. Je termine en citant Victor HUGO « La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie ». (Discours du 15 septembre 1848 devant l’Assemblée nationale constituante).

            • 19
              Yasfaloth
              28 juin 2024 à 18h11 / Répondre

              Mon TCF, je vois que tu as des idées bien arrêtées sur ces questions et je m’en voudrais de troubler de si belles certitudes. A propos : j’ai toujours été un opposant absolu à la peine de mort, mais j’ai la faiblesse de penser que ce n’est absolument pas de cela dont ils s’agit dans ces grades, au delà de la surface du texte bien sûr. Quand aux rituels, je ne me considère pas assez qualifié pour les remettre en cause, non… déjà parvenir à en assimiler, plus ou moins, l’enseignement ne m’est pas une mince affaire !

            • 21
              Gérard GALTIER
              8 juillet 2024 à 16h06 / Répondre

              Pierre, je suis bien d’accord avec toi. Je suis surpris que la plupart des commentaires n’ont rien à voir avec mon article. J’ai l’impression que les auteurs de ces commentaires ne l’ont même pas lu !
              L’intérêt de mon article est de découvrir la carrière maçonnique d’un diplomate de Napoléon et la vision qu’il avait de l’initiation.
              Mais des polémiques sur les hauts-grades n’ont pas leur place ici. Même si, pour ma part, dans ma pratique personnelle, je me contente des trois grades bleus !

  • 8
    Anubis Rê
    25 juin 2024 à 21h20 / Répondre

    Je remarque que cet illustre Maçon confirme ce que j’écris depuis des lustres et qui m’a valu l’opprobre maintes fois,
    savoir :
    – La Maçonnerie tient ses principes de l’Initiation, principe d’enseignement métaphysique exclusivement pratiqué dans l’Antiquité jusqu’en 529, date à laquelle l’Empereur Justinien ferme la dernière Ecole de Philosophie et remplace cet enseignement par la religion. Cette religion, le judéo-christianisme, n’a rien de commun avec l’Initiation, pas plus avec la Maçonnerie.
    Le Monothéisme n’est pas pour autant incompatible, mais cela du fait de son infériorité de principe, celui-ci étant enfermé dans des croyances lorsque l’Initiation est, comme l’est la Maçonnerie, intégralement ouverte à toute proposition dès lors qu’elle respecte cohérence, vraisemblance, se méfiant des conceptions surnaturelles, l’inexplicable étant repoussé infiniment plus loin que le cadre religieux qui en fait un a priori.
    Le Frère de Lesseps estime également que toute référence biblique en Maçonnerie n’est qu’un cadre visant à n’effrayer personne, notamment à cette époque les Autorités.
    Quant aux Templiers, on comprendra par l’exposé de notre Frère que ceux-ci, si respectable soit leur intégrité contestée faussement par Philippe IV, n’ont rien de Maçons et tout d’exemplaires fidèles du Catholicisme, soldats infaillibles du Pape et pour cela ma grande estime.

    • 9
      Anubis Rê
      25 juin 2024 à 21h28 / Répondre

      Je manque à tous mes devoirs, je remercie très vivement le Frère Gérard Galtier de cette très belle, très érudite et très utile communication.
      TAF

  • 6
    Pierre Noël
    25 juin 2024 à 19h51 / Répondre

    L’histoire du Suprême Conseil de France se passe de Grasse-Tilly, rapidement hors service pour cause de séjour prolongé dans les geôles anglaises. C’est le Trésorier général du Saint Empire, Claude-Antoine Thory, qui ouvre les travaux du Suprême Conseil le 13 août 1806, Pyron remplissant les fonctions de secrétaire général du Saint-Empire, pour l’installation rituel du Prince Cambacérès comme Très Puissant Souverain Grand Commandeur. Ce même jour Cambacérès devient aussi Grand Maitre de la Mère Loge Ecossaise de France, comme le montre la médaille frappée le 30 mars 1807.

    C’est encore Thory qui remet en activité au sein de la Respectable Mère Loge Ecossaise de France, Le Contrat Social et Saint-Alexandre d’Ecosse réunies dont il est Vénérable en 1808, le Rite Écossais Philosophique en créant des Grands Conseils de Chevaliers de l’Aigle Blanc et Noir .
    la première mère-loge Écossaise de France, Saint-Jean d’Écosse du Contrat Social, fut fondée à Paris en 1776, et un Souverain Chapitre lui était lié, le Souverain Chapitre Métropolitain Ecossais. Un grade du Grand Sanhédrin – S-N-D-R-N – ou Tribunal des Grands Inspecteurs , fut intégré au REAA lors du dédoublement du grade de Prince du Royal Secret.
    Le grade de Grand Inspecteur dans le Rite Ecossais Philosophique semble être un grade judiciaire, non réellement intégré dans la progression.
    « Article 1 – On ne peut posséder le grade de Grand Inspecteur qu’étant bien instruit des huit grades inférieurs de la maçonnerie, depuis l’app jusqu’au R-s + et chev KS car il est au-dessus de ces grades. » « Article 15 – Le STrib est juge de l’ordre et doit relever tous les abus et contraventions aux statuts et règlements de la maçonnerie, à cet effet le STrib aura dans sa cassette des cahiers exacts de chaque grades et quand un f parvient à un grade nouveau il est tenu d’en donner avis au Trib et de communiquer au chancelier une copie des instructions pour en vérifier l’exactitude.
    « Un Tribunal de Grands-Inspecteurs sera établi dans chaque Mère Loge et Loge provinciale. Ce tribunal décide de tous les objets généraux et des objets particuliers des Loges qui présentent un intérêt majeur. Tout Maçon du grade de Maître au moins peut appeler à ce Tribunal, des arrêtés particuliers de sa Loge, et sa décision a force de loi, et doit être exécutée. Ce Tribunal peut être composé de Membres de différents Or. »
    Ce dernier extrait est issu des règlements délivrés par le F Thory, Grand Conservateur du Souverain Chapitre Métropolitain du Rite Ecossais Philosophique, lors de la constitution de la Loge Saint Jean d’Ecosse des vrais amis à l’orient de Gand en 1818 et de son chapitre en 1819.
    Le grade est octroyé seulement à des FF étant en possession de tous les degrés antécédents et après un interrogatoire visant à faire preuve de la connaissance des obligations et instructions de tous les degrés. Comme le dit le Président, « Je suis charmé mon f que le sort vous ait été favorable, je suis persuadé que nous n’aurons jamais sujet de nous en repentir, mais comme la sagesse, la justice et l’équité doivent présider à nos délibérations, il est indispensable avant que vous soyez admis que nous vous examinions afin que nous soyons intimement convaincus que vous ne porterez aucuns jugements sans les connaissances nécessaires. »
    Tel aurait également pu être le chemin choisi par les Loges bruxelloises, sous la houlette du F Rouyer, mais les FF bruxellois Crassous et Coppyn l’encouragèrent plutôt à installer un Suprême Conseil du 33e degré, près de la Loge Les Amis philanthropes.
    Le rituel est t très succinct, constitué essentiellement des décors du Tribunal, des titres et des décors des neufs dignitaires du Tribunal, d’une ouverture des travaux par un engagement, l’échange des signes de demande et de réponse et une batterie. Le rituel d’initiation ensuite consiste en un interrogatoire sur les degrés précédents, en commençant par le premier, puis la prise de l’obligation avec la balance dans la main gauche et la main droite posée sur les statuts. Les mots, signes et attouchements sont ensuite communiqués.

  • 5
    Justine-Agathe
    25 juin 2024 à 19h04 / Répondre

    Voici donc que « je me gausse de dénominations dont j’ignore le sens ». Qu’en sais-tu ? Toi qui justement a vécu une parodie de justice.
    Un ton péremptoire n’a jamais tenu lieu d’argument. Je t’ignore donc.

    • 7
      ERGIEF
      25 juin 2024 à 20h13 / Répondre

      5@JUSTINE-AGATHE
      Il est vrai que le ton avec lequel vous formulez en 2 est exemplaire…

  • 4
    ERGIEF
    25 juin 2024 à 16h12 / Répondre

    Pour être concret, j’ai été appelé à défendre un frère injustement poursuivi (selon nous) devant le tribunal du 31e degré d’une juridictiction du REAA. Je n’avais jamais vécu une telle parodie de justice. Le président, pourtant magistrat dans le monde profane, a délibérément ignoré les règlements généraux de l’Ordre ainsi que la notion de forclusion. Le frère a été condamné et dans la foulée j’ai démissionné de la juridiction et ensuite de l’obédience. Mais je suis resté fidèle à mon engagement maconnique et j’ai trouvé refuge dans un environnement plus sain. Plutôt que de se gausser de dénominations dont ils ignorent le sens les progressistes de tout poil feraient mieux de s’attaquer aux lobbies et aux arrivistes qui squattent les side degrees et de redonner du sens à une institution magnifique qui mérite mieux.

  • 2
    Justine-Agathe
    25 juin 2024 à 14h19 / Répondre

    Souverain Tribunal des Grands Inquisiteurs Inspecteurs Commandeurs…
    C’est qui encore la bonne âme qui recommandait l’humilité à ses ouailles ?

    Peut-être quelque Sérénissime ? Elle a bon dos, la Tradition. Elle transmet, ou bien elle trahit ? Même étymologie.

    Il est vrai que où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir. A quand la réforme au Kärcher de tout ce mic-mac d’Ancien Régime ?

    • 3
      ERGIEF
      25 juin 2024 à 15h55 / Répondre

      2@ JUSTINE-AGATHE
      Quand on ne sait pas on a au moins la modestie de se taire ou bien il faut aller philosopher au café du commerce pas ici.

    • 11
      Brumaire
      26 juin 2024 à 9h44 / Répondre

      2- Il est un rituel (REAA) d’un degré au-delà du 3° qui dit, en substance « Ne détruisez pas inconsidérément … »
      Tout a un sens en maçonnerie, et si les fameuses appellations « mic mac » te dérangent, c’est que tu n’as pas voulu essayer de comprendre le pourquoi de leur pérennité.
      Les lectures ne s’arrêtent pas au degré 0.
      Ergief à tout à fait raison de dire qu’on doit combattre les lobbyistes et les squatters de ces degrés, et moi, j’ajouterai qui les utilisent pour faire ce qu’ils auraient bien aimé faire dans la vie profane.
      Par ailleurs, à la suite de deux articles parus sur Hiram.be, je remarque la grande violence qui transpire de tes posts. C’est une nouvelle maçonnerie? Ou c’est le profane qui s’est vraiment assis sur les colonnes?

  • 1
    Francis Len GLIF
    25 juin 2024 à 13h09 / Répondre

    Formidable. Tout est dit.

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