Pils_-_Rouget_de_Lisle_chantant_la_Marseillaise
Rouget de Lisle chantant La Marseillaise, par Isidore Pils, 1849

La « Marseillaise » de Saint-Omer

Publié par Géplu
Dans Divers

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lundi 18 juillet 2016
Étiquettes :
  • 4
    Jérôme B
    27 juillet 2016 à 17h00 / Répondre

    Nous, Franc-Maçons, nous intéressons à la notion de Verbe. Parce qu’il est évidemment à l’origine de tout. Une musique peut transporter un groupe d’hommes, mais pas autant qu’une chanson chantée ensemble, car alors nous vibrons au même rythme. Il en ressort toujours un sentiment d’union, de fraternité, et même de purification, tout à fait incroyable. Demandez à des chanteurs de chorale !
    La musique est un corollaire, une accompagnatrice, une séductrice, c’est à dire une simple récompense, tout à fait à sa place, ici. La Marseillaise a donc pour père l’auteur des paroles, ce qui semble tout à fait logique.

    • 5
      Nestor Makhno
      27 juillet 2016 à 17h14 / Répondre

      La poësie, c’est très intéressant, mais c’est un autre dossier. La musique se suffit à elle même. C’est un langage universel.

      • 6
        Jerome B.
        28 juillet 2016 à 5h26 / Répondre

        Pour ça, il n’y a rien de plus universel que la musique. Mais si la cacophonie devient mélodie, si le chaos devient ordre, c’est parce que le bras d’un homme donne le rythme. Ce point levé, cette baguette symbolique, en impose par sa volonté et sa prestance, par sa connaissance du plan. Que je le veuille ou non, à l’image de ce chef d’orchestre, mieux : de ce ténor, mon salut passera par la maîtrise du féminin en moi : émotions, sensations…

  • 3
    Joël
    19 juillet 2016 à 13h38 / Répondre

    C’est bien pire que cela, non seulement, nous n’avons pas d’information sur une appartenance maçonnique de jean-baptiste Grison, mais en plus l’œuvre sans doute origine et racine de la Marseillaise est issue d’une œuvre consacrée à un roi très ancien régime. Rien à voir avec un révolutionnaire partisan des idées nouvelles de l’époque. Encore étonnant non ‘

  • 1
    Makhno
    19 juillet 2016 à 10h06 / Répondre

    On comprend mieux pourquoi Rouget de Lisle n’aurait jamais revendiqué la paternité de la musique. C’était une habitude chez les artistes de se copier les uns les autres. Mais là, il ne s’agit pas d’une banale chanson. Ainsi, la musique de l’hymne le plus connu dans le monde ne serait pas issu du cerveau d’un Franc-maçon mais d’un obscur maître de chapelle. Cela bouscule les habitudes de ceux qui ne prêtent qu’aux riches.

    • 2
      Bandit
      19 juillet 2016 à 12h55 / Répondre

      Qui nous dit que JB GRISON n’était pas un frère la gratouille?
      Il est aussi vrai, aussi, que certains ateliers modifièrent leur règlement pour qu’on accepta point les musicos.

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