« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
Je sais bien que tu es un des rares maçons à connaître l’oeuvre de Frédérick Tristan (au fait, tu oublies son geste fraternel pour le GODF), ça ne change rien de ce que j’ai écrit pour les autres salons maçonniques.
Bonne lecture de « L’oeil d’Hermès », mon cher frère Pierre.
Jack
Frédérick Tristan est un auteur passionnant et un Maçon convaincu qui a développé une véritable pensée sur l’Ordre. Il reste sans doute insuffisamment lu par les SS:. et les FF:. mais nous avions tenu à l’associer au comité scientifique de l’exposition « La franc-maçonnerie » de la Bibliothèque nationale (printemps 2016) et il a été un des contributeurs du catalogue. Pour ceux qui voudraient commencer – les vacances à venir sont une belle opportunité – on pourrait conseiller deux romans initiatiques et crypto-maçonniques « Les tribulations héroïques de Balthasar Kober » et « L’homme sans nom » (bien qu’il y ait là un règlement de compte cruel mais talentueux avec mon maître René G. dont F.T. avait été très proche avant qu’une brouille terrible ne les séparent).