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Bonsoir
Je partage l’avis de Charles Coutel. Merci aussi à Cécile Révauger.
Joaquim Grave dos Santos
Roëttiers de Montaleau a des origines belges et flamandes. La dynastie des Roettiers sans tréma exerçait aux Pays-Bas espagnols puis autrichiens, ensuite ailleurs en Europe occidentale.
Philippe Roettiers (1596-1669) eut trois fils, qui donnèrent in fine Alexandre Louis Roëttiers de Montaleau, avec un tréma bien français.(1748-1807).en passant par Norbert Roëttiers, graveur français né en 1665.
Ce patronyme flamand se prononce Routirse.
Jamais aucun Français ne le fera….
J’apprécierais beaucoup de savoir ce que Cécile Révauger a écrit sur le souverain chapitre De Roos (et non De Ross comme l’orthographie KA !!) sur lequel j’ai publié une étude très pointue, en ma qualité d’auteur bilingue français-néerlandais. Merci.
L’article de JVW sur le Chapitre De Roos est plus que pointu, il est définitif ! Il n’est pas qu’ un article documenté ! Il se lit comme un roman et réduit à néant les prétentions d’une survivance du rite dit « français » aux Pays-Bas.
Il en irrita plusieurs rue Cadet.
L’article en ligne demain. 🙂
Peut-être K.A. regrette-t-il de ne pas avoir été invité à « plancher » sur ce sujet ?
Les auteurs impliqués nous ont plutôt habitués à des travaux sérieux et ne méritent pas une telle diatribe.
Mais, qualifier ces historiens connus et reconnus d’auteurs « de service », partisans de « l’histoire officielle » ou d’une « vulgate officielle », d’incompétents, désinvoltes, approximatifs, ne sent-il pas le règlement de compte ?
Faudrait-ils pour être réhabilités qu’ils démontrent que le Rite français est né dans les milieux militaires et intellectuels qui entouraient Jacques VI d’Écosse ?
Bonsoir,
Le commentaire n°1 de K.A. me semble bien rapide et rempli de procès d’intention. En tant qu’universitaire habitué à évaluer et à être évalué, je peux confirmer l’extrême sérieux à la fois du colloque et de l’édition des actes. Rigueur et fraternité de ce beau travail, merci à Cécile Révauger.
Charles Coutel.
Je n’ai pas encore lu mais je crains qu’il s’agisse d’un vision très Godf. Prennent ils en compte le Régulateur 1801, les apports rothiers de montaleau, les racines rit modern?
Eh bien, espérons qu’il sera d’une meilleure facture que le récent et dernier ouvrage de la même maison, sous le titre de « La grande histoire du Rite français ». Ouvrage de commande, aux raccourcis historiques inquiétant qui tendent à reléguer le « beau livre » dans la catégorie « histoire romantique de la franc-maçonnerie ». Tant des faits marquants et importants de l’histoire contemporaine sont soit traités de manière quasiment autoritaire et approximative (comme la filiation De Ross en 1963) ou plus simplement occultés pour ne laisser sur le papier glacé qu’une histoire officielle clairement revendiquée en préface. Tout honnête cherchant et chercheur serait en droit d’attendre un peu plus de rigueur historique venant d’une commission spécifique. Les nombreux et sérieux travaux précédents sur le Rite français ne semblant pas avoir été trop pris en compte dans ce dernier opus. Ne doutant pas des qualités de l’auteure, j’espère qu’elle saura faire preuve, comme à son habitude, d’une grande rigueur épistémologique dans l’ouvrage à venir. Afin qu’il n’entre pas lui aussi dans la catégorie des ouvrages de service, voir de vulgate officielle, d’organe maçonnique, fut-il le légitime fondateur du Rite. Salutations.