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Géplu.
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Le rapprochement des langues peut parfois avoir quelque chose de curieux.
En tout cas cela peut poser question.
Pourquoi, par exemple, ne pas avoir conservé l’adjectif « distinct » dans le titre français?
Au cas d’espèce, le qualificatif d’espacé, faisant penser d’abord à une distanciation dans l’espace, plutôt qu’à une séparation sonore, on se demande s’il est le plus approprié.
On touche en fait aux cinq sens.
Trois coups (de maillet) biens distincts, bien séparés, font appel à l’oreille.
Espacé faisant appel à une séparation d’abord dans l’espace, j’y vois d’abord une séparation visuelle puisque dans l’espace.
De ce point de vue là, n’y a-t-il pas lieu de garder le terme « espacé » pour évoquer, par exemple, les trois colonnes séparées disposées sur la pavé mosaïque?
N’étant ni traducteur de profession, et encore moins chercheur en sciences du langage, je me garderai bien de toute critique, je ne fais juste qu’exposer quelques pensées qui me traversent l’esprit à la comparaison des deux titres, l’un en anglais, l’autre en français. Voilà tout.
Car j’imagine qu’au delà des seuls titres, dans des corps de phrases ou de paragraphes, cela ne se voit pas, ne se lit pas avec la même acuité.
Finalement, en Angleterre, depuis la création de la GLUA et ses divers styles du rite anglais (emulation, bristol, taylor, etc.) plus personne ne pratique le rite des moderns et le rite des antients.
Le premier a une survivance dans le rite français 1785-1801 mais qu’en est-il du second tel qu’il était pratiqué en 4 gradés avant 1813 ?