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Géplu.
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Qu’y aurait-il d’étonnant à cela?
Il me semble que le temple présenté ici en photo est celui d’une loge de la GLSA, à La Chaux-de-Fonds.
Doit-on comprendre que la loge Tanit de la GLFS partage les mêmes locaux que la GLSA?
Et, poussant l’interrogation, d’autres obédiences également?
La légende de cette photo dans l’article du Quotidien Jurassien dit bien :
« La grande salle de la loge maçonnique l’Amitié à La Chaux-de-Fonds où se réunit également la loge féminine Tanit ».
Merci Géplu, je n’avais pas ouvert le lien en rouge « Quotidien Jurassien ». Maintenant c’est fait!
Tant qu’à parler de babioles, aussi importantes (si pas plus !) que la régularité honnie, j’ai eu le bonheur de partager une table dans la loge de Berne (Zur Hoffnung) avec une poignée de FF. Suisses. Ils parlaient tous un Schwisser Dütsch différent, car vivant à quelques encablures l’un de l’autre, mais se comprenaient sans peine, me parlant, indifféremment, en français ou en anglais. Une expérience rare, qu’on ne voit communément qu’à Luxembourg où les langues et dialectes se mélangent.
Savez-vous, coq à l’âne !, qu’il existe à Luxembourg-ville une loge (Ermesande ?) de la GLFF (et oui !) qui a la particularité d’être la seule (?) germanophone de cette honorable obédience ?
Erreur ! la loge GLFF de Luxembourg-ville, c’est « Ermesinde », du nom d’une comtesse de Luxembourg, (1186-1247), fondatrice de l’abbaye de Clairefontaine, en 12162.
C’est bien de parler d' »universalité » !
En Suisse, pays démocratique s’il en est, le droit de vote des femmes au niveau fédéral a été accordé en février 1971. Au niveau cantonal, dans le canton d’Appenzel Rhodes-Intérieures, les femmes ont obtenu le droit de voter en… novembre 1990 ! Et encore, par décision du Tribunal Fédéral…
C’est pas comme si la mixité en Franc-maçonnerie avait été obtenue dans l’enthousiasme le plus général…. enfin, bon, passons.
Lazare, il eût fallu être aveugle mais surtout sourd pour avoir négligé ton (superbe) exercice de style en allitérations en s!?
C’était à Pierre que je tentais de répondre, il se trouve que, presque frontalière de Bâle, et très attirée par la montagne, je connais mieux la Suisse que ma propre région…
Ŕégale nous encore de tes bons mots, ça change!
Et non, je n’ai pas de Seveu sur la langue!
@ Pierre Noël (3) et Brumaire (4):
Si je puis me permettre, le fond de mon propos était surtout de faire écho à Mozart, pardon à Trazom, et à son exercice de style consistant en des allitérations en « S » d’ailleurs commencées par Géplu dès son titre d’article.
Raison pour laquelle je cite les villes de Sion, de Sierre (Valais) et de Soleure (ou Solothurm) puisqu’elle commencent toutes par un « S ». Et qu’ensuite, les sachant extérieures au Jura, il me fallait poursuivre l’allitération en y faisant une brève allusion avec l’emploi de jurassiennes, entre autres..
Mon ambition n’était que celle-là:
– susurrer à satiété, et en société, des expressions avec du sens et censées s’amuser que des Soeurs sortent du silence pour s’exposer avec sagesse et sans cynisme auprès de ceux et celles souhaitant savoir ce que les initiés s’efforcent de savoir, en deça, ou au-delà de la Sarine, fleuve sinueux et non servile serpentant, semaine après semaine, en Suisse, du Sud au Septentrion; Sarine dont la source est située, c’est certain, à Savièse, au dessus de Sion.
Allitération en « S », disions-nous….
Les Sœurs suisses sortent du silence? Sont-ce les Sœurs de Sion? Ou sont-ce celles de Sierre? Ou sont-ce celles de Soleure? C’est peu sûr, s’agit ici des jurassiennes. Seulement ces soeurs-ci? Est-ce ainsi?
la question ne manque pas d’intérêt.
Y a-t-il de la maçonnerie à l’est de Martigny (Sion et Sierre) ?
Quant à Solleure (Solothum), est-ce encore le Jura ? ?
Il y a une loge à Sion.
Apparemment, d’après le tableau que Géplu a donné, pas de Loge à Sion, pas davantage à Sierre. Et à l’est, donc le début de la vallée du Rhône, ce n’est pas très étonnant qu’on n’en trouve pas: le canton du Valais est très traditionnaliste dans cette partie, comme les cantons qui le touchent à l’est et au nord (Grisons, Uri). Au risque de choquer, les traditions catholiques y sont très fortes.
L’Alpina mentionne une loge à Sion. En revanche, elle n’en mentionne pas dans l’est de la vallée du Rhône. Alpina n’a pas de loge avant les Grisons (Davos). Par contre elle en a dans le Tessin, en italien.
Davos, Pierre, pas très étonnant qu’Alpina soit la seule obédience dans ce canton, où la disparité sociale est importante. Les gens aisés se trouvent à Davos, St Moritz et Arosa, là où les cotisations élevées d’Alpina ne font pas peur.
Soleure /Solothurn est la capitale du canton du même nom et géographiquement en limite nord du Jura. Je doute que la Loge de La Chaux-de-Fonds, en plein Jura, elle aussi, ait des membres du canton de Soleure/Solothurn, car à Soleure, on parle suisse-allemand et à la Chaux-de-Fonds, on parle français, (comme à Sierre et Sion, en limite linguistique du canton du Valais).
Il y a des loges de la GLFS à Genève, Lausanne, Neuchâtel, mais je ne sais pas s’il y en a en amont de Sierre.
La liste des loges de la GLFS, avec leurs Orient, est ici :
https://www.glfs-masonic.ch/les-loges-de-la-glfs.html
Sssssss !! Les Sœurs Suisses sortent du silence…
Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ?