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l’organisation de REHRAM 2013 à Kinshasa est une belle opportunités aux illuminés de refléchir sur la conduite des affaires en RDC. Essayer à leur niveau de pèser de tout leur poids afin de faire entendre la voix de la raison auz endurcis ( que ces derniers cessent d’écouter la voix de la sirène ).
@El Capo
Je ne saurais confondre Congo Brazzaville et RDC, d’autant que j’y ai vécu! Ainsi qu’au Gabon d’ailleurs, et ce durant plusieurs années.
Ceci étant dit, que les chefs d’Etat de ces pays soient FM ou pas, rencontres protocolaires sous couvert de fraternité ou d’humanisme maçonniques ou pas, la situation sociale et humanitaires de leurs pays respectifs s’aggrave considérablement au fil du temps. Et ce n’est pas le CPMAM qui changera la donne!! Sauf à donner à nouveau une caution morale et une bonne conscience aux dirigeants de ces pays.
Ma réponse au commentateur précédent est qu’il confond le Congo Kinshasa et le Congo Brazza. A Kinshasa, on a pas encore eu la chance d’avoir un chef d’Etat FM et cette rencontre pourra amener la lumière sur la situation humanitaire de ce pays (6000000 des morts déjà) et peut être proposer des solutions éclairées.
A l’occasion de cet évènement à portée internationale , je suggère à nos Freres congolais, hommes de = devoirs et d’obligations=, de se pencher sur les itinéraires maç de plusieurs chefs d’état africains qui ont su conférer une véritable identité nationale à leur action, au nombre desquels figure en bonne place au Congo-Brazzaville, le président DS-N, GM de la GL du Congo, accusé de nombreuses pratiques de prévarication (cf les biens mal acquis) et été épinglé comme feu son gendre Omar au Gabon, dans la liste des dirigeants corrompus.
Au Congo, l’indice de pauvreté humaine atteint 70% de la population de Brazzaville et de Pointe Noire ; 70% des congolais n’ont pas accès aux soins, et 86% des ruraux n’ont pas l’eau potable.
En tant que de besoin, les sus-nommés savent diligenter des actions drastiques envers leurs opposants (dont de nombreux Freres) très éloignées de leurs déclarations ampoulées de grands humanistes.
Du Congo au Gabon, en passant par le Tchad et la Centrafrique, c’est au moins une douzaine de présidents du continent qui oeuvrent dans le même sens, et dans le même esprit .
Très souvent pour le plus grand malheur de leurs pays. Car à l’opposé de leurs « frères » occidentaux, qui participent à la consolidation de la démocratie dans leurs pays respectifs, les francs-maçons des cercles de pouvoirs africains, pour la plupart, tiennent leurs pays d’une main de fer, et dépouillent la veuve et l’orphelin.
Depuis de nombreuses années, leurs parrains des grandes obédiences françaises ferment les yeux sur ces pratiques fort peu maçonniques, quand ils n’en profitent pas.
C’est de la part de la CPMAM une décision très opportuniste que d’organiser semblables rencontres, contribuant ainsi à ce que ces pratiques se perpétuent en toute discrétion et en toute impunité.