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Géplu.
Etudiant à l’ULB, baptisé tardivement, je fais parti d’une autre dissidence des macchas (1976).
Sur le sujet, je ne peux que vous conseillez la lecture de l’Engrenage n°75 du 5 novembre 2013. Il s’agit du périodique du Cercle Polytechnique de l’ULB, avec un très bon dossier sur les Ordres secrets les plus « connus ». Il y a évidemment quelques approximations, comme toujours avec ce type de sujet: http://igweb.vub.ac.be/FA/media/engrenage-ordres.pdf
Si je puis me permettre, c’est juste pour aider, rien de plus, moi aussi je ne peux que vous conseiller, mais en matière orthographique.
Une astuce: quand on hésite devant la transcription du son « é » ou « ez » ou « er » sur un verbe du 1er groupe (ceux terminant en « er » à l’infinitif, il faut faire un essai, oralement c’est encore plus parlant si je puis dire, avec un verbe du 2ème (terminaison en « ir ») ou du 3ème, toutes autres terminaisons.
Et si c’est l’infinitif qui vous arrive avec ceux-là, alors c’est également l’infinitif avec conseiller.
Je ne peux que vous avertir? Je ne peux que vous contraindre? Je ne peux que vous écrire? Alors ce sera logiquement je ne peux que vous conseiller.
S’agissant de faire partie c’est forcément au féminin car il s’agit de constituer une partie d’un ensemble, d’en être un des éléments, d’être un élément d’un tout, tout simplement.
Rien à voir avec le fait d’être membre d’un parti, lequel est constitué de partisans.
Et l’on voit également par là que partie est une unité et que parti est un rassemblement d’unités
Surtout ne pas le prendre mal, de toute façon libre à vous de suivre ou pas ce type d’astuces pour s’exprimer, le conseil c’était juste en passant. Ce que vous en ferez, ou pas, ne m’appartient pas.
Cela étant pour ma part, je suis persuadé que le meilleur ami de l’homme est le dictionnaire, en tout cas depuis l’invention de l’écriture.
Et bien, moi qui me targue de ne pas trop mal écrire, je dois avouer que je me suis bien fait moucher!
Je pourrais invoquer un empressement à conseilleR (l’enthousiasme du partage), un manque de relecture (être au boulot n’aide pas) et un état de fatigue avancé (la fin d’année est chargée), ce ne seraient là que basses excuses…
Mes doigts et mon cerveau n’ont pas à fourcher ainsi!
Merci pour tes conseils (que j’utilise habituellement). C’est toujours un bon rappel.
Passe de bonnes fêtes de fin d’année!
Sois rassuré, il m’arrive d’en laisser échapper de belles aussi, même après corrections! Nul n’est à l’abri.
Quant à tes doigts, ce soir ils ne vont pas fourcher, ils vont … (j’en ai déjà honte avant de l’écrire)… ils vont fourchette..
Je ne vais pas dire que je suis désolé de cette piètre tournure, je vais juste dire: flûte.
Ainsi ce sera plus en rapport avec le réveillon de ce soir!
Que je te souhaite bon également.
11: votre astuce est vraiment utile mais semble être méconnue par un grand nombre de commentateurs et même par geplu, qui a employé pendant des années la formule: « pour vous désabonnez… »
Pendant les années 50 les macchas étaient connus par les étudiants flamands de l’ULB-VUB mais on en parlait fort peu et uniquement pour indiquer qu’ils avaient « un certain pouvoir » à l’université…
Les étudiants néerlandophones n’avaient pas de cercles secrets, mais un club officiel (et ce depuis le 19me siècle) « Geen taal,geen vrijheid », qui pratiquait un rite para-maçonnique pendant ses réunions estudiantines.
Bonjour. Je souhaite contacter l’auteur, pour lui proposer une conférence à Bruxelles, dans le cadre d’un cycle consacré aux « pouvoirs du langage ».
Je comprends maintenant le but de la franc maçonnerie. Elle croit en un dieu, le grand architecte et nous trompe, en nous faisant croire que Jesus est mauvais pour la société. Bruxelles réveille toi
Je ne sais pas ce que tu fumes Eden, mais je pense que c’est de la bonne !
J’aimerais beaucoup qu’Eden développe, ça m’a l’air passionnant ! 😀
Repéré!
Bonjour,
ULBiste moi-même, j’ai fait partie d’un ordre estudiantin, non-repris dans la liste, certes non-exhaustive. Cet ordre estudiantin, qui existe toujours, a été fondé aux alentours de 1979 (je ne suis plus certain). Cet ordre est en fait une dissidence historique des Macchas. Il fut fondé par un trio de frères, en rupture avec un ordre qui, à leurs yeux, promouvait trop ce que l’on appelait, fin des années ’80, le « nouveau folklore » (un folklore expurgé de certaines traditions, dirons-nous, en résumant beaucoup). L’ordre dont j’ai fait partie n’a que très rarement fait parler de lui publiquement, ou intentionnellement. Mais son existence, par son réseau et sa présence dans la plupart des cercles folkloriques ou facultaires, était connue de beaucoup, bien plus que des initiés. Fin des années ’80 et début des années ’90, il était présent sur tous les campus de l’ULB, y compris dans les institutions « associées » comme Cooremans (cercle Hermès), etc. De mon temps, le gros des troupes provenait de médecine, sciences po’, pharmacie, psycho. Mais il y avait vraiment une présence globale. J’ajouterai que cet ordre à la particularité de comprendre deux ailes, appelées « ilôts », l’un étant masculin, l’autre étant mixte.
Quant aux Enculeurs de Dindons, c’est aussi un ordre dont j’ai fait partie. C’est différent du premier. Les objectifs ne sont pas les mêmes., ou n’étaient pas les mêmes.
Voilà…
Bien à vous.
Denis,
Tu es repéré 🙂
fraternellement.
AB
Je pense qu’il est dans la liste, simplement sous un autre nom.
ET
Ulbiste, baptisé tardivement selon les règles du Cercle de droit, j’ai maintes fois entendu parlé des Macchas dont on me disait qu’ils étaient repérables à leurs têtes de mort épinglées sur leurs pennes (la casquette de l’étudiant). Je ne m’y suis jamais vraiment intéressé. Mon cas était particulier. Français, expatrié, je faisais une spécialité et j’étais déjà franc-maçon à l’époque depuis plusieurs années.
Je me souviens que, à chaque rentrée universitaire au mois de septembre, il y avait une proclamation de l’Ordre des frères Macchabées affichée sur les murs de l’Université.
Cette proclamation se terminait invariablement : « Si la Communauté universitaire ne réagit pas, les Macchabées, eux, réagiront ».
Et il n’y avait généralement pas de réaction. Les étudiants, majoritairement peu au fait du folklore, n’y faisaient pas attention.
Autant que je me souvienne, les Macchas n’étaient pas appréciés chez les étudiants « baptisés ». Il leur était reproché, par les étudiants, de singer la maçonnerie, d’être des fils à papa du pilier laïque, qui fréquentaient le cercle du librex (libre examen), souvent des enfants adoptés (fils de maçons) membres de cercles tels qu’Emulation, les Abeilles, etc.
La chanson du cercle de droit est sans équivoque (sur l’air des Champs Elysées, Joe Dassin) :
« Au cercle de droit (bis)
Le Floklore est roi,
Et dans les Caves du Janson,
Tous les sales bleus nous les tondons,
Nous les Macchas on n’en veut pas,
Au cercle de droit. »
Ce sont de bons souvenirs du guindaille (fêtes et beuveries)
Dans le document, il y a l’Ordre des Dindons. A noter que j’ai connu le très vénérable Ordre des Enculeurs de Dindons dont je n’ai nullement fait partie mais dont je présume qu’il était en concurrence directe avec le premier. 🙂