jeudis 231

Les jeudis maçonniques parfois un peu moqueurs, 231

Publié par jissey
Dans Humour

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jeudi 2 janvier 2025
  • 4
    Remi
    3 janvier 2025 à 13h26 / Répondre

    6025 c’est en mars

  • 3
    Yasfaloth
    3 janvier 2025 à 11h43 / Répondre

    Et bien entendu cela ne peut venir du fait que l’apprentie ou le compagnon en question se pense (par exemple) dispensé d’assiduité…
    .
    Quelqu’un qui met 8 ans à devenir Maitre, ce n’est jamais par hasard, ou par malveillance. Et puis dans une Loge il n’y a pas que le parrain, même si celui-ci a une certaine influence, en 8 ans une Loge connait au moins 3 vénéralats, faut il croire que les 3 Vénérables en question se sont concertés pour « saquer » cette « malheureuse » sœur ?
    .
    Je me suis demandé en voyant ce GIF si ce n’était pas, en fait une caricature de feu Anne Doutrepierre…
    .
    Bonne année 6025 à tous !

  • 2
    lazare-lag
    2 janvier 2025 à 18h01 / Répondre

    Il est un peu dommage de commencer l’année tout juste débutante en employant un tel mot entre parenthèses…
    D’autant, et c’est fort connu, ce terme n’existe pas en franc-maçonnerie, ni en tant que concept, ni en tant que matière, dans aucun rituel, dans aucun mémento de grade.
    Pas même dans le rituel de Pierre Dac!

    Chez-nous, ne règnent donc que fraternité, respect des autres comme de soi-même, égrégore, solidarité et générosité.
    J’en passe et des meilleures.
    Un vrai jardin des délices maçonniques.
    Quotidiennement et même en permanence. N’en jetez plus!

    Mais demeurons réalistes: parfois, au détour d’une colonne, dans la partie ombragée d’un parvis, devant un verre en salle humide, il peut hélas apparaître une faiblesse, un abus, voire une méchanceté, dite ou faite.
    Qualifions les de: manques de fraternité, d’errements non solidaires, ou de paroles ou faits de mauvais compagnons.
    Réservons alors le mot situé entre parenthèses au monde profane.
    Car ce mot, et ce qu’il suggère, n’est avec la franc-maçonnerie, et les francs-maçons, ni un parent, ni une thèse.

    Et ce, même si le toulousain d’origine que je suis, n’oublie pas son petit bréviaire de Claude Nougaro:
     » Ici, on se traite de con, à peine qu’on se traite,
    Ici même les mémés aiment la castagne »
    A Toulouse, sur le plan maçonnique je ne sais pas, mais sur le plan profane, on aime bien aussi parfois forcer un peu le trait…

    Sur ce, mon très cher Rémi, continue, ne change pas.
    D’autant que sur le fond, je suis totalement d’accord avec toi!!!
    Et très bonne année 2025 aussi!!!

  • 1
    Remi
    2 janvier 2025 à 7h16 / Répondre

    Il faut vraiment avoir une grosse couche (de connerie ) pour présenter une ou un profane, et bloquer sa progression ensuite.

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