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Géplu.
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Les gestes du garde-barrières ne sont pas contestés, et même pas contestables…
Bravo pour ton appréciation mon frère Lazare.pour ma part je vois dans ce flacon (en rapport avec son dessin et le thème) davantage le gel Hydro-alcoolique qui nous est prescrit, à nous qui pourtant portons des gants! je préfère cependant ton interprétation.Bonne année.
Ce dessin est des plus intéressants, car il n ‘est pas qu’une image.
On croît reconnaître ici la barrière de nos vieux passages à niveau dont le but était de séparer le trajet ferroviaire du trajet routier.
Deux méthodes de circulation et deux méthodes de transport.
De marchandises et surtout des hommes.
La barrière étant donc une sorte d’allégorie, voire de négociation, voire de compromis qui permet aux deux, mais successivement grâce à la barrière, de jouer son rôle .
Aucune des deux fonctions, la routière comme la ferroviaire ne domine l’autre, chacune doit céder le pas à tour de rôle.
Voilà tout.
Et le soin apporté jusque dans le détail permet presque d’y joindre une morale, comme dans une fable.
Pour ma part, j’ai une petite affection pour le petit bidon d’huile posé à gauche sur le contrepoids.
De l’huile pour les rouages.
Mettre de l’huile dans les rouages, et c’est ainsi que trains et bagnoles peuvent se respecter.
Mettre de l’huile dans les rouages, et c’est ainsi que les frères, en loge, ou commentateurs sur site, améliorent la circulation de la parole, respectent le transport des idées, et fluidifient le trafic des échanges fraternels.
Auquel cas Géplu ne serait-il pas notre garde-barrière préféré?