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Les femmes dans la franc-maçonnerie française

Publié par Jean-Pierre Bacot

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dimanche 17 janvier 2016
  • 21
    Blazing Star
    25 janvier 2016 à 22h07 / Répondre

    Michel Sardou dans sa chanson à bien dit que les femmes savaient tout faire, comme les hommes. Elles sont moins grégaires que les hommes ce qui est un handicap pour la f.m. Elles sont plus occupees que les hommes avec les maternités ce qui est un autre handicap. Mais elles sont plus intuitives que les hommes et peuvent avoir plusieurs choses à l’esprit au même moment, deux qualités pour la f.m. Alors vive les femmes f.m.

  • 19
    Arsène
    25 janvier 2016 à 19h27 / Répondre

    Emilius a le droit de jouer le réac du blog, ça met de l’animation.
    Mais sans revenir sur le fait que toute tradition est une construction, on soulignera que la discrimination sexuelle tombe sous le coup de la Loi, si on veut bien la faire appliquer, et pas seulement la loi américaine qui considère la maçonnerie locale comme tellement has been et old fashion que la cour suprême ne s’est même pas occupée de son cas, alors qu’elle a enjoint le Rotary et le Lyon’s à devenir mixtes.

    Mais il est vrai que défendre la rédemption d’un ancien adepte de Léo Taxil ( l’auteur de l’illustration) par une thérapie guénonienne, ça annonçait la couleur.

    Bref que cela plaise ou pas, les femmes sont là où elles entendent être, jusqu’à l’Académie française, les Noirs aussi, les athées, les homos et les philathélistes ( membres d’une secte d’origine anglaise adorant le papier dentelé).

    • 20
      EMILIUS
      25 janvier 2016 à 19h57 / Répondre

      Bonjour,

      je vous ai vexé ; tant mieux! ; vous dites vraiment des sottises et avez l’esprit de mélange bien ancré ; c’est votre problème.

      Cordialement.

  • 18
    EMILIUS
    25 janvier 2016 à 19h03 / Répondre

    Bonjour,

    dans sa perspective fondamentale, il ne peut y avoir Maçonnerie Féminine ou Mixte ; dans le sens ou l’on transmettrait ou mélangerait les rites ; cela ne peut aller nulle part dans le meilleur des cas donc on pert son temps en brassant du vent, dans le pire dégénéré.

    Les femmes sont tout à fait `initiable` dans un cadre adapté ; et le seul à mes yeux qui est régulier, se trouve en Maçonnerie Américaine et nulle part ailleurs, d’ailleurs cela n’est pas  » Féminin » ; c’est inhérent au « particularisme et dépôt » Américain qui ont hérité d’un esprit de méfiance contre toute nouveauté ou égalitarisme forcé par les moeurs sociales ; malgré l’hyper-modernisme les entourant.

    ceci n’est pas un problème de machisme ou de sexisme quelconque ; la Maçonnerie a hérité de méthodes initiatiques ne gardant que les aspects masculins donc adaptés aux hommes, pas aux femmes ; sauf au pays des Amériques ; il fut transmis quelque chose ; une aide.

    Cordialement.

  • 17
    Jean pierre bacot
    24 janvier 2016 à 21h22 / Répondre

    À lire tous ces commentaires …
    Je me dis sur cela ne sert pas à grand chose de proposer un bout d’analyse pour avoir de la pub pour une loge fort respectable, mais qui comme le dit Julie a juste un bon siècle de retard sur l’histoire, mais bon, restons en au présent
    Moins de 3% de SS en 6 ans avec une moitié à peu près venue d’ailleurs(GLMF, GLMU, GLFF essentiellement), ça ne sent pas le raz de marée.
    Cela dit´ sauf erreur toujours possible de la part,
    Il n’y a plus de loge mixte à Créteil à part celle que vous savez,…

  • 14
    Julie
    24 janvier 2016 à 12h30 / Répondre

    Initier ou recevoir, autre débat, des femmes.
    Plus d’un siècle après l’entrée en loge de Maria Deraismes, quelle performance !!!!
    Si c’était pour travailler en mixité au rite français, c’était possible depuis longtemps à la GLMU puis à la GLMF.
    Serait-ce que la fameuse ancienneté ou la taille prime sur tout ?

  • 13
    Vuissanne
    24 janvier 2016 à 11h26 / Répondre

    Bonjour à vous toutes et vous tous,
    J’ai été la seconde femme initiée dans ma loge au GODF en 2012. J’ai connu la culpabilité de ne pouvoir être souvent en loge du fait de mon métier dans lequel je suivais beaucoup de formations. La première avait le même probleme que moi. Tous nos freres ont été très compréhensifs. Nous avons eu nos diplômes. Et sommes beaucoup plus présentes. Plus actives. Une troisième est arrivée.
    D’après nos frères, finalement, l’arrivée des femmes ne change pas grand chose, juste trois nouveaux anneaux de pur métal ont renforcé la chaîne d’union. Quelle différence existe t-il entre homme et femme lorsqu’on veut s’améliorer et s’impliquer dans un projet de loge?

  • 12
    JFVC
    24 janvier 2016 à 9h56 / Répondre

    Ma loge Prairial a été l’une des 5 loges, premières, à initier une femme au GODF il y a maintenant bientôt 5 ans et nous sommes fiers d’avoir contribué ainsi à redonner une égalité en droit à la moitié de l’humanité….

    • 15
      lazare-lag
      24 janvier 2016 à 17h50 / Répondre

      @ JFVC:
      A quoi sert-il de mentionner ta loge, sans en mentionner la localisation, l’orient, la ville au moins? C’est grand le G.O.D.F., c’est grand la France. S’il prend l’envie à un frère ou une soeur de vouloir visiter Prairial, où doit-il se diriger? Je ne suis pas certain que Prairial soit une référence bucolique à une quelconque… prairie.
      Et citer les 5 premières, au moins géographiquement, ça peut être instructif aussi.
      @ Vuissanne:
      Peut-être mentionner également où se situe ton atelier.
      Et de manière générale, sur 50.000 adhérents du G.O.D.F, si l’on nous dit que cela représente quelques 1.300 soeurs ou 2,6% du total, peut-être serait-il intéressant de savoir combien de loges sont concernées.
      Personnellement j’en connais une à Toulouse, une à Aix-en-Provence, on me dit qu’il y en aurait une à Auch, dans le Gers. Mais à part une concentration sur Paris ou région I.D.F., je crains fort qu’ensuite ce soit nettement plus clairsemé.
      Bref, tout renseignement qui peuvent avoir une utilité soit pour visiter, si l’on est de passage,soit pour éventuellement orienter d’éventuelles candidates profanes.
      De ce point de vue, je regrette de ne pas connaître l’implantation féminine du G.O.D.F. en Vaucluse, dans le Gard, ou en Isère, par exemple.

    • 16
      JFVC
      24 janvier 2016 à 19h57 / Répondre

      O de Maisons-Alfort et nous nous réunissons les vendredi 1 et 3 du mois à Créteil….

    • 22
      yasfaloth
      26 janvier 2016 à 1h02 / Répondre

      Pardon pour cette réaction un peu épidermique, mais que le ridicule et la prétention grotesque de cette « profession de foi », qui eut son heure de gloire dans les années 2010, puisse nous être encore ré-assénée aujourd’hui, me laisse pantois !
      .
      Les femmes ne vous avaient pas attendues pour investir les temples…
      .
      Par contre vous avez créé là une profonde et durable fracture dans votre obédience, et celle-ci n’a pas fini d’en payer le prix.
      .
      Attendons le jour où un (ou une) GM « féministe » et son conseil décideront qu’il n’est pas convenable qu’une immense majorité des loges du GO refusent d’initier des impétrantes et même, parfois, de recevoir en visite des sœurs de l’obédience… et trouveront une façon de tourner leur texte qui puisse recevoir l’approbation du convent, s’il le faut à une heure ad-hoc… comme la dernière fois !
      .
      Et pas la peine de nous rappeler que le GO est une fédération de loges « souveraines », car vous savez très bien que cette souveraineté a des limites très concrètes et que les moyens de pression ne manquent pas !

  • 9
    EMILIUS
    20 janvier 2016 à 6h10 / Répondre

    Bonjour Géplu,

    dans un souci de vérité, malgré les égarements d’Abel Clarin de la Rive ; qui fusse un moment dans les travers Taxilien ; celui-ci se rétracta à la fin de sa vie et s’amenda ; la rencontre d’avec Aguéli et de Guénon y sont certainement pour quelque chose ; ou simplement ce qui devait être ; je pense que ceci est important dans une époque ou l’on se pense tolérant et on ignore la correction et possibilité de s’améliorer malgré les érrances aux quelles un individu aurait pu succomber.

    Cordialement.

    • 10
      Arsène
      20 janvier 2016 à 11h36 / Répondre

      Voila t’y pas que Guénon et son suédois ramènent leur fraise… Faudrait au moins dire que le premier ne retint pas l’aspect féministe du premier…

      • 11
        EMILIUS
        20 janvier 2016 à 18h38 / Répondre

        Bonjour,

        je ne vois pas le rapport entre ce que j’ai écrit et votre commentaire : je ne le vois pas car il n’y en a aucun ; à part quelques babilles enfantines, délirantes et forcement inintéressantes.

        Cordialement.

  • 8
    Arsène
    18 janvier 2016 à 18h19 / Répondre

    Un peu moins de 400 au Grand Chapitre Féminin de France du Rite Français, quelques dizaines au Grand Prieuré féminin (RER)
    A la GLMF, à la louche, 200 femmes au Grand chapitre et 250 au Suprême Conseil , avec quelques unités au RER

  • 7
    Mayflower75
    18 janvier 2016 à 16h23 / Répondre

    Un peu plus de 2410 Sœurs de la GLFF dans les ateliers de perfection au REAA

  • 6
    charlec
    18 janvier 2016 à 15h23 / Répondre

    pour les avoir cotoye pendant32 ans il est tres dificile de denoncer quoi que se soit quand elles sont eprisent de FM elles sont les meilleurs mais souvent tres peu nombreuses et tres prises ou preocuper par leur avenir

  • 5
    Arsène
    17 janvier 2016 à 18h29 / Répondre

    Je ne crois pas qu’il s’agisse de psychologie. Les organisations, clubs et loges ont longtemps été fermées aux femmes. Mais peut être leur entrée, concédée, aura-t-elle été trop tardive…

  • 3
    Jean pierre bacot
    17 janvier 2016 à 12h27 / Répondre

    Enquête difficile à effectuer
    Mais très intéressante: répartition par rite et par sexe dans les loges bleues comme dans les étages supérieurs…
    Qui s’y met?
    Ce serait un embryon de sociologie de la Maçonnerie terrain délaissé s’il en fut..

    • 4
      Chicon
      17 janvier 2016 à 14h28 / Répondre

      Socio psychologie : pourquoi ces dames sont inférieures en nombre dans les obédiences et clubs ?

  • 2
    Jeanne Pascale
    17 janvier 2016 à 12h14 / Répondre

    Au point 4, j’ajouterai … « et au Grand Orient de France » !

  • 1
    Tellier
    17 janvier 2016 à 11h32 / Répondre

    Connaît on le pourcentage des Sœurs dans les Ateliers Supérieurs du REAA? ou du RF, mis a part la GLFF .

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