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Géplu.
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Robert Ambelain disait de la Franc-Maçonnerie moderne, celle datant de la fondation de la nouvelle Grande Loge d’Angleterre, et qui est une branche détachée d’une tige ancienne et respectable :
« Ce nouveau rite allait lancer la FM sur une nouvelle voie… qui tendrait à saper certaines valeurs qui font la dignité de l’homme, par l’athéisme, le matérialisme, le laxisme menant à l’amoralisme désagrégateur. »
À propos des Mystères égyptien, Hérodote nous dit que ce fut en Egypte que furent établies ces fêtes appelées Pan-Egyries, avec la pompe des cérémonies et les processions.
Les Grecs n’ont fait que les copier. Les grandes solennités de la Grèce, telles que les Pan-Athénées, les Thesmophories, les fêtes d’Eleusis, avaient été apportées d’Egypte.
Clément d’Alexandrie a décrit la hiérarchie sacerdotale des Egyptiens. Il y avait cinq grades suivant les degrés d’initiation aux livres du rituel : le chantre, le devin, le scribe, la Prêtresse en robe portant le sceptre et le vase sacré, le prophète ou le prédicateur président du Temple qui portait l’eau sainte et étudiait tous les livres hiératiques. Les Mystères égyptiens étaient de grandes solennités qui attiraient les multitudes.
« Dans les Mystères d’Isis, l’Hiérophante tirait du sanctuaire des espèces de grimoires chargés de caractères hiéroglyphiques dont les lignes s’entrelaçaient et formaient des nœuds et des roues. C’était la langue sacrée dont on donnait l’explication » (Apulée, Métamorphoses, 1,11).
L’enseignement secret était destiné à expliquer aux hommes les lois morales qui les lient aux Divinités et les lois qui régissent l’Univers.
Leur but, suivant Plutarque, était de fortifier la piété et de donner à l’homme des consolations. Quelles étaient ces consolations ?
L’espoir d’un avenir plus heureux, le moyen, après la mort de l’âme par le péché, de revenir à une félicité durable, en revenant au bien.
« Nous y avons reçu des leçons qui rendent la vie plus agréable », dit Cicéron.