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Géplu.
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Les Suisses qui ne sont pas plus bêtes que les autres ont des formes de gouvernances locales qui fonctionnent bien.
Les Suisses, et la Suisse, nous donnent des leçons à suivre ou à méditer.
D’un certain point de vue c’est un modèle d’union européenne à l’échelle géographique d’une région française. Quatre langues officielles, plusieurs religions, autrefois antagonistes, des influences extérieures certaines (française, allemande, italienne).
A se demander si la politique de neutralité bien connue à l’international, n’a pas aussi quelques vertus à titre interne.
« Le local, c’est là où on a droit de cité, là où on peut encore changer les choses » écrit-il. C’est à se demander s’il ne prend pas les SS et les FF pour de benêts ?
Je reste résolument jacobin.
En France, les identités régionales, locales, sans un pouvoir central fort, et démocratique, mutent en potentats créant des prérogatives que des barons défendent pour s’assurer un règne.
Le local, c’est inévitablement du clientélisme.
C’est ce qui caractérise l’un des principaux aspects des politiques d’extrême-droite.
« Faire l’éloge du local n’est pas un lamento en faveur d’une France villageoise fantasmée ; c’est d’abord montrer la vitalité, trop souvent silencieuse, du pays dans sa diversité. » nous dit l’auteur. Sauf qu’il s’agit là d’un artifice réthorique pour distinguer la même chose, le village. Et si l’on pousse au paroxysme, on va jusqu’à la maison. Et lorsque l’on en est à la maison, le propriétaire se liera avec le puissant capable de le défendre. Le village fera de même d’ailleurs.
C’est la société féodale.
Entièrement d’accord, nous reviendrons à une France de potentat.
La très grande majorité qui le souhaite n’aurait pour seul potentiel que d’être larbin.
Qu’ils ne se réjouissent pas trop vite, n’est pas Scapin qui veut 🙂