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Le travail : de la malédiction à l’épanouissement

Publié par Géplu
Dans Divers

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dimanche 22 décembre 2024
  • 8
    Remi
    27 décembre 2024 à 8h53 / Répondre

    Si l’on fait une recherche sémantique un tant soit peu fouillée du substantif Travail – du lat. médiév. trepalium « instrument de torture » – notamment au travers du « dictionnaire historique de la langue française » d’Alain Rey le « Détective du langage », on se rend compte que la souffrance du travail (vertu maçonnique par excellence), la fatigue, peine supportée, s’applique non pas au travailleur, mais à ce qui est travaillé.

  • 7
    ERGIEF
    26 décembre 2024 à 18h44 / Répondre

    L’oisiveté est mère de tous les vices.

  • 6
    Remi
    26 décembre 2024 à 17h15 / Répondre

    En ce qui me concerne le travail, le mien est un équilibre. J’aime ce que je fais et de ce fait, pour ainsi parler, je n’ai pas l’impression de travailler.

  • 5
    Arnaud Laehert
    26 décembre 2024 à 16h48 / Répondre

    Si le travail est une malédiction biblique, il est une vertu cardinale maçonnique.

  • 4
    Luciole
    26 décembre 2024 à 14h16 / Répondre

    Le travail est une malédiction (biblique) sauf s’il est choisi,aimé et élément de bonheur.

  • 3
    Joab’s
    26 décembre 2024 à 9h46 / Répondre

    La nervosité de yasfa à mon encontre est typique ! Passons sur ces commérages …
    Donc, non , même si mon pseudo rappelle le titre de cette revue, je n’y suis pour rien, d’autant plus que l’approche Godf du sujet du 1er ordre m’enchante guère.
    Je ne sais pas quel est le contenu de l’article mais le sujet est très étrange meme si gagne du terrain politique en France avec quelques relents de la devise petainiste.
    Il y a une aberration (ou volonté d’intox) a pretendre que le travail serait (directement) source de richesse alors que c’est l’inverse : c’est l’automatisation réduisant ainsi le travail qui est source de richesse.

  • 2
    Yasfaloth
    23 décembre 2024 à 17h17 / Répondre

    Je suis le seul à avoir eu un (court) moment de flottement en me demandant si « Joab’s » avait décidé d’éditer une revue ?
    🙂

  • 1
    Charles Coutel
    22 décembre 2024 à 11h32 / Répondre

    Grande joie fraternelle d’avoir participé à ce numéro de Joaben. Œuvrons !

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