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Géplu.
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Lorsqu’on tape le nom de Germain dans le moteur de recherche, on pourra voir qu’il était déjà question de lui, et des Compagnons de la Libération, dans deux articles précédents d’Hiram.be, les 19/06 et 24/11/2020.
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Et s’agissant du bouquin, que l’on aperçoit ici, « Espérer pour la France », la question de l’entrée en franc-maçonnerie y est évoquée juste sur deux pages (pp 82 et 83).
Hubert Germain rejoint la Grande Loge de France en 1975, il l’exprime en ces termes:
– « De nombreux politiques de l’époque demandaient à, être reçus et cherchaient à s’appuyer sur la maçonnerie pour favoriser leur carrière. A l’opposé de ces combines, j’étais entré en maçonnerie à la fin de ma carrière politique ».
Né en 1920, il avait donc effectivement 55 ans lorsqu’il a rejoint la GLDF.
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Dans ce livre, on trouve des anecdotes savoureuses.
A un moment de son cheminement politique, entre 1960 et 1962, Hubert Germain s’est retrouvé dans le cabinet du ministre des Armées, Pierre Messmer (qui sera Premier ministre de 1972 à 1974, pendant la Présidence Pompidou).
Hubert Germain raconte cette collaboration avec Pierre Messmer sous l’intitulé « Le tri des lentilles » (pp 72 et 73):
– « Outre la Légion, nous avions en commun d’être tous les deux Compagnons de la Libération. Quand vous êtes reçu comme Compagnon, c’est comme la foudre qui vous tombait dessus. Le Général nous a choisis pour exiger de nous un supplément d’âme qui nous engageait pour le temps de la guerre et au-delà.
Il a trié les lentilles, dont la petite que j’étais »
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Que rajouter de plus? Tout n’est-il pas dit?
Voilà un homme de bien.
Un juste.
Un Frère.
Cela console des autres.
Bienveillant mais lucide,il laisse un lumineux souvenir.
Gémissons !
Gémissons ! Gémissons !
Gémissons ! Gémissons ! Gémissons !
Mais Espérons ! Espérons, espérons en confiance, espérons en confiance et en sérénité.