« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
Je viens de me delecter de la lecture du frère de sang (en édition de poche) et il m’a semblé y détecter une autre anomalie: en effet, à la fin du chapitre 121, Marcas découvre l’identité du tueur dans les archives de l’obédience (« Alexandre Hautefort, marié, deux enfants »). Un peu plus loin (ch.41, 110 et.123) il est question d’un seul fils (mort tragiquement).
Concernant la coquille de saint Jacques sur le bâton de marche, il est exat que le pélerin ne pouvait la porter qu’au retour. Toutefois rien n’indique que ce soit son premier voyage… Certains pélerins se contentaient d’une coquille sur le bâton, d’autres en ajoutaient à chacun de leurs voyages.
J’habite un village des Landes et je vois souvent passer des pèlerins qui se rendent à Santiago. Il n’est en effet pas rare d’en voir qui portent sur leur bagage une coquille de St Jacques.
Salut et Fraternité
Phileas
Il est exact que seuls les pélerins qui avait atteint Saint Jacques avait le droit – moral – de porter la fameuse coquille, symbole du pélerinage réussi. Toutefois, cette règle a conu des exceptions justement pendant la guerre de Cent ans. Pour traverser les troubles et les combats sans trop d’entraves, les pélerins se munissaient préalablement d’une coquille ce qui leur assurait une certaine impunité… Souvent la coquille était offerte par un ancien pélerin
Incidemment, Jiri, tu n’es donc plus médecin-légiste, comme dans l’une des précédentes aventures du Commissaire Marcas 😉