« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
thriller maçonnique, hum.fantasme maçonnique, hum, une pincée de « catharisme », une pincée de « chevalerie » et une bonne louche de mystère.
Tous bons ingrédients pour un roman.
Les ingrédients sont connus et quelquefois la soupe est bonne pour certains auteurs dont certains de qualité, y compris dans le 9ème art.(je ne connais pas l’œuvre de Tournié , je m’abstiens de donner un avis)
Il y a quelques années, je suis allé en pays cathare (Montségur etc…) et on peut constater que la littérature ésotérico machin machin se présente bien dans les librairies du coin. Faut croire que ça doit se vendre mais est ce que ça s’achète?
Dans son ouvrage « sociétés secrètes » chez Grasset 2007 , Alexandre Adler consacre un chapitre à « la fin du mythe de Rennes-le- château » . Où en effet le fantasme maçonnique , avec des roses croix et autres St Sulpiciens, un aventurier Bérenger Saunière s’est taillé un fonds de commerce au 19ème siècle.