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Géplu.
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Qu’est-ce que le Christianisme ?
Est-ce la doctrine qui triompha sous Constantin ? Réponse : NON.
Ce fut un enseignement donné par quelques initiés formant un parti violemment persécuté et dont le souvenir fut effacé par la doctrine qui triompha plus tard.
Il y eut donc deux Christianismes :
Le premier (le vrai), qui est aujourd’hui inconnu, et le second (le faux), qui s’édifia sur ses ruines, avec ses matériaux utilisés, mais mutilés.
Ils ne se confondent pas, ils sont en opposition complète.
Soulignons au passage que la croix n’est devenue le signe du Christianisme qu’au VIIème siècle de notre ère, lors du Concile de Constantinople qui eut lieu de 680 à 684. Jusque-là, la religion nouvelle, c’est-à-dire le second Christianisme (le faux), celui qui triompha sous Constantin au Concile de Nicée (en 325), et qui s’édifia sur les ruines du premier (le vrai), avait pour insigne trois phallus enlacés (représentant la Trinité catholique).
Le culte du « Saint Graal », « Vase sacré » des Mystères, et le « Secret de Bismillah », semblent une réaction contre ces trois phallus.
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/lesoriginesethistoireduchristianisme.html
En complément à ma question ci-dessus, je trouve enfin un texte précisant que : « un Régime se caractérise par le fait qu’il ne sépare pas les « hauts grades » des grades des trois premiers degrés ».
Peut-être serait-il utile qu’un expert en RER explique à ceux qui le sont moins la différence existant entre le Régime et le Rite Écossais Rectifié. On colporte bien de choses approximatives sur ce sujet. Les uns disent que ce sont des termes synonymes, les autres démontrent le contraire.
Dans « Le christianisme transcendant du Rite Écossais Rectifié-Son origine et ses mystères révélés », Jean-Marc Vivenza explore la dimension spirituelle du Régime Écossais Rectifié (RER), une voie ésotérique au sein du christianisme qui va au-delà des pratiques de l’Église institutionnelle. Il souligne que bien que le RER soit clairement ancré dans le christianisme, il abrite deux formes distinctes de christianisme : l’une publique et largement acceptée par les confessions chrétiennes principales, et l’autre plus ésotérique, héritée des enseignements de Martinès de Pasqually et qualifiée par Joseph de Maistre de « christianisme transcendant ».
L’auteur remet en question la nature même du christianisme au sein du RER, explorant ses origines, sa véritable essence et les connaissances cachées qui sous-tendent ce « christianisme transcendant ».
Son ouvrage est essentiel pour quiconque s’intéresse à la franc-maçonnerie, à l’ésotérisme chrétien et aux mystères spirituels. Notamment les 8 à 10 000 pratiquants du Rite/Régime Écossais Rectifie en France et en Outre-Mer.
Jean-Marc Vivenza nous guide ainsi à travers un voyage fascinant, révélant les mystères cachés et les connaissances voilées de ce mystérieux « christianisme transcendant ».