Le chapeau du Maître

Publié par Jiri Pragman
Dans Divers

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jeudi 21 octobre 2010
Étiquettes :
  • 13
    Jean van Win
    6 janvier 2023 à 17h04 / Répondre

    Je suppose qu’il s’agit bien de la GLTSO et non plus de la GLNF OPERA ?!

    • 14
      GLNF-OPERA
      7 janvier 2023 à 8h49 / Répondre

      GLNF-OPERA a été le nom de la GLTSO jusqu’en 1982 d’où le nouvel acronyme a été officiellement approuvé afin de se distinguer de la GLNF (Bineau) et de la LNF issue de la GLNF (opera) en 1968.

  • 11
    GLNF-OPERA
    6 janvier 2023 à 15h06 / Répondre

    Les FF de la GLTSO travaillant au REAA portent tous le calot en ch.du Mil.

    • 12
      Remi
      6 janvier 2023 à 16h53 / Répondre

      Un symbole a toujours plusieurs interprétations. Le « calot » en chambre du Milieu, et quel que soit le couvre-chef, pourvue que la tête soit couverte (j’ai vu des FF avec des chapeaux de berger Corse), symbolise que le Maître ne reçois plus d’influence extérieure… A l’instar du magistrat qui se couvre la tête pour rendre un verdict…

  • 10
    Jamix
    15 février 2013 à 17h57 / Répondre

    Le rituel du troisième degré REAA de la GLDF précise qu’ « en Chambre du Milieu tous les Maitres portent leur chapeau ».

  • 9
    Yann-Ber Guimel
    11 février 2013 à 14h44 / Répondre

    Mes Soeurs (!) et Frères,
    j’ai entendu dans ma loge (REAA) que l’on utilisait le calot UNIQUEMENT pour
    la cérémonie d’élévation au grade de Maître. En dehors de cela, une tenue en Chambre du Milieu SANS élévation, point de chapeau(x) !…
    Qu’en dites-vous ?

  • 8
    Jiri Pragman
    1 novembre 2010 à 10h15 / Répondre

    Dans le Rite Opératif de Salomon (ROS), lors de l’élévation à la Maîtrise, l’Expert revêt le nouveau Maître des décors du degré (Tablier, écharpe, couvre-chef).

  • 7
    ALTEC
    22 octobre 2010 à 22h30 / Répondre

    A Ronan,
    Mon Frère reçoit mon salut en retour, je travaille au Rite Standard d’Écosse peu connu en France , difficile d’êtres plus Écossais!
    Tu as raison !! Chez Jiri nous pouvons « nous visiter »? en attendant MIEUX ?c’est BIEN.
    Merci Jiri

  • 6
    Ronan
    22 octobre 2010 à 21h38 / Répondre

    @ Altec
    « pas au REAA mais très Écossais cependant »

    J’en déduis que tu es au RER, Rite Ecossais Rectifié, pour les profanes.

    Eh bien, ce Rite, invention bien française (Willermoz), appartient à la famille des Rites français, à la famille des Moderns. C’est un paradoxe linguistique, purement apparent, qui conduit à approfondir l’histoire de l’Ordre pour être levé…

    Merci à Jiri qui permet à un frère du GODF de saluer en ce lieu, hélas ! virtuel, un F de la GLNF…

  • 5
    ALTEC
    22 octobre 2010 à 19h24 / Répondre

    A kalilooela,
    Ça ce passe comme ça pour toi ? Si c’est pour l’humour !! Raté .
    Je suis un Frère de la GLNF , pas au REAA mais très Écossais cependant; respecte ton Tablier sa poche en fait partie.Les profanes qui lisent ce blog doivent vraiment nous prendre pour de C.. ! Ce n’est pas le nom d’une 3éme colonne.

  • 4
    Ronan
    21 octobre 2010 à 22h35 / Répondre

    Un extrait d’une planche donnée en loge bleue sur le Rite Français et son histoire.

    « Pour clore ce chapitre, je conserve un regret, l’abandon du chapeau par le VM qui manifeste ainsi sa prééminence aux deux premiers grades puisque, Apprentis et Compagnons le comprendront en accédant à la maîtrise, la dimension ésotérique de ces deux grades leur interdit d’être réellement démocratiques : l’Apprenti est là pour apprendre et réfléchir en silence, le Compagnon pour réaliser opérativement les dessins, et les desseins, des Maîtres. Ce n’est qu’au troisième grade que la Loge est réunie sous le signe de la parfaite égalité, au sens ésotérique et symbolique du terme : nous sommes alors tous Vénérables Maîtres en Loge, et le « Boss », qui change d’appellation, n’est que le Primus inter pares, le premier des égaux. Cela se manifestait, au XVIIe siècle, par le fait qu’en Tenue au troisième Grade tous les Maîtres étaient couverts tandis qu’aux deux premiers grades, seul le VM l’était. »

    J’ajoute que c’est pourquoi, en Chambre du Milieu, on ne salue pas ses frères « en leurs grades et qualités » puisque, justement, tous sont alors Vénérables Maîtres. Je suis toujours sidéré d’entendre, dans les Congrès régionaux comme au Convent, des frangins chenus balancer « Mes frères, en vos grades et qualités » alors que nous asommes alors en tenue au 3e grade.

    J’ai un joli tricorne garni d’une cocarde bleue pour les visites que je rends à la GLDF et à la GLFF… Les frères et soeurs envient généralement mon couvre-chef lorsqu’ils le comparent à leur petite calotte riquiqui !:=))

  • 3
    Jiri Pragman
    21 octobre 2010 à 17h12 / Répondre

    Un lecteur germanophone du Blog Maçonnique signale qu’en Allemagne existe bien une tradition de porter le chapeau en Loge. Ce chapeau est porté par tous les Frères présents. Il s’agit d’un chapeau de type « Hoher Hut » (c’est-à-dire haut-de-forme) comme on peut le voir sur cette photo illustrant un article de Wikipédia consacré à l’habillement maçonnique ou Freimaurerische Kleidung
    . Il indique également que dans les pays scandinaves (sauf à la Grande Loge de Finlande), seuls les officiers portent le chapeau de style « Hoher Hut ».

  • 2
    Pierre-Jean
    21 octobre 2010 à 17h06 / Répondre

    A la GLDF (REAA) les maîtres sont couverts lors les travaux en chambre du milieu et lors les travaux de Grande Loge (installation, etc). J’ai pu constater une grande variété, du style kipa au style calot.

  • 1
    kalilooela
    21 octobre 2010 à 10h10 / Répondre

    Au REAA quand on ouvre au maître, les frères portent à calot, il y a même une poche dans le tablier du maître destinée à ranger le dit calot quand on ouvre à l’apprenti ou au compagnon (on peut y mettre également un sandwish, un journal, des anti-sèches, un décapsuleur, enfin tout ça quoi) – enfin, c’est comme ça que ça se passe à la glnf…

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