La vraie Maçonnerie d’adoption

Publié par Géplu
Dans Edition

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vendredi 11 décembre 2020
  • 3
    Pierre Mollier
    11 décembre 2020 à 11h36 / Répondre

    Cher Yonnel,
    On a bien sûr consulté Quérard et toutes les bibliographies de France et de Navarre (qui – c’est classique – se recopient les unes les autres). La piste Guillemain de Gaminville aboutit vite à une impasse, mais un indice inattendu nous a conduit à une hypothèse surprenante…

  • 2
    yonnel ghernaouti, YG
    11 décembre 2020 à 10h16 / Répondre

    Merci mon TCF Pierre de cette précision quant à la piste donnée pour découvrir qui se masque derrière cette identité.
    Il est vrai que le fichier Bossu ne nous renseigne guère…
    Il ne nous reste plus qu’à lire ce reprint de l’ouvrage « La Vraie maçonnerie d’adoption ; précédée de quelques réflexions sur les loges irrégulières et sur la Société civile, avec des notes critiques et philosophiques. – et suivie de cantiques maçonniques » (172 p., + 1 page d’errata – Édition : À Londres : Aux dépends de l’Auteur, 1779).
    Une tentative de réponse : Louis Guillemain de Saint-Victor est-il le sieur Guillemin de Gaminville ? Est-ce le vrai nom sachant qu’il se dit que Gaminville est un possible anagramme de Guillemin.
    Nous avons toujours la possibilité de consulter Joseph-Marie Quérard dans « La France littéraire ou dictionnaire bibliographique… », Tome 3 (Paris, Chez Firmin Didot Frères, Libraires, rue Jacob, n° 34, 1829), si tel est notre désir.

  • 1
    Pierre Mollier
    11 décembre 2020 à 8h13 / Répondre

    Et dans la préface, je propose une piste pour identifier qui se cachait derrière le pseudonyme de Louis Guillemain de Saint-Victor. Rappelons que son « Recueil précieux de la Maçonnerie Adonhiramite », s’il est un peu négligé des historiens en raison de sa date tardive (1786), reste sans doute la divulgation la plus diffusée au XVIIIe siècle.

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