La refonte du GPDG

Publié par Jiri Pragman

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mercredi 1 mai 2013
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  • 11
    Pierre-Philippe Baudel
    20 mai 2018 à 20h35 / Répondre

    Curieux cet effacement du nom du PGM qui a précédé Bruno Ab Ardenti !!?

  • 10
    Salomon
    1 août 2016 à 17h15 / Répondre

    Je me permets une « piste » pour expliquer le nom Abardenti: en langue sarde, abbardente ou abardente ou abardenti est l’eau-de-vie

  • 9
    Béthanie
    2 mai 2013 à 17h52 / Répondre

    Cher Menas,
    Votre question ne manque ni d’intérêt ni de sel, puisque je ne vous crois pas capable de naïveté.
    Si j’en juge par ce qui est écrit en première page du site du GPDG, le GM actuel, dont vous parlez, est nommé Bruno Abardenti. J’en déduit que Bruno est le prénom. Vous en déduisez que Abardenti est en fait la contraction de Ab Ardenti ce qui serait en relation avec son nom de Chevalier. Or, Ardenti (ardent) est un adjectif qualificatif. Pour qualifier quelque chose, il faut bien qu’il y ait quelque chose. Cette chose manque apparement sur le Site du GPDG. J’en déduit que c’est volontaire, sinon cela n’aurait aucun sens.
    Imaginons que vous ne vouliez pas apparaître sous votre nom patronymique et préfériez -comme c’est l’usage ici ou ailleurs- l’emploi d’un pseudonyme. Supposez que vous soyez GM d’une structure ou d’une autre, il convient que ce pseudonyme ait malgré tout une certaine dimension. Vous pourriez ainsi apparaître sous votre prénom réel (latin et commun entre tous) auquel vous ajouteriez tout ou partie de votre nom de Chevalier.
    Mais qui donc peut bien s’appeler Bruno Eques ab Ardenti-quelque-chose ? Bonne question ne trouvez-vous pas ? Mais je pense que vous n’avez nul besoin de moi pour traverser la rue.
    Par contre, je vous trouve bien sévère lorsque vous dites que l’intéressé est amateur de Péplum de serie Z. Mais il est vrai, depuis quelques années, qu’il à tendance à écrire les scenarii de pièces à jouer dans des domaines qui ne sont pas cinématographiques, quoique le spectacle (Tartuffe ou Sganarelle ?) n’en soit pas absent.
    Chacun ses gouts. Ce ne sont pas les miens et j’ai compris que ce ne sont pas les vôtres non plus. Comme je vous comprends !
    Amitiés sincères.
    Béthanie

  • 8
    Menas
    2 mai 2013 à 16h55 / Répondre

    Je ne comprends pas pourquoi sur le site du GPDG le Grand Maître est dénommé abardenti en un seul mot. le GPdg devrait revoir son latin et écrire AB ARDENTI, en deux mots. Soit c’est une faute d’orthographe qui est répétée depuis sa première élection, soir c’est pour une raison spirituelle. Enfin si ab Ardenti croit encore en la doctrine willermozienne, ce qui semble être au vu de cette « faute » d’orthographe.
    En effet dans la doctrine willermozienne héritée des mânes pasqualliennes, le 2 est signe de division de l’unité, de dispersion et il est avec le 5 les deux chiffres diaboliques !
    Peut être alors qu’Ab Ardenti veuille ainsi se protéger du diable. Il oublie qu’un guide est toujours accorder à celui qui cherche. Puisqu’il n’y a pas d’initiation « parfaite » en maçonnerie, en chevalerie et en martinisme, comment a-t-il alors pu prêter, dans ces différentes « sociétés », les serments afférents ? Y-a-t-il prêter alors une quelconque valeur ?
    Le GPdG est en perte de valeur spirituelle, maçonnique et doctrinale, quant au rectifié, il est devenu une coquille vide. On comprend pourquoi alors son Grand Maître précédent et son dernier porte Parole ont préféré la fidélité willermozienne aux couleurs des peplum de série Z.

  • 7
    Béthanie
    2 mai 2013 à 16h02 / Répondre

    Cher Menas,
    Vousdriez-vous sous-entendre qu’Ab Ardenti fait du cinéma ?
    Qu’est-ce à dire ?
    Vous me laissez perplexe !
    Béthanie

  • 6
    Menas
    2 mai 2013 à 15h44 / Répondre

    Pourtant en parlant de peplum, ab ardenti, devrait mieux s’y connaître. mais à force de confondre peplum et liturgie… on finit par y perdre son latin ou son roumain.
    Lorsque l’on voit ce qu’est devenu le GPdG il y a de quoi s’effrayer : perte de la mission willermozienne, perte de l’aspect maçonnique du rectifié, perte des valeurs équestre de l’Ordre Intérieur…..
    Heureusement il reste quelque chose du projet de Savoire. Il reste.. il reste… enfin il doit bien rester quelque chose du GPdG ?

  • 5
    Béthanie
    2 mai 2013 à 15h25 / Répondre

    (…)
    Je comprends –ô combien- votre désarroi et votre lassitude. Sans doute, désormais, appréhendez-vous mieux pourquoi certains d’entre nous, issus du GPDG, ont décidé de quitter cet (ex) Ordre Rectifié devenu Obédience multi-rites et poser les éléments d’une véritable refondation de l’Ordre Rectifié selon les critères de 1778 souhaités par Jean-Baptiste Willermoz et, ainsi, fonder (je devrai dire restaurer) le Directoire National Rectifié de France. Plus d’une cinquantaine de frères du GPDG ont suivi avec enthousiasme cet « appel du 15 décembre 2012 », accompagnés par autant de frères issus du GPIF et d’autres venant de diverses structures Rectifiées. Nos motivations se rejoignant étroitement.
    Nous savions, après le départ du précédent Grand Maître, départ auquel l’actuel GM réélu (faute d’autre candidature ?) n’est pas étranger, pour de sombres motivations qui trouvent aujourd’hui leur « couronnement », que le GPDG s’orientait vers des conceptions spécieuses et partisanes correspondants à des « vues » pour le moins personnelles et fort éloignées de celles de nos Pères fondateurs. Conceptions qui trouvent leur origine certes pas dans l’initiation Rectifiée, ni même « franc-maçonnique » au sens général du terme, mais bien dans des opinions religieuses voire sacerdotales le plus souvent en rupture de ban avec l’ensemble des Confessions Chrétiennes, en particulier avec celles dont ces vues se prétendent les représentantes autorisées. Ce qui permettait de draper, afin de les dissimuler, des velléités bien plus séculières : l’ivresse (illusoire) du « pouvoir » où le ridicule permet se présenter presque comme roi, prêtre et prophète ! Vous m’aurez compris.
    Le GPDG, du moins dans son essence Rectifiée, se meurt. Nous ne voulions pas mourir avec lui ! Notre fidélité à Jean-Baptiste Willermoz nous commandait de réagir et d’agir. Nous avons essayé « en interne » ; sans effet ! Alors nous avons décidé de retrouver nos racines, nos sources ; rien qu’elles.
    Chers frères, vous êtes à la croisée de chemins. Nous vous espérons dans la liberté la plus absolue. Nous vous attendons avec la meilleure fraternité qui se puisse : celle de la voie cardiaque !
    Bien à vous en Celui qui nous réunit.
    Béthanie

  • 4
    Notuma
    2 mai 2013 à 9h10 / Répondre

    Sentiment partagé, à l’écoute de ce qui s’est dit samedi dernier. Après le départ du porte-parole et du précédent Grand-maître, le GPDG dérive. En une mise en scène digne d’un très mauvais péplum, et qui ne méritera qu’un zéro pointé au prochain festival, la maison historique du RER s’est mutée en Eglise autocéphale. Elle n’a plus rien de maçonnique, et encore moins de « rectifiée ». La messe est dite, et c’est un requiem.

  • 3
    Verasoi
    1 mai 2013 à 22h31 / Répondre

    Je partage tout à fait le commentaire de Thomas. Nous ne devions pas être très loin… Je comprends Thomas, et son cas de conscience qui est aussi le mien. A l’écoute de ces discours, pour le moins, déplacés et en décalage total avec le RER, on se pose la question de savoir où va le GPDG !
    Je suis, nous sommes, tristes de voir une telle déviation et un tel mépris du RER au profit d’un aveuglement qui est de plus en plus sectaire.

  • 2
    Thomas
    1 mai 2013 à 21h16 / Répondre

    Une mascarade ! Voilà ce que c’est. Nous étions quelques officiers de la loge présents samedi à Paris et, en entendant les discours, nous nous sommes regardés consternés.
    Sans doute nous sommes-nous éloignés avec le temps de la vision originelle du Régime mais, depuis quelques années, nous faisions localement au mieux pour retrouver le chemin tracé par Willermoz mais ce n’est là plus possible : on ne nous en donne plus les moyens et la lassitude nous gagne, moi le premier. Le pauvre Savoire doit se retourner dans sa tombe… Et en attendant, il va falloir qu’on présente notre nouvelle « direction » et ses orientations à la loge ce week-end et on se retrouve devant un cas de conscience. Merci.
    Heureusement que le Phénix est éternel…

  • 1
    d''Hauterive
    1 mai 2013 à 19h23 / Répondre

    Les enjeux dramatiques de cette élection sont analysés avec justesse sur ce lien :
    http://semperrectificando.wordpress.com/2013/04/30/regime-ecossais-rectifie-et-christianisme-de-lordre/

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