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Merci pour la mauvaise foi !! (perfidie en latin!);
Un dernier commentaire ! Les différences entre les rituels anglais sont tellement subtiles qu’un Français normal (ne connaissant que quelques mots d’anglais basiques) n’y verra que du feu et, pour lui, tout sera « Emulation » (à la mode GLNF). L’Anglais ou l’Américain moyen sera dans la même situation. Pour lui, un rituel de rite Français ou « Ecossais », ce sera la même chose et il ne fera aucune différence (peut-être remarquera-t-il la couleur des tabliers !)
28- Désap
As tu déjà assisté à une tenue de la GLUA ?
20-Pierre Noël
Mon TCF on peut toujours s’amuser à jouer sur ou avec les mots, toujours est-il que rite Émulation est celui qui est OFFICIELLEMENT pratiqué par la Grande Loge Unie d’Angleterre.
En ce qui concerne les autres rites dont tu parles j’avoue humblement ne pas les connaître. Mais en paraphrasant la célèbre formule de Staline, je te répondrais « Stability ou Taylor, combien de divisions ? »
Il n’est pas question de jouer sur les mots! Aucun rituel n’a été approuvé en Grande Loge depuis l’Union de 1813. Il y a de très nombreux workings en Angleterre et « no one of them has the right to claim that its mode of working had the approval of GL » (CARTWRIGHT 1947).
Quand la loge St-Georges introduisit sa façon de travailler à Paris en 1914, les Français apprivoisèrent cette façon nouvelle (pour eux) de travailler et introduisirent les mots Rite pour désigner le rituel de la loge Emulation, vieille loge de Londres, à laquelle est attachée une loge d’instruction.
Cela a déjà souvent été rappelé sur hiram.be.
Le Rite Émulation est celui qui est OFFICIELLEMENT pratiqué par la GLUA ? Vrai ou faux ?
Je dois répondre que c »est faux. La GLUA n’a jamais approuvé (en tenue de Gl) un rituel quelconque (accessoirement, elle n’en pratique aucun, ne conférant aucun degré).
E.H. Cartwright, déjà cité, a basé ses Commentary on the freemasonic ritual sur une quinzaine de rituels actuellement pratiqués. Ils diffèrent tous d’Emulation, d’autant plus qu’ils sont pratiqués à distance de Londres.
Les plus différents sont ceux de Bristol, d’Oxford et de York.
Chaque loge est très pointilleuse sur « son » rituel. Je me souviens des explications enthousiastes d’un Frère m’expliquant les subtilités du « Dorset fire »
C’esr encore plus vrai en Ecosse. Seul l’Irlande q quelque chose qui ressemble à un rituel officiel (il n’y a qu’une GL pour toute l’île).
Que puis je dire d’autre que : « il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre » ou « il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ». La mauvaise foi ne fait pas Vérité, surtout pour un Franc-Maçon.
25 – Pierre Noël a raison.
7- Lazare-Lag
J’ai été également très surpris par la violence et la suffisance de la réponse qui t’a été faites et que l’on peut qualifier de « non fraternelle ». Que veux tu tailler sa pierre brute est un travail compliqué pour chacun d’entre nous mais chez certains F. les aspérités de la fatuité sont encore plus difficiles à faire sauter.
Concernant le sujet des planches, sache que le Rite Émulation (rite de la GLUA) n’a jamais interdit les planches, estimant simplement que le coeur de la maçonnerie est dans le rituel. Il existe bien sûr les Lectures Émulation mais ce ne sont pas des « planches » à proprement parlé . Si toutefois un VM en chaire décide, pour X raisons, de faire, ou de demander à un F. de faire, une « planche » il lui suffit de faire une suspension des travaux. Attention car le sujet devra être uniquement maçonnique.
18 JMB – Tout comme au RF, la maçonnerie est dans le rituel et nulle part ailleurs.
C’est très nouveau qu’il y ait des planches à chaque tenue, c’est même barbant, ça vire de plus en plus au « moi je » ou bien ça psychote, rares sont les morceaux d’Architecture.
L’usage au RF, c’est le rituel en tenue, un sujet défini par le VM ou l’OR et discuté aux travaux de table (l’Agape), un morceau d’A de l’OR par trimestre en tenue de même travaillé à table.
Les planches à chaque tenue, c’est le REAA.
19- Désap
Pour avoir également pratiqué le RF je suis d’accord avec toi. La différence.,importante quand même, est la notion de « par coeur » au rite Émulation.
26 JMB – Pas question de lire le rituel au RF non plus, il doit être su.
27- Désap
Par le rituel du RF ? Première nouvelle. La pratique du RF serait elle différente selon les obédiences ? Je vais me renseigner.
Vous allez encore gloser mon « arrogance » et ma « fatuité », mais je ne peux m’empêcher de rappeler que la GLUA n’a pas de « rite » ni même de rituel officiel. Elle n’a d’ailleurs jamais approuvé un rituel.
Le rituel de la loge EMULATION est le plus utilisé dans la région londonienne, STABILITY en est un autre. Je ne suis pas sûr que le TAYLOR ne soit pas le plus populaire. Chaque région a le sien
les différences nous paraissent infimes, mais elles ne le sont pas aux oreilles d’un insulaire. Comme la susceptibilité d’un Occitan versus l’équanimité d’un Wallon.
12-Désap
Voyant ta grande inquiétude mon cher Désap je tiens à te rassurer : les F. de la GLNF sont bien reçu dans les loges britanniques. Personnellement j’y suis allé plusieurs fois soit à titre individuel soit avec ma Loge.
Par contre il est vrai que nous n’avons jamais parlé de cher duc d’Edimbourg ni durant les tenues évidemment ni durant les agapes. Nous avions d’autres sujets bien plus intéressants que ces futilités de magazines « people ».
j’avais autrefois envoyé ce commentaire (qui ne fut pas discuté)
je le renvoie et souligne ! Il y a des loges de la GLUA où le visiteur quelconque ne sera jamais admis sans invitation personnelle.
29 SEPTEMBRE 2018 À 15:10 /
Je remets mon gain de sel dans ce débat qui risque l’enlisement et la question légitime : en quoi cette dispute d’historiens amateurs nous intéresse-t-elle, en 2018 ?
En réalité, la rupture anciens/modernes existe toujours dans la maçonnerie anglaise, mais sous un autre aspect. A Londres et Oxford surtout (mais aussi dans les autres vieilles villes de provinces), il y a les loges privilégiées et les autres (les « greengrocers’lodges », comme je l’ai entendu). On entre dans les premières que si on sort de la bonne école, du bon régiment, du bon gentlemen’s club, du bon cercle professionnel … (ces deux catégories se fréquentent peu ou pas du tout, sinon aux « grandes » occasions, puisqu’on ne peut visiter une loge que si on y est invité par un membre qui prend en charge le repas de son hôte). Le maçon de base ne peut visiter, pour citer un exemple, la « Lodge of Installed Masters of the city of London » que sur invitation personnelle (c’est pourtant une loge normale, se réunissant aux trois premiers degrés). Comme par hasard, les cercles dirigeants de la GLUA, les Grands Officiers qui comptent, viennent en majorité de ces loges élitistes (presque tous sortent d’Oxford). Elles sont nombreuses, certes mais minoritaires. Et là se retrouve la même fracture qu’entre les Antients (populaires, Irlandais, immigrés ….) et les Moderns (gentry, Whigs, parlementariens, High Church).
Et c’est là que la vieille opposition redevient actuelle. C’est comme dans « Le Guépard » de Lampedusa : tout change pour que tout reste la même chose. Je ne crois pas qu’on puisse dire la même chose de notre maçonnerie continentale.
(21 novembre 2000). Traduction : … Le prince Philipe fut initié à la Naval Lodge No. 2612 qui se réunit Great Queen Street, passé compagnon et reçu maître-maçon dans la même loge, mais par la suite il n’assista plus jamais à une tenue.
(11 avril 2021) … Il maintint toujours son appartenance, sans cependant être actif
Textes d’origine en anglais:
Subject: Re: Prince Philip. Date: Tue, 21 Nov 2000 20:10:18 +0000 From: XXXXX. To: MEMBERS-IL@LISTSERV.INTERNET.LODGE.ORG.UK. Prince Philip was initiated into the Navy Lodge No 2612 which meets at Gt Queen St, he was passed and raised in the same Lodge but never attended any further meetings.
He had always maintained his membership, though not active.
J’ajoute qu’une polémique récente (concernant un petit-fils de la reine) a montré que la participation de ces « Royals » à ces multiples activités protocolaires/associations fait partie de leur boulot et justifie leur traitement, par ailleurs assuré par le contribuable. Elles font partie des « contraintes » (hardships) dont parle la convocation de 1952.
Juger de cela avec nos yeux de continentaux ne peut qu’être source de confusion.
Qui a parlé de la « planche » éventuelle de l’apprenti duc (ou plutôt de l’inverse) avec la connotation culturelle française ? Concentrer tout
l’intérêt d’une tenue sur « la planche » est un tic franco-belge (qui laisse à penser que le reste est de peu d’intérêt !), ne parler que d’elle (ce qu’a fait ll) est caractéristique d’une conception « géo-centrée » (fausse de surcroît, les « lectures » sont relativement fréquentes en UK et largement diffusées).
ll me rétorquera peut-être que cela ne compte pas puisqu’elles traitent seulement de sujets maçonniques et de rien d’intime, initiatique, psychologique, métaphysique ou autre.
On a souvent parlé sur Hiram de la différence abyssale qui sépare les fm britannique et française. Je ne les ai jamais niées. J’ai toujours essayé de les exposer, de les relativiser, de les expliquer dans la mesure de mes moyens et avec l’impartialité dont je suis capable.
8 – c’est à dire aucune.
Sans porter de jugement de valeur , les différences entre les usages maçonniques portée par cette Loge anglaise et ceux que j’ai pu voir en France sont abyssales . En particulier, les titres , distinctions diverses du profane, des proposants et du président sont soigneusement rappelés . Peut-être pour mieux se dépouiller de ses métaux une fois passée la porte du Temple ?
A chacun son chemin initiatique , dans l’intimité et la sincérité vis-à-vis de sa conscience .
Anecdote ! L’ordre du Bain était un ordre médiéval disparu.
Il fut « réveillé » en 1725 pour diverses raisons., surtout politiques. Un des premiers membres fut le duc de Montagu, GM de la GL de L&W en 1721 (le livre d’Anderson lui est dédié)
l’article 160 du lIvre des Constitutions de la GLUA décrit la procédure d’urgence applicable lorsque les délais prévus dans l’article 159 ne peuvent être respectées (présentation et vote lors de deux tenues successives, initiation s’il y a lieu lors d’une troisième) en raison de contraintes (hardships) propres au candidat. Dans de tels cas, une proposition écrite de deux membres de la loge, expliquant les contraintes, du candidat peut enclencher une procédure d’urgence où toutes les étapes ‘réglementaires sont franchies le même jour (proposition, vote, initiation)
Merci de ces précisions Pierre. ?
Il est remarquable que aucun des intervenants (tous au plus indignés les uns que les autres) ne semble savoir ce qui se sait dans toutes les loges britanniques, que le duc d’Edimbourg n’a jamais montré d’intérêt pour la franc-maçonnerie ni ne s’y est jamais investi.
J’ajoute que c’est (c’était!) son droit le plus strict.
@ Pierre Noël 11 – Qui est reçu dans les loges britanniques ?
C’est à se demander si même les FF de la GLNF le sont.
Donc non, personne ne sait que le duc d’Edimbourg ne s’intéressait pas à la franc-maçonnerie.
Cela paraît tellement décalé et si caricatural d’une initiation de circonstance que nous, Français, avons du mal à l’imaginer.
Je rappelle qu’un certain Valéry Giscard d’Estaing avait conditionné son entrée à l’accès immédiat au grade de Maître. Refusé !
La GLUA, autorité de la régularité maçonnique ou comment pratiquer la géométrie variable.
C’est fou ce que les prétentieux peuvent se prendre les pieds dans le tapis
11- Pierre Noël
J’avoue humblement, malgré mes nombreuses visites de loges britanniques, n’avoir jamais abordé avec mes F. britanniques le sujet du duc d’Edimbourg. Nous avons l’habitude de parler de sujets certes moins « people » mais beaucoup plus intéressants et surtout plus maçonniques.
# 1 Comment est-ce possible d’avoir une telle réaction, quasi nationaliste, en tout cas enfermée dans ses frontières ? (l’allusion à la « planche »!).
On a expliqué dans la presse britannique (pas toujours favorable à la « firme », sobriquet que le duc avait donné à la famille royale) que le mari de la reine faisait partie de plus de 800 associations (c’était son boulot, sans plus). La fm était l’une d’elle.
Le fait qu’il n’ait eu aucun des titres honorifiques dont elle regorge signe son peu d’intérêt pour l’institution.
@ Pierre Noël (et non pas @ 2, ni @ PN, car par courtoisie à leur égard, personnellement je préfère appeler les gens, surtout les FF :., par leur nom), tu me dis, je cite :
« Comment est-ce possible d’avoir une telle réaction, quasi nationaliste, en tout cas enfermée dans ses frontières ? (l’allusion à la « planche »!).
Très franchement, je pourrais te retourner la question :
– Comment est-ce possible d’avoir une réaction aussi outragée, aussi effarouchée, aussi frileuse, devant mes quelques propos ? Voire aussi arrogante.
Car, à te lire, entre les lignes, cela sous-entend, en tout cas c’est l’impression que ça donne, qu’il est totalement impensable, inenvisageable, inconcevable qu’un franc-maçon ayant une autre culture, ici autre culture maçonnique, que la tienne ne sache pas, ou ait oublié qu’il n’y a pas de planche à la G.L.U.A.
Alors oui, surtout en déposant un message à 03h02, en pleine insomnie, c’est un aspect, je n’ose écrire un détail, je ne souhaite pas encore choquer, que je n’avais plus à l’esprit à l’heure de cette intervention nocturne.
On fait allusion à la possibilité d’une planche et hop, aussitôt, sans discernement, sans recul, sans réflexion, on se fait taxer de nationaliste et de s’enfermer dans ses frontières.
Tout ça sur un simple petit mot.
Mais MTCF Pierre, plutôt qu’une telle réaction obtuse, rigide et condescendante, tu aurais du plutôt positiver et te réjouir.
Car à part ce faux-pas ou cette maladresse, bien vénielle au final, qu’ai-je fait sinon exposer une saine curiosité sur le cursus maçonnique de feu le Duc d’Édimbourg ?
Même ça, on n’a pas le droit ?
Chaque fois qu’un frère fait preuve d’ouverture d’esprit, de curiosité, tu ne t’en réjouis pas ? S’il n’est pas dans ton cadre et dans ton univers, tu le rembarres avec arrogance ?
On ne pense pas maçonniquement tout à fait comme toi, alors on n’est plus dans les clous maçonniques ?
Ne bénéficie de ta haute considération que le frère qui aurait atteint ton propre degré d’érudition maçonnique, et surtout qui aurait strictement la même, avec le même cursus et pas d’autres ?
Si ça ce n’est pas être enfermé dans ses frontières intellectuelles…
–
Pourtant, lorsque tu le veux, tu peux être pédagogique.
A cet égard, et le plus sincèrement du monde, je suis de ceux qui se joignent à Géplu pour te remercier des précisions apportées dans tes autres messages (3, 5, et ).
–
Mais par pitié, si je diffère de toi, loin de te léser, et fût-ce d’une maigre obole de quelques misérables questions, cette curiosité ne t’enrichit-elle pas, fût-ce du quart de la moitié d’un soupçon de pourboire ?
A contrario, si tu diffères de moi, loin de me léser tu m’enrichis.
Mais c’est dans tes réponses pédagogiques que tu m’enrichis le plus et que tu nous enrichis tous sur ces colonnes bien particulières où Géplu nous invite à nous exprimer.
Mais si tu estimes que se draper dans sa dignité lorsque qu’un terme ou une tournure ne te conviennent pas c’est aussi faire montre fraternellement de transmission de connaissance, alors continue…, que veux-tu que je te dise.
Quant au fait que le duc Philip fasse partie de 800 associations, désolé.
Mais Point de Vue et Gala, ni la presse britannique d’ailleurs, n’étant pas dans mes lectures journalistiques régulières, et la vie des couronnes royales, la britannique en particulier, n’étant pas au sommaire de mes préoccupations, je ne pouvais pas par science infuse conclure de « son peu d’intérêt pour l’institution ».
D’où mes questions.
Mais vu l’accueil reçu, (j’aurais même pu parler de douche écossaise évoquant Édimbourg, mais ce n’est peut-être pas le moment de tenter un peu d ‘humour) je vais certainement réfléchir à deux fois sur l’opportunité d’en poser d’autres.
7; cher Lazare-lag, je ne veux pas que tu ignores que je comprends ton étonnement et ta tristesse en rapport avec le commentaire 2 et que je crois ne pas être le seul…
Dans un article voisin, il est débattu de la notion d’éternel apprenti jusqu’à la juger comme creuse, voire crétine.
Dans le même ordre d’idée, on ne saurait se contenter de savoir que le Prince Philip a été initié en quelque jour de 1952 ou 1953.
L’initiation, comme l’accès au grade d’apprenti, qui lui est immédiatement consécutif, ne peuvent suffire à eux seuls d’appréhender le vécu maçonnique de quiconque.
L’initiation, le grade d’apprenti, le fait d’être devenu franc-maçon ne sont pas un aboutissement, ils ne représentent que le début d’un cheminement.
Ce qui serait donc maintenant intéressant de savoir c’est quel maçon a pu être le Prince Philip.
A minima savoir jusqu’à quel grade il a déroulé, mais également savoir s’il a exercé quelques responsabilités notables au sein de sa loge, voire au sein des ateliers auxquels il a pu avoir accès.
Savoir, par exemple, s’il a exercé des fonctions d’officier, s’il a été vénérable de sa loge, et même savoir s’il a présenté des planches, voilà qui serait intéressant.
Et le scoop magistral ça serait de pouvoir en lire une!