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Géplu.
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Tout ayant été dit sur le sujet, on va en rester là pour les commentaires… 🙂
L’histoire se fait avec des documents. Les documents sont les traces qu’ont laissées les pensées et les actes des hommes d’autrefois. Parmi les pensées et les actes des hommes, il en est très peu qui laissent des traces visibles, et ces traces, lorsqu’il s’en produit, sont rarement durables : il suffit d’un accident pour les effacer. Or, toute pensée et tout acte qui n’a pas laissé de traces, directes ou indirectes, ou dont les traces visibles ont disparu, est perdu pour l’histoire : c’est comme s’il n’avait jamais existé. Faute de documents, l’histoire d’immenses périodes du passé de l’humanité est à jamais inconnaissable. Car rien ne supplée aux documents : pas de documents, pas d’histoire.
Jean Tulard, le plus grand historien de l’époque napoléonienne, a écrit ceci :
–
« Écrire l’Histoire, c’est raisonner sur des documents ».
Arrêtons cela ; car cela devient profondément ridicule et grotesque.
Voire maladif.
Cela dépend pour qui…
Vous n’êtes ni WM ni orateur d’Hiram.be pour interrompre un débat que vous avez vous-même relancé (post 37). Vous n’êtes qu’un intervenant comme les autres. Ni plus, ni moins.
« Charles de Lorraine était plus que probablement maçon ».(sic) !
Voilà qui est d’un véritable historien. Sans le moindre document.
Je l’abandonne à ses divagations, car il n’est rien de plus acharné qu’un croyant obsessionnel qui est prêt à mourir pour son dieu.
En lui répondant, nous le faisons exister.
Le débat était clos au post 34. Je me suis donc abstenu.
Un post 35 apparaît, ce qui me donne le droit de répondre à ce post qui vient d’être publié.
1. Le Frère Van Win n’a pas une formation d’historien, contrairement à ce qu’il dit dans une des deux interviews accordées à Jacques Lemaire. C’est également mon cas.
Il ne vous est jamais venu à l’esprit qu’un être humain, qui plus est un franc-maçon formé au libre-examen, puisse changer d’avis à la lecture d’une seconde étude (livre de JVW = 2012, le mien = 2022, ce qui fait 10 ans d’écart) ?
Contrairement à ce qu’il avance : Charles de Lorraine était plus que probablement Maçon comme je l’ai montré. Mais cela n’a pas d’importance puisque c’est le véritable chef du gouvernement, le prestigieux prince de Starhemberg (Stricte Obsevance), qui en fut le concepteur (de 1774 à 1783).
A 8’55 », Jacques Lemaire fait la leçon à son invité sur Charles de Lorraine.
https://www.youtube.com/watch?v=NoSNDGdgjxs
Il n’est pas historien contrairement à ce qu’il prétend dans cette interview.
A 4’20″ », Erreur magistrale : Athéna se trouve bien au fronton du Palais de Justice de Bruxelles et non Thémis.
https://www.youtube.com/watch?v=XHPJRSHnUBs
Jules « Craton » (sic) est une nouvelle moquerie de votre part.
Il faudrait plutôt parler de garants, et non de cautions, du bon niveau intellectuel et sourcé de mon étude.
Note : j’ai pris un pseudonyme parce que je travaille dans un secteur où les francs-maçons sont détestés. Vous auriez dû le comprendre en ces temps troublés !
Joël Goffin
Prolonger le débat ? Pourquoi pas ? Il y a des amateurs… Mais si possible sans invectives, insultes et moqueries, toutes gratuites et parfaitement non maçonniques.
Je n’ai aucune vocation à la moquerie, et je ne m’y suis adonné à aucun moment dans mes commentaires vous concernant, vous extrapolez inconsidérément.
Lorsque j’écris « Jules Craton, alias Joël Goffin », je ne fais que vous situer, rien de plus.
Croyez bien que je n’ai rien contre vous, et je ne suis en rien le défenseur de quiconque, mais vous avez des propos à contresens.
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Je résume.
1/ Jean Van Win n’a pas prétendu qu’il avait « une formation d’historien ».
Il a dit qu’il était un historien, c’est différent.
Et c’est bien ce qu’il est.
Un historien est, en effet, une personne qui étudie ou publie sur l’histoire en produisant un discours ou un écrit respectant une méthode scientifique.
Il entre donc bien, me semble-t-il, dans cette définition.
2/ Vous indiquez que « Charles de Lorraine était plus que probablement Maçon ».
Ca ne veut rien dire.
Ou vous prouvez que Charles de Lorraine est effectivement Franc-maçon sur bases d’éléments scientifiques tangibles, ou vous vous abstenez.
3/ Pourquoi nous faire aller à 8’55 sur cette vidéo.
Il faut prendre l’intégralité du visionnement qui montre, sans ambiguïté, que Jacques Lemaire partage les propos de son interlocuteur.
Qu’est-ce qui vous fait dire qu’il en a changé d’avis ?
Sur ses déclarations propres ?
4/ Vous nous avez seriné tout au long de vos commentaires que votre étude avait été « cautionnée ».
A présent, vous nous dites que vous avez des « garants », cad des répondants, en un mot des cautions.
C’est le serpent qui se mord la queue.
5/ Vous passez sous silence les « Archives du Patrimoine Architecturale de la Région de Bruxelles Capitale » que j’ai fait parvenir.
C’est dommage.
Ces Archives sont pourtant capitales (sans jeu de mot !).
Elles montrent, dans le menu, l’historique du tracé du Parc de Bruxelles, et les raisons de ce tracé.
Cet Inventaire circonstancié, élaboré par des historiens de l’Art, ne reprend à aucun moment votre théorie.
Je remets le lien ici.
https://monument.heritage.brussels/fr/streets/10001122
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Encore une fois, je vous prie de n’y voir aucune polémique.
1. Qui peut se dire historien ? « Afin de devenir historien, vous devrez obtenir le doctorat et serez alors docteur en histoire. Néanmoins, si vous souhaitez enseigner dans le supérieur et exercer en tant que professeur des universités, vous devrez passer le concours de l’agrégation et obtenir une Habilitation à Diriger des Recherches ou HDR. »
Nous sommes de simples chercheurs. Rien de plus. Néanmoins, mon étude est sourcée.
2 et 3.
Jacques Lemaire dit à JVW que ce n’est parce qu’il n’y a pas de document qu’un fait n’existe pas.
Sur Charles de Lorraine :
https://bruges-la-morte.net/wp-content/uploads/Quartier-royal-une-for%c3%aat-de-symboles-global.pdf
cf. p. 19-22 et p. 89-91.
A lire son post 37, JWW n’a pas lu l’intégralité de mon étude.
Chacun sait que les archives des loges sont incomplètes. J’apporte de nouveaux éléments inédits sur le sujet qui nous occupe. De toute façon, aucune importance puisque c’est Starhemberg qui en réalité gouverne. Ce personnage fameux dans l’histoire a été oublié… par JVW.
p. 12-14 de mon étude.
Lorraine n’y a joué qu’un rôle « modeste et formel », comme le dit Xavier Duquenne.
4. Au moins, je peux nuancer ma position suite aux remarques. Cela ne me semble pas être votre cas.
5. Fiche rédigée en… 1989-1994.
Comme si la CRMS allait avaliser les propos de Saint-Hilaire ou se mêler d’un débat maçonnique qui n’avait pas encore lieu (1re étude de JVW = 2008).
Joël Goffin
Note : merci d’arrêter de m’appeler Jules Graton que vous écorchez en « Craton ». Pourquoi pas « vieux Croûton » ? Je ne suis pas un macrobite, que je sache .
Je vais demander au WM d’indiquer mon vrai nom au lieu d’un pseudonyme choisi pour des questions de discrétion comme je l’ai expliqué récemment.
Ce petit jeu devient, voir est devenu depuis longtemps, plus que bancal.
Dernières petites précisions et ensuite vous pourrez manipuler les données à votre guise, chacun aura eu le temps de se faire une opinion sur ces tracés maçonniques en forme de compas à trois branches, ou la présence d’une Règle à la place de la troisième branche, curieuse Règle rompue par des îlots directionnels qui apparaissent sur le plan d’ensemble…
1/ Vous prenez une définition d’habilitation qui vous arrange.
Ce n’est pas le cas de JVW qui ne fait pas état de « formation historique », mais bien d’être un historien, en l’occurrence du fait maçonnique.
Or, la définition de l’historien qui nous occupe est : « Un historien est une personne qui étudie ou publie sur l’histoire en produisant un discours ou un écrit respectant une méthode scientifique ».
4/ Vous ne nuancez rien du tout, vous employez un terme équivalent.
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Je n’insisterai plus sur votre silence sur l’Inventaire du Parc de Bruxelles (« Patrimoine Architecturale de la Région de Bruxelles Capitale ») de peur que vous continuiez à nous abreuver de vos avalanches qui enveloppent l’ensemble d’une brume de plus en plus opaque.
Je suis donc historien, selon vos critères. Vous m’envoyez ravi !
Le livre de JVW n’est quasi pas sourcé.
Par ex., pour Lorraine, il ne fournit pas l’article précis des statuts qui empêcherait d’être un chevalier teutonique et franc-maçon. La Franc-maçonnerie n’est pas un Ordre chevaleresque chrétien comme l’était l’Ordre de la Toison d’Or. De nombreux teutoniques et « maltais » étaient FM.
JVW oublie complètement l’obélisque avec sphinges et l’un des bas-reliefs que le FM Houdon (Les neufs Sœurs) voulait sculpter sans se faire payer ! L’obélisque flanqué de Minerve et Mercure/Hermès devait se trouver au milieu du bassin circulaire (source : AGR).
P. 37 et 41.
Et ainsi de suite. En fait, son étude est construite sur quelques négations peu argumentées. C’est après avoir lu son livre unilatéral que j’ai entrepris mes recherches.
Pour le point 4, je vous ai répondu. « Patrimoine Architectural de la Région de Bruxelles Capitale ».
Si le WM le décide que chacun retourne à (ou remonte sur) ses planches. Au choix.
Dernière petite incursion sur cette thématique.
Jules Craton, alias Joël Goffin, nous affirme avoir reçu « caution » pour son étude sur le parc de Bruxelles maçonnique, de « La pensée et les Hommes », par « l’éminent Baudouin Decharneux et Jacques Lemaire ».
Curieuse « caution » lorsque l’on sait que Jean Van Win aurait également reçu « caution » pour son ouvrage de démystification de ce même parc par une présentation de son ouvrage par Jacques Lemaire qui précise : « L’auteur de « Bruxelles maçonnique» démontre, à la fois par une argumentation serrée, des illustrations probantes et des documents souvent inédits, que les éléments constitutifs de ces pseudo mystères ne sont qu’imaginaires, inconsistants et affabulatoires ».
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https://www.lapenseeetleshommes.be/product/bruxelles-maconnique/
https://www.hiram.be/app/uploads/2024/01/Refutation-Joel-Goffin.-Bruxelles-maconnique.pdf
Citation du texte de présentation du livre de Joël Goffin sur le Quartier Royal de Bruxelles :
« La symbolique supposée du Parc de Bruxelles excite les imaginations depuis près d’un demi-siècle. L’auteur du présent essai a étendu son champ de recherches à la Place Royale, l’allégorie du fronton du Palais de la Nation rue de la Loi et l’église Saint-Jacques-sur-Coudenberg. Cet ensemble urbanistique et néoclassique, plus connu sous l’appellation de « Quartier Royal », a été érigé sous le gouvernement de Charles de Lorraine à la fin du xviiie siècle.
Après l’étude poussée d’une abondante littérature maçonnique et de la correspondance autrichienne concernant le projet du nouveau quartier (Archives générales du Royaume), il a acquis la conviction que le ministre plénipotentiaire Starhemberg, membre éminent de la Stricte Observance Templière, en est le maître d’œuvre.
À travers cette enquête historique sourcée, parfois digne d’un thriller, l’auteur insiste sur l’importance de l’obélisque, refusé par l’empereur. Cet élément architectural majeur devait être « la dernière pierre de tout l’édifice ». Il détaille ensuite la symbolique du fronton du Palais de la Nation et par-dessus tout celle de l’église du Coudenberg qui aurait eu pour objectif de transformer Bruxelles en Jérusalem céleste. Enfin, il montre en quoi la Quête de la Toison d’Or pourrait constituer un des fils rouges du Quartier Royal… » fin de citation
Voici, entre autres balivernes, comment, PAR DES ETUDES POUSSEES, « on acquiert la conviction » que Bruxelles va devenir la Jérusalem Céleste et que le quartier royal de Bruxelles pourrait être un des fils rouges de….la Quête de la Toison d’Or.
Paul de Saint Hilaire est dépassé par un disciple. Faut-il conclure au risque de lasser ? J’arrête définitivement cette discussion oiseuse ici.
Pour celles et ceux qu’intéressent ces tracés du Parc de Bruxelles, présenté ici comme purement urbanistiques, désigné comme étant en patte d’oie, tracés disposés dans l’intention de marquer des bâtiments existants ou futurs, voici le lien vers « L’Inventaire du Patrimoine Architecturale de la Région de Bruxelles Capitale ».
Cet inventaire ne reprend pas les attendus maçonniques de Paul de St Hilaire ou de Joël Goffin.
Chacune et chacun pourra ainsi se faire sa propre religion, ou si ce mot importune, dégager ses propres convictions.
https://monument.heritage.brussels/fr/streets/10001122
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Aperçu :
« Parc et abords sont terminés vers 1785. Avec la place Royale, ils offrent un exemple typique d’urbanisme néo-classique sur le modèle français de la première moitié du XVIIIe siècle. Ils ont été pensés comme un ensemble fermé sur lui-même, coupé du reste de la ville et ordonnés sur une trame géométrique en patte d’oie. Un plateau a été créé de toutes pièces pour les asseoir, qui surplombe la ville du côté ouest. Le parc, dont la symétrie rigoureuse du tracé était encore renforcée par la distribution des essences — tilleuls à larges ou petites feuilles, ormes, hêtres, platanes — au bord des allées, étaient intimement lié à son environnement architectural par les perspectives qu’il ménageait et que fermaient divers dispositifs : portique de la Chambre Héraldique dans l’axe de l’allée centrale, passage des Colonnes au fond de la place Royale, dans l’axe de l’allée oblique, écran de verdure masquant la « domus Isabellae » au fond du passage de la Bibliothèque (voir rue Baron Horta), avant-corps resserrant l’entrée de l’impasse du Parc (voir rue des Colonies), grilles entre édicules fermant l’extrémité est de la rue de Brabant (voir rue de la Loi) et l’entrée des futures rues Zinner et Lambermont. »
Cette discussion illustre bien le problème en franc-maçonnerie.
La Maconnerie se voulait, à l’origine, un système de pensée a-religieux, a-politique et ne tenant compte d’aucune croyance (croyance : acceptation a priori de ce qui n’est ni démontré, ni prouvé).
Au 18è siècle, les Lumières, tant anglaises que françaises, favorisent la liberté d’expression, les sciences et avec elles l’athéisme ou à tout le moins une remise en cause des dogmes.
Craignant que l’on relativisât la religion, en Angleterre Dermott créent un sanctuaire du catholicisme avec sa GL des Antients, en Allemagne et France de même avec la SOT et le RER, si bien que la croyance devient de plus en plus la norme en franc-maçonnerie, jusqu’à s’imposer à partir de 1813.
De la croyance aux croyances il n’y a qu’un pas, surtout lorsqu’on manipule des symboles, fantasmés comme décrivant des secrets, et lorsqu’on prétend qu’il s’agit de ceux de l’Univers, c’est la porte ouverte à n’importe quoi dès lors que l’on croit (!) pouvoir s’affranchir de la démonstration et de la preuve.
Ceci donnera l’ésotérisme, création de Pasquali, de Maîstre, Saint Martin et Willermoz, réputé dévoiler le sens secrets des Ecritures, donc du monde. Certains prétendent, convaincus, que la Chose envoie des signes en loge de Saint André.
Le points d’orgue est atteint avec l’occultisme des 19è et 20è siècles, la magie cérémonielle … bref !
Comment s’étonner alors que l’on perçoive des signes partout -la photo du dimanche est souvent l’occasion de bien des fantasmes- encore et surtout lorsque trois allées anodines partent d’un point et s’écartent de 15° l’une de l’autre ?
C’est un Compas bien sûr !
En pliant savamment un billet de 1$, les secrets de Illuminatis se révèlent. Si, si, je vous l’assure !
>>>Etienne Hermant post 23
Je te remercie de ton intervention dont l’analyse est fort bien détaillée et intelligente. Elle est de surcroît fraternelle et amicale.
Pour le reste de ce débat, autant en emporte le vent…
Jean
J’ai trop peu d’expertise du sujet pour prétendre prendre part à ces oppositions, même si – et on me le pardonnera – j’ai mes préférences de références argumentaires très solidement étayées par Jean Van Win et le commentaire de JM Mathonière dont on connaît, par ailleurs, les connaissances dans ces domaines.
Cela étant, en aucun cas, je m’appuierais sur des « cautionnements » pour asseoir mon opinion, « cautionnements », qui plus est, n’en sont pas en la circonstance.
L’article publié dans « La Pensée et les Hommes » ne « cautionne » en rien la théorie présentée.
Il s’agit d’une présentation assez sommaire qui n’a pas fait l’objet d’une intervention de Baudouin Decharneux ou de Jacques Lemaire en commentaire.
Jacques Lemaire, lorsqu’il interviewe un auteur, comme ce fut le cas pour moi pour mon ouvrage « Le Chapelain de la Loge St Paul », ne « cautionne » pas l’ouvrage, il permet à l’auteur de son choix de s’exprimer.
Il ne me viendrait pas à l’esprit de décréter, qu’en l’occurrence, j’aurais reçu une sorte de cachet d’authenticité qui serait non-opposable.
Il en est de même lorsque Baudouin Decharneux m’a invité à participer, en 2017, au « 300 ans de la Franc-maçonnerie spéculative » à l’Académie Royal de Bruxelles.
Concernant la RTBF, Laurent Dehossay est un chroniqueur qui s’occupe des points d’histoire assortit d’une invitation.
Ici aussi, il n’y a pas de « cautionnement », et surtout il faudrait mentionner une autre émission de la RTBF (« Retour aux sources » du 08 septembre 2022) qui fait part de l’ouvrage de Jean van Win sur le même sujet : « Jean van Win n’est pas seul à penser que l’arrière-plan maçonnique du parc de Bruxelles n’est que pure élucubration. L’auteur y voit l’usage probable de la Croix de Lorraine, ancienne version, avec ses deux traverses d’égale longueur. Selon lui, le tracé du parc serait purement urbanistique, ce qui est exact : l’espace vert a été pensé comme articulation principale du nouveau quartier, destiné à faciliter la circulation en dégageant des perspectives vers divers artères et bâtiments marquants existant ou à venir ».
Quant à la GLB et son GL info mentionné (N° 132 du 27 septembre 2021 en la circonstance), les articles de cette Newsletter se succèdent librement sans intervention de la rédaction où il est bien spécifié que « les textes reflètent l’opinion de leurs auteurs », donc sans le moindre « cautionnement ».
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Tout ceci ne remet pas en cause l’érudition de l’auteur qui, à mon sens, s’en servit mieux dans d’autres publications, sans relent d’un Paul de St Hilaire et ses déviances ésotériques bien dans l’air du temps.
Un article « hilarien » du GOB et la GLB sans filtrage de la rédaction : vous me laissez pantois. Vous les prenez pour des inconscients ? Le Grand Maître du GOB est l’éditeur responsable du Logos. L’article de la Pensée et les Hommes a été choisi et repris pour figurer dans la très sérieuse revue Francs-Parlers n° 22 où figurent des articles de Baudouin Decharneux, laïque convaincu et en aucun cas ésotériste. Vous sous-estimez le rôle du subtil Jacques Lemaire qui était bien entendu au courant du projet de publication. Les arguments du Frère Van Win sont très faibles, avec tout le respect que je lui dois en débit de ses diatribes à mon égard.
Enfin, avez-vous lu l’intégralité de mon étude ? En tous cas, compte tenu du nombre de vues, le sujet est intéressant.
Note : suite à mon intervention en haut lieu et auprès de l’échevine/adjointe au maire compétente, les statues disparues seront bientôt remplacées et les dégradées restaurées.
1/ Je n’ai pas fait mention du GOB.
Je regrette que vous inventiez.
D’autres ce sont interrogés sur le bien-fondé d’un quelconque « cautionnement » à travers un périodique qu’une Obédience met à disposition de ses FF et SS (puisque nous sommes au GOB).
2/ GL-Info (GLB).
La directive stipule : « Les textes reçus reflètent l’opinion de leurs auteurs. La rédaction insiste sur la liberté d’expression. Les articles sont donc publiés en nom propre, avec mention du prénom de l’auteur et les initiales ».
J’ai écrit plusieurs articles sur GL-info, quelquefois controversé à l’égard de la GLB, aucun n’a été refusé.
Tout Frère peut poster un article, et la rédaction peut faire état de publications en toute liberté.
3/ « Enfin, avez-vous lu l’intégralité de mon étude ? »
La réponse est oui.
J’ai également lu les échanges d’argumentaires entre JVW et Joël Goffin.
Pour moi, la force du répondant est dans les attendus de JVW.
Je n’impose à personne mon analyse, mais je me réserve le droit d’y recourir, et je pense qu’en tant que libre-exaministe vous ne pouvez que m’encourager à le faire.
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Cela étant, ceci n’est pas une polémique…
J’ai assez de gens qui apprécient mon étude. No comment, comme annoncé lors de mon dernier post.
Comme annoncé hier dans un message privé à Étienne Hermant, il ne me faisait aucun doute que vous ne laisseriez pas le dernier mot à l’un ou l’autre de vos contradicteurs… Quant à la validation rationnelle d’une étude par son grand nombre de vues, laissons cela aux réseaux sociaux et aux savons de Marseille 😉
Rassurez-vous mon TCF Jules ou Joël ou peu m’importe l’alias : je vous laisserai jouir en bon propriétaire de votre bac à sable dans ce parc… J’ai d’autres patients qui m’attendent.
Nombreux copropriétaires ! Toujours folkloriser l’adversaire. Tss, tss.
En ce qui me concerne, c’est terminé. Je ne relancerai pas un débat qui s’éternise. Bien qu’il soit suscité par un compas à trois branches (?) et par un gouverneur général débile qui, heureusement, ne fut jamais maçon. Terrible, les croyances.
Mais laissons croire ceux qui ont des opinions. Cela leur fait du bien et cela distrait de l’Ukraine, de la Chine, d’Israël, du prochain service militaire belge, etc.
Moi aussi. Ce sont toujours les mêmes critiques peu argumentées. Il y a aussi les élections du 9 juin et la majorité flamande nationale-fasciste (NVA et Vlaams Belang) qui se profile et qui me préoccupe actuellement…
Veuillez bien ignorer mon post n°9. Il est trop vieux et obsolète. Avec mes excuses.
–
Géplus n’existe pas. Gémoins non plus.
-A quoi peut bien servir un compas à trois branches ? Et comment s’en sert-on, Joël ?
Il faudra tout de même que Joël, alias Jules, alias etc. nous explique enfin en quoi ses « recherches » auraient été « cautionnées » par le GOB, et ce qu’il entend par là ?
Mon « Bruxelles maçonnique » est une satire (Vitriol et compagnie dans les bas-fonds) qui révèle les seuls et très rares symboles maçonniques reconnus comme tels par des historiens et des architectes renommés. C’était dans l’esprit du temps. (le portail du Sénat).
Je n’ai pas d’alias autre que celui-ci. Comme j’ai mis en ligne gratuitement mon étude pour les lecteurs de ce site, je suis très facilement identifiable.
Vous devez savoir qu’une publication (ici deux dans le Logos = résumé puis recension)) du GOB, de la GLB, de La Pensée et les Hommes et du Cercle d’Histoire de Bruxelles a d’abord été sévèrement filtrée par un comité de rédaction afin que la revue conserve un niveau intellectuel de bon niveau. Si mon étude avait été un fatras, ces périodiques on ne peut plus sérieux n’en auraient tout simplement pas parlé. CQFD.
Pierre Noël a raison : que chacun étudie les deux thèses, si cela les intéresse, et qu’ils se forgent une opinion dans un esprit de libre-examen. Les Maçons sont formés à cet exercice intellectuel.
L’inusable débat VW-Goffin sur l’intention « maçonnique » du parc de Bruxelles a de beaux jours devant lui, même si les utilisateurs (dudit parc) s’en fichent comme de la franc-maçonnerie ! J’aimerais proposer un toast à vos délires.
Remarquez que je ne délire pas et que je n’ai pas relancé l’hypothèse du Parc… Mais compte tenu des invectives, il faut bien que je défende mon honneur.
@ Jules Graton
Rassurez-vous, votre honneur est intact. Vous avez travaillé, c’est déjà pas mal !
Il faudra tout de même que vous m’expliquiez en en quoi votre étude aurait été « cautionnée » par le GOB et ce que vous entendez par là ! De manière générale, une obédience a déjà du mal à se positionner sur un sujet sur lequel tout le monde est à peu près d’accord, alors…
Il existe d’innombrables parcs dans monde. On peut factuellement les décrire par rapport à leur superficie, leur architecture, aux espèces d’arbres ou d’animaux qu’ils contiennent, à la nature de leur sol, s’ils sont clôturés ou non, s’ils sont naturels ou façonnés par l’homme, à l’anglaise ou à la française etc., s’ils contiennent des fabriques, des statues, des points d’eau et j’en passe. Des parcs maçonniques, c’est plus rare ! S’il existe bien des poissons volants, ce n’est pas la majorité du genre… Dès lors que vous affirmez le caractère maçonnique du parc de Bruxelles, il me semble que la charge de la preuve vous appartient. Votre étude s’appuie sur votre propre interprétation symbolique et historique. Les arguments que vous développez me semblent peu convaincants. Quant à votre réponse dans les commentaires, elle s’appuie sur un argument de notoriété : votre étude serait cautionnée par les auteurs connus que vous mentionnez et peut-être aussi, par le fait que vous travaillez dans une grande bibliothèque. So what? A titre d’exemple, figurez-vous que l’eau aurait une mémoire…( ?) Le Professeur Luc Montagnier, codécouvreur du V.I.H, prix Nobel de médecine, a publié cette théorie révolutionnaire. A ce jour, aucun de ses pairs n’a validé sa théorie ni pu reproduire les résultats de son protocole d’expérience… En conclusion je n’ai strictement rien contre vous, je ne suis pas convaincu, voilà tout. En ai-je le droit ?
Réponse post 17… Je ne prétends pas faire l’unanimité. Au fronton du Palais de la Nation (1782), rue de la Loi se trouve une jeune femme voilée avec deux boucles de cheveux (probablement Isis) qui porte sur la poitrine le Delta maçonnique. Indiscernable à l’œil nu. Le fronton porte le nom d’une sentence de la Stricte Observance dont le premier ministre autrichien Starhemberg (jamais cité jusquà mon étude), qui avait les pleins pouvoirs depuis 1773-74, et le duc de Saxe-Teschen, successeur en 1780 de Charles de Lorrraine, étaient des membres éminents : « La Justice punissant les Vices et récompensant la Vertu » ou « La Justice récompensant la Vertu, protégeant La Faiblesse et chassant Les Vices ».
Curieuse coïncidence, un rituel de Chevalier Kadosh (env. 1800), l’actuel 30e degré des « Hauts Grades » contient la formule suivante :
– Qui punira les vices et récompensera la vertu ? »
Réponse : – Le Grand Architecte de l’Univers seul.
Et pour la Stricte Observance, « la punition et la récompense sont les grands principes de l’ordre. »
Un obélisque complètement oublié dans les études devait se trouver au centre du grand bassin avec 8 sphinges, Minerve-Athéna, Mercure-Hermès (drôle de couple) et une Abondance (cornucopia).
Houdon, membre de la célèbre Loge Les Neuf Sœurs, s’était proposé de dessiner,
à titre gracieux (sic), le bas-relief principal de l’obélisque « qui doit faire parler le monument », selon la correspondance de Starhemberg (AGR). Autres citations du même : l’obélisque est « la dernière pierre de tout l’édifice », c’est « le point le plus essentiel et le plus important de tous ». le bas-relief principal « doit faire parler le monument ». Pour Starhemberg, c’est son « chef-d’œuvre » et « un spectacle ravissant pour l’homme qui pense » (jardin maçonnique = jardin philosophique au 18e).
Et que vient faire le timbre du bicentenaire des Amis philanthropes avec ce parc s’il n’a rien de maçonnique ? La charge de la preuve du contraire est désormais dans celui de mes estimés contradicteurs.
Note au post 12 : la patte d’oie tout à fait ringarde en 1770 est un compas à 45° (bijou du Maître dans le tuileur de Vuillaume) avec un axe central symbolique ciblant la Chambre héraldique/Toison d’Or (disparue), la résidence de Starhemberg, le bassin-obélisque et le fronton.
Les jardins maçonniques sont innombrables au 18e, mais beaucoup ont disparu ou ont été défigurés.
Bibliographie généraliste sur les jardins d’inspiration maçonnique
En Europe
Cazzaniga G.M., Giardini settecenteschi e massoneria : il giardino di memoria, in Id. ed., Storia d’Italia. Annali 21: La Massoneria, Einaudi, Torino, 2006 pp. 120-391
Curl J. S., The Lanscape Garden and Freemasonry, Ars Quatuor Coronatorum, CXVI (2003) pp. 83-126
Curl J. S., The Art and Architecture of Freemasonry, an Introductory Study, Batsford, 2002
Günther, Harri und Volkmar Herre, Gärten der GoetheZeit, Edition Peter Lang, Leipzig, 1993
Hajós G., La Franc-maçonnerie et le jardin anglais du XVIIIe siècle avancé en Autriche, Studies on Voltaire and Eighteenth Century [=SVEC], vol. 265, Oxford, 1989, pp. 1503-15
Olausson M., Freemasonry, occultism and the picturesque garden towards the end of the eighteenth century, Art History 8, 1985, pp. 413-33
Reinhardt H., L’influence de la Franc-maçonnerie dans les jardins du XVIIIe siècle, in Cresti C. éd., Massoneria e architettura, Bastogi, Foggia, 1988, pp. 87-94
Svirida I., Le jardin naturel et la Franc-maçonnerie, SVEC, vol. 263, 1989, pp. 311-13
En France
Baltrusaitis J. et Mosser M., Jardins en France 1760-1820 : Pays d’illusion, Terre d’Expériences, Caisse Nationale des Monuments Historiques et des Sites, Catalogue de l’exposition, Hôtel de Sully, 18 mai-11 septembre 1977, Paris, 1977
Baridon M., The Garden of the Perfectibilists. Méréville and the Désert de Retz,
Tradition and Innovation in French Garden Art. Chapters of a New History, Dixon Hunt J.-Conan M. eds., Pennsylvania U. P., Philadelphia, 2002, pp. 121-34
Cendres J. et Radiguet Chl., Le désert de Retz : paysage choisi, Stock, Paris 1997 et rééimpr. Éd. de l’Éclat, Paris, 2009
Constans Martine, Bagatelle dans ses jardins, Action artistique Ville de Paris, 1997
Salmon J.et Mosser M., Le jardin de Méréville, Éd. de l’Yeuse, Paris, 2004
Symbolique de l’obélisque et des sphinx dans les jardins :
Jean Fricke, Le prince Charles-Joseph de Ligne, franc-maçon, dans Nouvelles Annales, Prince de Ligne : tome 16, Librairie Honoré Champion, Paris, 2003, p. 40-74
Jean-Marcel Humbert, Les fabriques égyptisantes entre exotisme et ésotérisme dans Histoires de jardins : lieux et imaginaires, dir. Jackie Pigeaud et Jean-Paul Barbe, Puf, Paris, 2001, pp. 181-201
Helmut Reinhardt, L’influence de la Franc-maçonnerie dans les jardins du XVIIIe siècle, dir. Anon Feliu, C., El langage occulto del jardin : jardin y metafora, Ed. Complutensa, 1996, p. 181-208
Christophe de Brouwer conclue son étude circonstanciée sur cet ensemble architecturale, de cette manière : « Plus généralement, que l’ensemble palais, place royale et parc de Bruxelles ne soit pas, en tant que telle, une œuvre maçonnique, est une évidence. Que des considérations symboliques y furent appliquées, me semble tout aussi évident, telles que la célébration de lieux de pouvoir selon les concepts des ‘Lumières’, mais pas seulement. Qu’il s’y soit glissé complémentairement et subtilement, pris dans son ensemble ou dans le détail, de nombreux éléments ésotériques, alchimiques, sinon maçonniques, est non seulement conforme à cette époque -c’est le contraire qui serait étonnant-, mais surtout rencontre un évident plaisir intellectuel de ma part.
Cependant, dans tous les cas, je mettrais en exergue le conseil de notre commentatrice et guide du « Jardin Chalon » à Namur. Surtout que l’on s’y sente bien. Car tout compte fait, le but final de la Ville de Bruxelles dans son intervention, ainsi que d’autres intervenants, comme Starhemberg, ou même Charles-Alexandre, est d’avoir permis l’ouverture aux populations civiles, au public, de superbes espaces boisés, situés juste à côté de leurs maisons, qui leur étaient fermés depuis des siècles. Ce sont ceux-là, dans leur recherche du bonheur des peuples (l’ « optimo principi, patriæ delicio » inscrit sur le socle de la statue de Charles de Lorraine), que nous devons saluer, car l’acte est véritablement altruiste et novateur, bien dans l’esprit des Lumières. Et s’il y a quelque chose de maçonnique à retenir, c’est avant tout, cela. »
@10-Merci pour cette citation nuancée et bienveillante, comme devrait l’être chaque commentaire de Maçon.
https://www.hiram.be/app/uploads/2024/01/Refutation-Joel-Goffin-Bruxelles-maçonnique-pdf
Voici ma réponse en 2018
https://bruges-la-morte.net/wp-content/uploads/R%C3%A9ponse-de-Jo%C3%ABl-Goffin-%C3%A0-Jean-van-Win-sur-le-Parc-de-Bruxelles.pdf
Pourquoi toujours des anathèmes ?
Christophe de Brouwer qui s’est largement inspiré de mon étude confirme : « Qu’il s’y soit glissé complémentairement et subtilement, pris dans son ensemble ou dans le détail, de nombreux éléments ésotériques, alchimiques, sinon maçonniques, est non seulement conforme à cette époque -c’est le contraire qui serait étonnant-, mais surtout rencontre un évident plaisir intellectuel de ma part. »
Vous avez désormais accès à mon étude complète. Forgez-vous une opinion sans imprécations et avec des arguments rationnels.
@post 3 : Jean-Michel Mathonière
Bravo ! Tout est dit dans cette intervention qui remet à leur place les zozotéristes de tout poil, malgré les gesticulations obstinées de Joël Goffin alias Jules Graton, alias un tas d’autres pseudos, lui qui revit naïvement les élucubrations de Paul (de) Saint-Hilaire, lui qui fourre dans le tracé du Parc tout ce qui peut servir à étayer une thèse absurde, non démontrée par ce que indémontrable.
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Le grand nombre de croyants n’établit pas la réalité. Quant à Geplus, qui est-ce donc ?
@post 1 : Jacques Huyghebaert
Bonjour, Jacques. A ta liste, j’ajouterais « Le Labyrinthe de Versailles, du mythe au jeu » par la Bibliothèque municipale de Versailles / MAGELLAN & CIE, où l’on trouve un frontispice signé par Le Notre, Jardinier du Roi, où il dit ceci : « Il faut avouer que Votre Majesté traite bien son Maçon et son Jardinier ».
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A la page 18 de ce superbe ouvrage, on trouve la reproduction d’une gravure d’époque, montrant le parvis du château de Versailles, avec la note suivante ; « Plan des Parcs de Versailles, vers 1665, Paris, Bibl. nationale de France, Département des Estampes, VA 448b, format 6 (détail). On y voit clairement le parvis en patte d’oie, illustré en couleurs ci-dessus.
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Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut voir, suivi qu’il est par la cohorte des « adeptes croyants » que fustige, à juste titre, J-M Mathonière. Y compris un Grand Prieur du RER !! Que diable allait-il faire dans cette galère, éminemment libre-exaministe par ailleurs ?
N’importe quoi pour faire passer une thèse abracadabrantesque. Dans ma Réfutation détaillée, je me suis amusé à aligner une série d’écrivains et de philosophes qui récusent fermement la nature pseudo zozotériste du Parc de Bruxelles. Voir Xavier Duquenne, et full stop. Tout y est dit.
« Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut voir, suivi qu’il est par la cohorte des « adeptes croyants. » Merci pour les rédacteurs du Logos du GOB, de la GLB, de La Pensée et les Hommes, du CEDOM de la rue de Laeken, du Cercle d’Histoire de Bruxelles, etc.
Article nuancé de Christian Laporte dans La Libre (15.6.22).
L’archiviste de l’ULB Andrée Despy-Meyer au journal Le Soir le 10 mai 2000 :
« Le plan du parc de Bruxelles, articulé autour des deux branches d’un compas, est l’exemple le plus célèbre de la symbolique maçonnique dans l’urbanisme de la ville. »
Dans Parcs et jardins de Bruxelles (Région de Bruxelles-Capitale, 1993), l’architecte
paysagiste Jacques Boulanger-Français reprend l’hypothèse du Parc maçonnique.
Dans son Initiation à la Franc-Maçonnerie (Marabout, 2007), le coauteur Jean-Michel Quillardet,
ancien Grand Maître du Grand Orient de France (2005-2008) l’accrédite :
« Devant le Palais Royal, le Parc de Bruxelles constitue lui aussi une référence ; on peut y
trouver dans le tracé de ses allées et parterres les symboles traditionnels de la franc-
maçonnerie. » Et moi, j’ai consulté les Archives Générales du Royaume (période autrichienne et de formation du Parc).
Gardons notre sang-froid. Nous sommes tout de même des Frères, ce me semble.
Jean Erceau est un homme passionnant et passionné.Ses visites de Versailles sont un enchantement que l’on peut recommander à tous et toutes.
Merci de bien vouloir indiquer que l’adresse de mon étude est la suivante
https://bruges-la-morte.net/wp-content/uploads/Quartier-royal-une-for%c3%aat-de-symboles-global.pdf
car l’autre lien est devenu inaccessible.
J’ai supprimé l’extension « 2023 », car elle a été écrite entre 2017 et 2021.
Explication de la patte d »oie p. 33.
Cette étude est cautionnée par le GOB (2 Logos), la GLB (newsletter), La Pensée et les Hommes (l’éminent Baudouin Decharneux et Jacques Lemaire), le Clsap, Pierre-Yves Beaurepaire, un Grand Prieur du RER, Laurent Dehossay à la RTBF (comme invité), etc.
Un peu de respect serait davantage maçonnique.
Merci à Geplus de considérer ce post comme un droit de réponse au post 3 qui tient des propos fort dénigrants, voir insultants à mon égard. Ce qui me semble contraire à la charte.
J’ai lu les livres sur Versailles : comme bibliothécaire, je travaille dans la plus grande bibliothèque de Belgique (600 000 ouvrages).
Mon très cher Jules ou Joël (je ne sais lequel est le pseudonyme de l’autre, pardonne mon inculture maçonnique belge), les cautionnements de l’entre-soi ne valent pas véritude… ni le fait d’être bibliothécaire d’une bibliothèque de 600 000 ouvrages et d’avoir lu les livres sur Versailles. Moi aussi j’en ai une grosse et cela ne signifie aucunement que je détiens la vérité 😉
Ce qui ne serait pas maçonnique, ce serait de ne pas rappeler à l’occasion de ce post que les francs-maçons racontent aussi, quels que soient leurs titres, beaucoup de conneries ! Alors Jules ou Joël, tu voudras bien me pardonner mon irrévérence en considérant que j’ai simplement exercé là mon droit à avoir une opinion et à l’exprimer. Le zozotérisme est une plaie de la Maçonnerie…
Il faut lire mon étude ou alors ne rien dire. Je n’aime pas les zozotériste. Je suis athée, adogmatique et rationaliste. J’ai simplement fait une recherche historique sourcée.
Peut-on dire qu’on est pas zozotériste quand comme vous on utilise des raisonnements biaisés et des sources polluées par de tels biais cognitifs ? Personnellement, je ne le pense pas. Je vous laisse donc mon très cher Joël Goffin, alias Jules Graton, alias Jenesaisquidautre, à vos logorrhées citatoires qui seraient cautionnées par des autorités inattaquables. Ça me fait par trop songer à la fine fleur des zozothéristes que sont à leur manière les Guénolâtres, qui pensent ainsi pouvoir réduire l’ennemi au silence par la multiplication des réponses qui l’obligeraient à son tout à des réponses sans fin, des argumentaires qui n’en finissent pas mais utilisent toujours les mêmes fils blancs. C’est une stratégie à laquelle on peut se laisser piéger si on est fragile psychologiquement et si on a du temps à perdre et que l’on croit à la conversion possible des croyants. Il est des pathologies maçonniques contre lesquelles je me contente de mettre en garde les lecteurs qui seraient totalement profanes (mais sincères) ; peut-être un jour, quand je serai très vieux et après avoir enfin publié une thèse magistrale sur la fable de la corde à 13 nœuds et autres fariboles pseudo opératives, y consacrerai-je une étude documentée par ma misérable bibliothèque qui ne compte pas 600 000 livres… BBB
J’ajouterai à ma réponse que précisément, mon commentaire auquel tu revendiques un droit de réponse ne te mentionnait pas nommément. À moins que tu considères cette théorie comme étant ta propriété ou comme celle-ci étant de ta responsabilité initiale ? Alors encore une fois pardonne fraternellement mon inculture car je l’ignorais, ce genre de spéculations ne m’intéressant finalement qu’assez peu et ayant des sujets de recherche à mon goût plus intéressants et importants…
Enfin du bon sens et de la culture dans cette affaire du parc pseudo maçonnique de Bruxelles ! Versailles a en effet servi de modèle à de nombreux parcs et châteaux dans toute l’Europe de l’époque et il n’y a évidemment rien de « maçonnique » là-dedans. Qu’il y ait une volonté symbolique dans les jardins de Versailles, c’est évident puisque Louis XIV lui-même en fournit la lecture dans son texte « Manière de montrer les jardins de Versailles » — lecture qu’auraient bien fait de faire certains avant de partir dans des élucubrations dignes de francs-maçons zozotéristes ! L’inculture maçonnique à l’égard de l’histoire de l’art et des emblèmes est à cet égard consternante et il n’est que de voir les lectures à la mode du Parc de Bruxelles et des jardins de la Quinta da Regaleira au Portugal pour s’en convaincre… Quant à ce que Versailles à l’égard de la symbolique mythologique doit au « Songe de Poliphile », sur la table de chevet de Fouquet comme de Louis XIV, on en parle pas ! Ah, mes Sœurs et mes Frères, un peu de saine curiosité et de bon sens seraient les bienvenus en lieu et place du zozotérisme !
Jean Erceau – les jardins initiatiques du chateau de Versailles
https://www.amazon.fr/jardins-initiatiques-Ch%C3%A2teau-Versailles/dp/B08L3XBTSW
Jean Erceau – les jardins initiatiques du chateau de Versailles interview par Jacques Carletto
https://www.youtube.com/watch?v=8ML0yJt566E
Paul Barba Negra – Architecture et géographie sacrée; Versailles : Le Palais temple du Roi Soleil, auteur du texte parlé Jean Phaure, commentaires dits par Jacques Weber, produit par Kronos France Films [1978 ]
https://odysee.com/@P%C3%A9p%C3%A9lePutois:5/Architecture-et-ge%CC%81ographie-sacre%CC%81e-Versailles—Le-Palais-temple-du-Roi-Soleil-0H46-%E2%80%94-1978-%E2%80%94-Re%CC%81al—Paul-Barba-Negra:a
à 1 Jacques, un très grand merci. bon dimanche.