« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
Cette zone géographique est en effet un fief des compagnons étrangers tailleurs de pierre du Devoir depuis le XVIIIe siècle au moins et il est de ce fait peu probable que ce soit ici un emblème laissé par un compagnon passant.
La question de la position du compas par rapport à l’équerre est une obsession maçonnique moderne qui n’a, qui plus est à cette date, guère de sens dans le contexte compagnonnique, même si les compagnons, tous métiers confondus et sans obéir autrefois à une quelconque “règle” en la matière, semblent avoir privilégié depuis longtemps l’entrecroisement de ces deux instruments de la géométrie, la connaissance par excellence. Au demeurant, dans l’art du « Trait » (prononcer avec emphase, en roulant des yeux pour ressembler à un grand initié opératif), c’est de toutes les façons le compas qui est roi sur l’équerre.
On notera d’ailleurs que l’équerre n’apparaît que tardivement, sous l’influence de l’emblématique maçonnico-compagnonnique à la mode à partir des années 1830, dans le blason des compagnons charpentiers (initialement composé du grand compas ouvert au-dessus de la besaigüe), là où la sauterelle (fausse équerre) eut été beaucoup plus cohérente.
Au cœur du pays des Pierres Dorées, nous trouvons de nombreux témoignages d’une présence compagnonnique. Cf. le document de « BAGNOLS en BEAUJOLAIS AU CŒUR DU PAYS DES PIERRES DOREES » de Pierre Guerrier, Nelly et Jean Stanko, page 97 et de la page 136 à 141 http://patrimoine-pierres-dorees.e-monsite.com/medias/files/bagnols-en-beaujolais-ilovepdf-compressed.pdf