Tombe A Perdiguier

La photo maçonnique du dimanche 19 janvier 2025

Publié par Géplu
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dimanche 19 janvier 2025
  • 8
    Jean-Michel Mathonière
    22 janvier 2025 à 8h39 / Répondre

    Ainsi que le chantaient en chœur en 1943 Jean Marquès-Rivière et Paul Riche, dont il est bien connu que l’œuvre bien documentée résumait à elle seule toute l’action de la franc-maçonnerie sans qu’il soit nécessaire de contextualiser et d’élargir le cadrage des clichés : « Parler avec un troll, c’est comme jouer aux échecs avec un pigeon. On a beau être fort aux échecs, il arrive, renverse les pièces, chie sur l’échiquier et s’en va, l’air supérieur. »
    Notre cher Pays et Frère Agricol Perdiguier s’en retourne dans sa tombe…

  • 7
    Arnaud Laehert
    21 janvier 2025 à 16h39 / Répondre

    Je ne souhaitais par répondre à une telle vulgarité, mais puisque vous insistez.
    Avant d’allumer le bûcher, vous voudrez bien prendre connaissance par les moyens qui vous conviendront le mieux de la biographie du compagnon Jean Bernard et de sa création en 1941, l’Association ouvrière des compagnons du devoir et du tour de France.
    Cette meme année 1941 dans le numéro 3 de la revue pétainiste et anti-maçonnique Les Documents maçonniques, on pourra aussi lire son avis sur l’Union compagnonnique.
    Bien cordialement.

  • 6
    Emmanuel ROUSSEAU
    21 janvier 2025 à 15h32 / Répondre

    On est en plein révisionnisme là !
    C’est assez conforme à l’air du temps, avec cette odeur de brun qui flotte au dessus de nous !
    Mais nous voilà aussi dans l’ « ère » de la réhabilitation des « révisionnismes » et des « …istes » fussent-ils morts ou vivants !!!
    Les adhérents des sociétés compagnonniques bientôt antisémites par nature aussi … tant qu’à faire !
    Je suis subjugué par vos savoirs !

  • 5
    Ardennais
    20 janvier 2025 à 19h34 / Répondre

    Cher Arnaud,
    Il aurait été intéressant que nous nous rencontrions en Loge, afin de confronter nos connaissances en la matière. Compagnon menuisier moi même depuis 40 ans, Maçon depuis 30, j’ai beaucoup voyagé, dans bien des Loges et d’obediences différentes, c’est dire si sur les colonnes j’en ai entendus des Planches « approximatives », pour ne pas dire autre chose, mais là, je dois dire que tu remportes le pompon.
    Si l’intelligence Artificielle fait des ravages dans nos Universités, tu viens de nous prouver qu’on peut aussi compter sur la Connerie Naturelle.
    Impatient de te rencontrer sur Bruxelles, Liège ou Namur.
    Fraternellement

  • 4
    Arnaud Laehert
    19 janvier 2025 à 17h32 / Répondre

    C’est un crève-coeur de vous avoir heurté, Maitre.

  • 3
    Jean-Michel Mathonière
    19 janvier 2025 à 16h51 / Répondre

    Euh… Veuillez m’excuser, mais j’ai rarement lu autant de bêtises en si peu de lignes ! Cela montre une ignorance crasse de l’histoire des compagnonnages. Je n’ai même pas envie de perdre du temps à répondre point par point. Disons simplement que l’histoire des compagnonnages débute avant le XVIIIe siècle et n’a évidemment rien à voir avec le révisionnisme économico-politique évoqué ici. C’est du DonaldTrumpisme ?

  • 2
    Arnaud Laehert
    19 janvier 2025 à 15h05 / Répondre

    Les sociétés compagnoniques étaient très majoritairement pétainistes.
    Elles naissent au début du 18è siècle d’une illusion, celle de s’improviser patron.
    Au mépris des règles du mètier, les compagnons s’emploient eux-mêmes.
    Associé à l’idée de pouvoir imposer leurs tarifs, ils sont à cette époque exclus des grands chantiers, les architectes se méfiant de ces aventuriers.
    Les compagnons vivotent et se réfugient dans la bigoterie, pensant trouver là une aide précieuse.
    Heureusement tout change après la deuxième guerre mondiale, les compagnies se recentrent sur leur métier et cela donne la reconstruction de Notre Dame de Paris, oeuvre magistrale.
    Les compagnons d’aujourd’hui ont une compréhension très précise du rituel maçonnique, il faut encourager les échanges avec ces frères de grande qualité.

  • 1
    Jean-Michel Mathonière
    19 janvier 2025 à 12h02 / Répondre

    Hélas, je n’y peux pas grand chose, la posture identitaire de la majorité des sociétés compagnonniques et plus particulièrement de l’un de leurs ayatollahs n’appréciant pas du tout que l’on vienne se mêler de leurs affaires ! Perdiguier est ainsi une « chasse gardée » et j’ai pu le constater lors d’une mésaventure arrivée au buste de Perdiguier à Avignon il y a quelques années en arrière, lors même que je ne faisais que mon devoir d’historien et d’habitant d’Avignon. Qui plus est, l’œuvre de Perdiguier est l’objet de tentatives de récupération compagnonniques depuis l’Occupation… Voir par exemple cette relation : https://levainbio.com/cb/crebesc/centenaire-du-deces-dagricol-perdiguier/
    Attendons donc sagement qu’une prochaine cérémonie, permettant à certains de s’instagrammer en posture d’authentiques gardiens de la mémoire compagnonnique, leur fournisse le prétexte d’entretenir cette tombe. Ciel : l’année 2025 ne serait-elle pas le 150e anniversaire de son décès ? GGG mais E…

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