« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
42 – Merci pour le procès d’intention. J’avais pourtant pris soin d’être précis.
Anderson n’a jamais rien construit de sa vie ? Non, il a juste construit la Franc-maçonnerie moderne et peut-être a-t-il fondé la société moderne dont les Lumières sont une composante. Je suis prudent, mais j’en ai la conviction.
On a l’habitude de dire que la FM n’est pas à l’origine de la Révolution française, fait majeur et mondial du XVIIIè sc. . Du point de vue des faits historiques peut-être, mais du point de vue de l’esprit, par la promulgation de la liberté dans toutes ses dimensions, assurément.
Stevenson n’est pas maçon ; s’il a lu les Constitutions 1723, il n’est pas censé connaitre le rituel, ni l’avoir pratiqué. En conséquence, ses conclusions ne peuvent qu’être biasées.
La GL de Londres et de W. n’est en aucun cas la poursuite de la maçonnerie opérative écossaise de manière spéculative. L’opératif écossais n’est qu’une interprétation non universelle du Métier très majoritairement exercé du point de vue matériel.
La GL de Londres et W. en reprend l’organisation en loges, l’arrangement de la loge et la fonction des officiers, abandonne l’aspect opératif du Métier pour développer son aspect spéculatif exclusivement, avec pour objectifs la liberté et l’universalité. Cf. Constitutions 1723 et rituel.
# 42 : Horreur, honte absolue, désespoir !! « Faire des pots » (1ère ligne). Il fallait bien sûr lire « faire des ponts ».
Le maçon n’est pas un potier et vice-versa.
En complément à # 40 : Ce genre d’activité (faire des pots, des cheminées, des plaques tombales et des escaliers) paraît bien modeste, voire ancillaire, méprisable pour les habitués du sublime. Elle constituait pourtant l’essentiel du gagne-pain des prédécesseurs des francs-maçons modernes (dont était Anderson qui n’a jamais rien « construit » de sa vie).
Cette minute de la loge d’Edimbourg est contemporaine des Statuts Schaw qui organisaient les loges écossaises (dont Mary’s Chapel évidemment) en un réseau de loges permanentes. Il est admis que ces Loges se sont progressivement transformées en loges spéculatives par l’admission de Gentlemen-Masons. La transformation était achevée en 1799. C »est ce qu’on appelle « a Transition »)..
Stevenson est allé plus loin lorsqu’il a vu dans ces loges du XVII° siècle encore balbutiant le réceptacle d’un savoir antique relayé par la Renaissance (qu’il résume par l’expression « Art de Mémoire »°). Il y voit les origines de la franc-maçonnerie.
[In essence freemasonry is a late Renaissance phenomenon. Its astonishing expansion in the eighteenth century saw it adapt itself to some extent to a new age, but in many ways it remained a movement which fits better into the world of the late sixteenth and early seventeenth centuries than into the world of the Enlightenment. (Stevenson, The Scottish Oigins of Freemasonry, 1997, p39)
C’est un peu surréaliste.
Comme s’il s’agissait de s’identifier à des constructeurs de cheminées ou de pierres tombales.
Comme si la franc-maçonnerie pouvait être différente d’une école initiatique tel qu’on l’entendait à Athènes.
Comme si son enseignement pouvait s’établir sur d’autres principes et exemples que ce qu’il y eut de plus magistrale dans le métier de la construction.
Pour apprendre quoi aujourd’hui ? A construire une cheminée ou une pierre tombale ?
Mis à part se prosterner devant une modestie intellectuelle sans rigoureusement aucun intérêt ni aucune espèce de valeur d’exemple en comparaison des capacités en plus d’intellectuelle également humaines qu’il faut dévelloper pour construire une cathédrale, je ne vois rien que l’on puisse apprendre de l’édification d’objets aussi simples et précisemment, en l’espèce du commentaire n° 40, à la porté du premier cowan venu.
Il s’agirait de relire Anderson de manière à savoir de quoi nous parlons en terme de Franc-maçonnerie et de cesser avec cette fausse modestie complexée inverse à l’objectif originel de dépassement de soi.
Ceux qui veront dans mon propos une stigmatisation de la condition ouvrière n’y auront ou n’auront pas voulu comprendre son sens.
A noter que les architectes de l’antiquité ou de l’époque médiévale étaient des ouvriers sortis du rang parce qu’ils constataient leurs capacités sans modestie inutile et, justement, cherchaient à parfaire leurs connaissances par une souveraine et exemplaire curiosité, ceci sans (et l’exemplarité est là !) tomber dans la prétention et l’égocentrisme.
Oublier les constructeurs de cheminée et prendre exemple sur celui nait de personne, sans héritage et arrivé au sommet sans réclamer de reconnaissance, seulement le respect de ses ouvrages parce qu’ils servent le Métier et par conséquence l’intérêt général, voilà ce qu’expliquent Anderson et le rituel qui nous demandent chacun d’oeuvrer dans l’intérêt de la Franc-maçonnerie.
.
PS : mes excuses par avance pour les fautes d’orthographe.
Un peu fatigué par les commentaires qui parlent des constructeurs de cathédrales et de l’art du trait, je vous propose la plus vieille minute (compte-rendu) connue de tenue de la loge Mary’s chapel, Edimbourg, actuellement n° 1 de la Grande Loge d’Ecosse (le texte est dans Murray-Lion, 1900). Il s’agissait bien de cheminée et de « cowan ».
« ultimo julij 1599
the qlk day george patoun maissoun grentit & confessit that he had pffendit agane the dekin & mrs for placeing of ane cowane to wirk at any chimnay heid for tua dayis and ane half day for the qlk offenss he submittit him self in the dekin & mrs guds willis qt unlaw thay pleass to lay to his charge and thay having respect to the said georges humill submission & of his estait ,thay remittit him he said offens, providing alwayis that gif ather he or ony vther bother committ the lyke offens heirefter thet the law sall stryke vpoun thame Indiscretia wtout exception of psonis this was done In pres of Paul Maissoun dekin thoas Weir warden, thoas Watt Johne Broun Henrie Tailziefer the said george patoun & adame Walkar. »
Dernier jour de juillet 1599
Ce jour-là, George Patoun, maçon, admit et confessa qu’il avait fait offense au diacre & à ces messieurs en utilisant un cowan pour travailler à une cheminée pendant deux jours et demi. Pour cette offense il se soumettait, quant à l’amende, au bon vouloir du diacre et de ces messieurs, qu’il leur plaise de (la) mettre à sa charge, et eux, par respect pour l’humble soumission dudit Georges et en (considération) de sa situation sociale, pardonnèrent ladite offense pourvu toujours que si lui ou quelqu’autre frère osait commettre la même offense à l’avenir, la loi frapperait les coupables, sans exception de personne.
Ceci fut rendu en présence de Paul Maisson, diacre, Thomas Weir, gardien, Thomas Watt, Johne Broun, Henrie Tailziefer, ledit George Patoun & Adame Walkair.
Loin de moi l’idée de jouer les correcteurs orthographiques de quiconque (je ne suis hélas pas exempt de reproches en la matière: j’ai déjà fauté et fauterai encore ! ) mais puis-je me permettre une petite suggestion s’agissant de l’utilisation de quel, quelle et quelque?
Jouer la féminisation permet souvent une correction instantanée.
Ainsi, comme naturellement on écrira « quelle que soit l’intervenante », au masculin s’imposera donc aisément l’expression « quel que soit l’intervenant ».
(De toute façon avec la G.L.N.F., pas de féminisation puisque pas d’intervenante…).
Et du coup « quelque » s’éliminera d’office dans un tel cas de figure, on le réservera à d’autres formulations.
Je tiens ce type d’astuces de mon instituteur en CM2 en mon école de village pyrénéen, il s’appelait Bernadotte, c’était en 1968, vraisemblablement avant le mois de mai, si je puis dire… et je ne suis pas certain que ces astuces d’instituteur à l’ancienne, avec blouse grise, se transmettent encore.
Bernadotte, si, si, comme le Maréchal napoléonien fondateur de la dynastie royale de Suède.
Lointaine parenté d’ailleurs, on n’oubliera pas que Bernadotte, le Maréchal, était béarnais de naissance, donc pyrénéen également.
Espérant avoir été de « quelque » utilité à chacun…
Quelle effroyable erreur d’une importance considérable dans le propos.
J’ai pris note, souvenirs et promets, mais un peu tard, ne plus m’y laisser prendre.
A Pierre Noël : Ah bon, Leopold von Sachsen Coburg und Salfeld a mis les pieds une fois dans une loge? Ce n’est très vraisemblablement pas le même Sachsen et quand la loge de Suisse a dit cela, après la mort de ce despote opposé à la maçonnerie et aux libéraux, cela arrangerait bien le GOB et le parti libéral qui étaient confrontés à un fort mouvement orangiste…
Je n’ai jamais écrit que Léopold avait mis les pieds dans une loge (faut apprendre à lire).
J’ai écrit qu’il avait été « vaguement reçu par communication » par un ami de sa soeur.
Il n’a jamais assisté à une tenue ni en Angleterre ni en Belgique.
il n’empêche que sa statue trône à l’entrée du grand temple de la rue du Persil, reproduction (mal)habilement trafiquée de la statue qui se trouve sur la colonne du Congrès.
Que les ff du GOB passent quotidiennement devant elle (sans y porter la moindre attention) ne change rien à l’affaire.
Nous sommes bien d’accord. Il n’a jamais mis les pieds dans une L:. et s’il n’a jamais assisté à une ten:., il n’a pas pu être reçu et constitué maç. Ce système de communication de titre maçonnique nécessitait une présence en Loge. Pour le reste, en faire un maçon, même un 30e incapable de mettre correctement son décor, c’est simplement en faveur de l’union de la maçonnerie belge et du parti libéral (qui lui était intimement lié) avec une composante narcissique. On invente encore que Charles de Lorraine était maç:.. Son frère et en même temps beau-frère, le mari de Marie-Thérèse l’était, ce qui n’a pas empêcher Marie-Thérèse d’interdire la maçonnerie dans l’empire d’Autriche. Idem de Velbruck qui écrivait « mon frère » à un de ses collègues évêques n’était pas pour cela maç:. … Et le petit Napoléon ne l’était pas non plus.
33 – Je regrette, les réguliers français se ridiculisent tous seuls, quelque soit l’intervenant ils nous font tous l’exacte même réponse et développent tous exactement les mêmes arguments dans les mêmes termes.
D’autre part, ils n’apportent jamais rien à la réflexion maçonnique où qu’elle se trouve, sauf toujours le même lot de lieux communs qui les caractérise.
Il n’est que lire les Cahiers VdH : de l’Histoire (du Dachez dans le texte et rien de plus) et de l’exégèse biblique du point de vue catholique, point.
Désolé.
J’ai gardé un excellent souvenir de mes visites dans certaines loges Suisses, que ce soit en français ou en allemand. L’atmosphère y est chaleureuse, la fraternité bien réelle et non pas factice, comme dans certaines grand-messes que nous connaissons. On n’y rencontre ni prétention ni dévotion ni l’inverse ! La loge de Berne « Zur Hoffnung » est particulièrement hospitalière. On lui attribue l’initiation du premier roi des Belges en 1813 quand il était général dans l’armée Russe. Tout le monde sait que c’est une légende et que Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha ne fut jamais « initié » mais vaguement reçu par communication par le médecin (et amant) de sa soeur qui habitait près de Berne. Il n’empêche qu’ils envoyèrent une délégation lors de sa tenue funèbre à Bruxelles, en 1864 (si je ne me trompe). Les pointus vont jusqu’à dire qu’il fut Chevalier Kadosch (fable qu’a détruite avec brio un auteur connu)
Le plus extraordinaire est la liberté des loges Suisses concernant les rites ! Chacune fait en réalité ce qu’elle veut, sans avoir à s’occuper de décisions obédientielles. J’ai assisté à une loge (au bord d’un lac) qui pratiquait le 1° degré selon le REAA et le 2° selon le RER !
Imaginez cela dans une obédience imbue de sa « rigueur » comme il en existe beaucoup dans notre landerneau !
Il me semble que la liberté des loges suisses en matière de rites est telle qu’il existerait même un rite, le rite Ruchon me dit-on, pratiqué par tellement peu d’ateliers, et uniquement en Suisse,qu’une seule main suffirait à les dénombrer!
Par ailleurs, j’aime beaucoup la façon de situer une loge au bord d’un lac: pour brouiller les pistes il n’y a pas mieux!
Car pour compter les lacs en Suisse, c’est l’inverse: les deux mains n’y suffisent pas…
En ces temps où l’extrême droite espagnole reprend du poil de la bête immonde, nous devrions nous montrer beaucoup plus discrets.
Comment doit-on comprendre « nous » dans cette phrase?
Nous, ceux et celles, francs-maçons ou pas, qui intervenons ici, sur Hiram.be, au premier rang desquels Rafael,pour avoir fourni la photo, et Géplu pour l’avoir publié?
Nous les francs-maçons, en particulier espagnols, pas assez prudents si l’on en croît notre B.A.F. Durruti?
Et que dire du restaurateur lui-même qui s’affiche, à l’intérieur comme à l’extérieur de ses restaurants, sans aucune ambiguïté, ni sans beaucoup de retenue (cf. Tripadvisor)?
A quel niveau doit commencer la discrétion?
A quel niveau d’ailleurs est-elle nécessaire?
Est-ce, ou plutôt sont-ce, des considérations profanes, des inquiétudes profanes, des peurs profanes qui doivent commander, aiguiller, guider une discrétion maçonnique?
(Ces dites peurs n’étant pas à mettre au « crédit » de la seule extrême droite, bien d’autres radicaux et rigides du bulbe ayant la Franc-Maçonnerie dans le collimateur…).
Enfin, en matière maçonnique, la décision de discrétion, doit-elle relever du collectif, du pluriel, certains diraient du communautaire? (cf. « Nous »)
Ou doit-elle uniquement être une responsabilité individuelle? Au sens où je décide? J’agis? Je dis? J’ai dit?
En bref, en matière de discrétion maçonnique, comment faire la part des choses entre ce qui relève de l’individuel et ce qui est l’attribut du groupe?
Cette part des choses est-elle seulement possible?
Et, quoiqu’il en soit, une extrême droite, espagnole ou non, face à nous ne s’embarrasserait d’ailleurs pas de tant de subtilités…
22 – Ne sais-tu pas que c’est en faisant face aux chiens que les chiens doutent et se calment ?
Faisons face à la racaille néo-franquiste et néo-fasciste en général ; faisons leur savoir que s’ils nous cherchent, cette fois-ci ils nous trouveront !
D’accord, mais comme action politique, non pas comme tâche maçonnique…
de Flup
32 – Les maçons sont avant tout des citoyens, l’actIon politique contre les extrêmes les concernent au premier chef.
Vontade de conhecer este estaurante….
Quand allez-vous cesser de pinailler ?
Précision faite du degré, et alors (et dieu sait que je relativise totalement ces degrés) ? Il me semble que notre BAF d’Alpina n’a insulté personne ! De plus Alpina, une GL très francophile, GODF&GLDFophile, tellement réservée vis à vis du système d’exclusion anglais et plus que réservée à l’égard de la paroisse GLNF.
Merci de prendre de la hauteur et d’épargner nos Frères de vos névroses.
Mon T.C.F. Desap, il faut se méfier des jugements péremptoires (je ne parle pas de névrose !) 😉
La Grande Loge Alpina est tellement « plus que réservé à l’égard de la paroisse GLNF » (paroisse!) qu’elle est en reconnaissance et amitié avec elle (comme avec la G.L.U.A.).
Il est possible – je n’en sais rien – que certaines de ses Loges accueillent des Frères d’Obédiences non reconnues, mais il n’empêche qu’Alpina est membre de la F.M. « mainstream ».
26 – Mon TCF Criton, je connais assez bien Alpina.
Bien que régulière reconnue et reconnaissant naturellement la GLNF, votre côté religieux plus que prononcé les irrite prodigieusement.
Vous irritez d’ailleurs tous le monde avec ça !
Paroisse, je suis gentil.
PS : ne perds pas de temps à me faire la leçon, j’ai passé plus de vingt ans à la GLNF, je n’y ai jamais ni dans nulle loge vécu une telle hérésie maçonnique.
Loin de moi l’idée de te faire la leçon ! D’abord un Maçon n’a pas de leçon à faire à un autre ; ensuite, tu es tellement bardé de certitudes que j’y perdrais mon temps.
1) Il se trouve que je connais également assez bien des Frères d’Alpina (encore une fois évitons les généralisations malencontreuses) et ils ne me paraissent pas être irrités contre la G.L.N.F.
2) Je ne sais pas ce que tu désignes par le terme de « religieux », mais, comme toute Obédience régulière, la G.L.N.F. s’interdit religion et politique. Et, en plus de trente ans de présence, je n’ai jamais rien vu, ni vécu de religieux. Seulement la pratique des rituels traditionnels.
J’ajoute que parler « d’hérésie maçonnique » est user d’un vocabulaire… religieux, hors de propos. Mais si tu vois de l’hérésie dans les principes de la Maçonnerie régulière, c’est ton droit.
A chacun ses expériences, ses visions, ses préjugés. Bonne fin de journée
28 – Formatage parfait !
Millième édition de la même réponse.
30 ans (?!?) de maçonnerie pour en arriver là, c’est à pleurer ??
Pourquoi tant de négativité? Ridiculiser une opinion n’est pas un exemple d’attitude maçonnique.
de Flup
Mon cher DESAP. ton désappointement vire à l’injure voire à la haine ! Tu dois etre sacrément mal dans tes pompes pour réagir de cette façon. C’est toi qui me fait pleurer… si tu es un VRAIS FM. Dans le cas contraire ton comique naif et ridicule me ferait plutot sourire !
Ils son deux restaurants differents mais de la même propietaire. Actuellement le restauran de la rue Virgen de la Esperanza est fermé. Le nouvead restaurant est dans la rue Cañón.
Deux adresses differentes, deux quartiers différents mais le même proprio.
La calle Cañon a ouvet cette année.
En Andalousie la FM est à 90% anglaise donc elle s’affiche beaucoup plus facilement que chez nous.
Restaurant connu et fréquenté par les « brothers » locaux…
oui la référence au 32 qui s affiché est superflue. Et la modestie alors ?
oui maçonnique si l on veut.Mefiez vous des signes alléchants et cultivez la discrétion.
Un petit périple sur Internet, et quelques recoupements utiles plus loin, notamment via Tripadvisor, permettent d’arriver à une « Mèson Huesca », mais celle-ci est située à une adresse différente de celle citée ici: Calle de la Virgen de la Esperanza au lieu de Calle Canon (sans tilde, désolé).
Par contre, les photos de décoration intérieure que donne à voir Tripadvisor lèvent toute équivoque possible sur les affinités du propriétaire des lieux.
Je me demande même si une salle en particulier n’est pas occupée uniquement sur réservation expresse….
Par ailleurs, les deux noms de rue étant différents, ainsi que les façades des deux bâtiments, des questions restent en suspens.
S’agit-il de deux rues attenantes, et du coup d’un seul et même établissement avec une entrée sur chaque rue, ou s’agit-il de deux adresses bien distinctes, mais avec un seul et même propriétaire?
Je trouve par ailleurs que certaines des photos accessibles publiquement, sur le site indiqué plus haut, me paraissent manquer réellement de totale discrétion.
Avec consentement du maître des lieux ou à son insu?
Il est vrai que la salle intérieure est plus que parlante. Les décors au mur ne souffrant d’aucune ambiguïté (tablier de Vénérable Maître du rite Émulation, mais aussi collier et tablier de Vénérable Maître d’une Loge de Marque de Maîtres Maçons).
« … Lieu de rencontre des Frères à Malaga… » précise le commentaire accompagnant la photo du dimanche… Je veux bien, mais à Malaga (cf. post Hirm.be de 2008 https://www.hiram.be/blog/2008/07/16/des-contacts-maconniques-en-andalousie/), il n’y avait qu’une Loge figurant, qui plus est, à la matricule de la Grande Loge d’Espagne, Obéissance maçonnique régulière en Espagne.
Peut-être que l’ouvrage « Histoire des Loges Maçonniques du Sud et d’Espagne »(ITEM, 2010), réédité depuis, pourrait nous en dire plus.
Pour mémoire l’ITEM est Institut Toulousain d’Études Maçonniques, organisateur du Salon Maçonnique de Toulouse qui se tiendra pour 2019 – 6e édition – le samedi 30 novembre et le dimanche 1er décembre.
32° ? Utile dans le commentaire ?
MTCF Altec, nous supposerons qu’il doit s’agir ici de la température à Malaga!!!
Au soleil ou à l’ombre?
Sol o sombra?
Super , malheureusement ce n’est pas en France que nous verrons cela.
Ronan:.
Excellente décoration.
Très bien imaginer.
Tout est symbole.:
Bonjour je suis intéressé par vos observations pourriez-vous nous indiquer des lieux maconniques à VENISE Merci d’avance
S’intéresser à Hugo Pratt et à Corto Maltese. Le catalogue de l’exposition réalisée à ce sujet rue Cadet (siège parisien du G.O.D.F.) il y a cinq ou six ans je crois bien, était assez instructif.
Le catalogue de l’expo, qui a eu lieu de 15 février au 15 juillet 2012 au Musée de la Franc-Maçonnerie, a pour titre « Corto Maltese et les secrets de l’initiation imaginaires et franc-maçonnerie à Venise autour d’Hugo Pratt » (Musée de la franc-maçonnerie, 2012).
Sinon, pour mieux connaître Corto Maltèse, personnage mythique d’Hugo Pratt (1927-1995), vous pouvez toujours vous intéressez à l’ouvrage de notre Frère Joël Grégogna, préfacé par Didier Convard « Corto l’Initié » (DERVY, 2005, 496 pp. 22.31 €).
Merci à Yonnel qui vient opportunément compléter, et enrichir, ce que je pouvais dire sur Corto Maltese et cette expo de 2012 au Musée de la Franc-Maçonnerie.
J’ajoute pour ma part deux autres bouquins (profanes) qui m’ont été bien utiles pour visiter Venise:
– Un petit guide coédité par Lonely Planet et Casterman en 2010:
« Venise, itinéraires avec Corto Maltese » sous la triple signature de Hugo Pratt, Lele Vianello et Guido Friga.
Désormais épuisé semble-t-il, une nouvelle édition est intervenue chez le seul Casterman en 2018 avec les mêmes auteurs.
Mais est-ce vraiment une réédition ou autre chose, le format n’étant plus le même?
Je crois utile de préciser qu’en recoupant le catalogue de l’expo et ce petit guide il m’a été possible de pouvoir localiser, pas excessivement loin du Pont du Rialto, le bâtiment où se situe la loge que fréquentait Hugo Pratt. Mais ce lieu est particulièrement discret, on peut, même en étant attentif, passer à côté et le manquer…
Qui plus est, on ne s’étonnera pas de la parfaite illustration de ce bouquin, merci Hugo Pratt.
– le second bouquin n’a strictement rien de maçonnique. Il s’agit de:
« Ghetto de Venise, 500 ans » par Donatella Calabi, Editions Liana Levi, 2016.
Ne serait-ce que parce que le mot de « ghetto » vient de là, de Venise, et que le quartier du ghetto vénitien mérite qu’on s’y déplace, je tenais à signaler ce livre remarquablement documenté sur un sujet plus universel qu’il n’y paraît.
TC & BAF,
TC LAZARE-LAG,
Je viens d’écrire à l’adresse parisienne de Casterman, qui, sur leur site, en contact, ne communique pas de numéro téléphone, afin d’en savoir plus sur les deux éditions de l’ouvrage « Venise Itinéraires avec Corto Maltese » de 2010 et « Corto Maltese : Le guide de Venise » en 2018.
Je viens de recevoir une réponse automatique de… Bruxelles. Les deux attachées de presse sont en congé jusqu’au 25 août prochain. Wait & see…
TC & BAF,
TC LAZARE-LAG,
L’Assistante éditoriale BD de Casterman me répond à l’instant.
Il s’agit bien d’une nouvelle édition, mais Casterman a conservé l’ensemble du texte de l’édition de 2010, toutefois remis en forme dans une nouvelle maquette.
Pour leur prompte réponse en cette période estivale, un grand merci à cette belle maison d’édition qu’est Casterman, puisque créée en 1777 à Tournai (Belgique) par Donat Casterman, fondateur d’une lignée d’éditeurs-imprimeurs qui connaîtra sept générations de Casterman jusqu’à aujourd’hui.
Merci à Yonnel pour tes recherches permanentes et incessantes sur bien des thèmes.
Au cas d’espèce,j’espère que notre commentateur-questionneur Nicolas (cf. son message 3) trouvera ici quelque intérêt aux efforts déployés en vue d’étancher sa curiosité, et que nous lui aurons ouvert quelques pistes, à lui de savoir les exploiter.
Les brasseurs utilisaient des symboles proche des symboles maconiques, de grâce arrêtons les amalgames de facilité et cultivons nos connaissances maconniques en profondeur, un singe avec un chapeau n’est pas un gentleman, votre rédaction devrait filtrer ce type de dérive que j’ai déjà remarqué à différentes reprises, trop c’est trop, coup de gueule nécessaire….
Bientôt serai par par-là..
Daniel Hundskopf 32° GLSA
Pourquoi signer et mettre un lien à partir de ton nom en direction de la GLSA, ou dit autrement avec Alpina, l’obédience helvétique bien connue?
On ne voit pas vraiment bien le rapport entre GLSA et Malaga, sauf à venir nous l’expliquer, bien évidemment.
Une version tout à fait renouvelée, inédite, originale, et maçonnique de l’Hispano-Suiza, sans doute?
(Humour! Je tiens à préciser, ne connaissant pas le degré de susceptibilité de notre F:. destinataire…)
Hâte de te lire, MTCF.